La CAPD avait pour seul ordre du jour les recours pour les demandes de temps partiels.
Cette année, plus de la moitié de demandes de temps partiel sur autorisation a été refusée.

En préalable, le SE-Unsa avait répété les dysfonctionnements et le manque de réponse de l’administration envers les personnels.
Voir ci-dessous la déclaration du SE-Unsa.

Nous avons ensuite abordé plusieurs questions diverses...

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Recours pour les temps partiels

- Plus de 200 collègues, sur 400 demandes, ont vu leur demande de temps partiel refusé.
(Voir sur audience temps partiels les détails des refus).

- Une cinquantaine de collègues ont fait des recours gracieux.
L’administration en a accordé cinq.

- 60 ont fait un recours.
Enfin, 60 selon l’administration, puisque nous avions plusieurs noms de collègues sans réponse (même des demandes de temps partiels de droit) ;
Plusieurs en attente d’étude de leur situation médicale par le SAMIS (le service médical du rectorat) ;
Plusieurs demandes de recours que l’administration n’avait pas...
Nous arrivons à environ 80 recours.

- Après plus de deux d’heures d’argumentation des élus des personnels sur les dossiers des collègues, l’administration a acceptée... 4 recours !

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Questions diverses...

Sur les évaluations d’écoles ?
Le SE-Unsa a obtenu, pour l’instant, 6 heures sur les anim péda, nous continuons...
Voir le détail sur notre article "évaluation d’école" avec les réponses de l’administration.

Sur le mouvement,
Nous avons alerté sur les retards - PAP, liste pour les TS, PES et alternants - et le manque d’informations...
Voir le détail sur notre article "mouvement"

Pour les questions individuelles,
Nous avons informé les collègues qui nous avaient sollicités.

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CAPD du 7 juillet 2022
déclaration du SE-Unsa

Monsieur l’inspecteur

Encore une fois, nous vous avions alerté… Sur les temps partiels, sur le mouvement des postes à profil, sur les affectations des TS,
sur les promotions à la Hors Classe et à la Classe Exceptionnelle…
Nous n’avons toujours pas de réponses.

Nous sommes le dernier jour de classe de l’année scolaire et des centaines de collègues ne connaissent pas leur affectation.
Des dizaines d’écoles n’ont pas de directeur ou directrice nommé·e. Etc…

Ce constat était prévisible. Nous l’avions prévu. Il se répète d’une année en année. Nous savons que vous n’avez pas les moyens (en personnels et en outils) d’avoir un fonctionnement ordinaire. A l’image du nombre de remplaçant·es pour les enseignant·es, vos services sont sous dotés.
(Nous saluons à nouveau les efforts des personnels de la DPE).
Comme Sisyphe qui pousse son rocher, la DPE essaie de répondre aux demandes des personnels…

Mais nous savons aussi que vous n’avez pas écouté nos demandes, pas écouté nos propositions :

- Pour les demandes de temps partiels. Aucun calendrier, ni annoncé, ni affiché.
Cela laisse les collègues dans le plus grand flou.
Certain·es attendent encore. Tout le mois de juin, nous vous avons interrogé pour des collègues laissé·es sans réponse.

- Pour les recours, suite à vos refus, de nombreux n’apparaissent pas dans les documents. Pourquoi ?

Pour le mouvement, là aussi il règne le plus grand flou.
- Les affectations pour les PAP (120 postes) ne sont pas encore faites ;
- La liste des supports TS n’est pas encore faite partout, avec des affectations plusieurs fois annoncées « avant le 7 juillet » et annoncée maintenant « le 19 juillet ».

- Sur les évaluations d’école à venir, nous ne cessons de vous interroger.
Sur quel temps de service ? Avec quels outils ? Pour quel objectif ?
Là aussi, c’est le flou.

- Et nous hésitons à vous interroger sur les affectations des contractuel·les.
Quand ? Comment ? Où ?

Quand vous annoncez à la presse (dans La dépêche) :
« les enseignants n’ont pas le sentiment que l’institution les lâche ».

Est-ce une « fake news » de journalistes ?

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