Le SE-Unsa a déjà donné une analyse « Ã  chaud » des résultats du premier mouvement sans contrôle.

Suite au retour des collègues, voici quelques éléments plus précis sur le « nouveau mouvement » que subissent les collègues.

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Le résumé :
Il y a des erreurs ; elles ne sont pas corrigées.
Parfois, des compensations seront possibles ; si les collègues font des demandes.

Le détail :
Le travail de vérification des élus des personnels permettait de vérifier les documents, de systématiser les corrections et garantissait que les règles étaient appliquées, ce travail a disparu. Il apparait maintenant clairement, suite aux résultats annoncés aux collègues, que pour ce mouvement « nouvelle formule », il  y a des erreurs.
Le SE-Unsa a demandé que les corrections soient effectuées (certains départements l’ont fait) mais autre nouveauté, l’administration (si elle reconnait les erreurs) refuse de modifier les résultats annoncés, les erreurs ne sont pas corrigées.
La seule possibilité qui reste aux personnels lésés est de demander des compensations.
Si l’administration a pour objectif de fournir des réponses aux enseignants, elle ne cherchera pas elle-même à corriger ses erreurs. Elle étudiera uniquement les situations des collègues qui font des demandes.

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Le calendrier :
- La demande de recours est possible pendant deux mois. Le 19 aout est donc la date limite des demandes.

- L’administration répondra jusqu’au 24 juillet, avant de reprendre fin aout.

- Les demandes de délégation sont étudiées régulièrement, mais aucune réponse n’est prévue avant la semaine du 20 juillet…

La procédure :

- Envoyez vos demandes à l’adresse dédiée mobilité31@ac-toulouse.fr

- Un article du SE-Unsa avec les détails recours, délégation...

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De quelles erreurs parle-t-on ?

Petit florilège éclairant des informations données au SE-Unsa par les enseignants. Ces exemples sont des situations réelles de vrais collègues !

- «  J’ai signalé une erreur de barème, elle n’a pas été corrigée »
Si le collègue se signale et que l’administration reconnait l’erreur.
Il faut faire un recours et l’administration évalue « le préjudice » pour « proposer » un poste provisoire ou une bonification l’année suivante ou une délégation ou rien…

- « J’ai été affecté sur un poste… qui n’est pas vacant »
L’administration me réaffecte comme remplaçant sur la circonscription du poste obtenu et me donne une priorité pour le mouvement suivant

- « Je suis affecté à titre provisoire… alors que je dois être à titre définitif »
Là, ils vont surement corriger.

- « J’ai obtenu un vÅ“u… que j’avais annulé »
L’administration va me déléguer sur un autre poste.

- « J’ai obtenu une nouvelle affectation… alors que je n’ai pas participé au mouvement ! »
Selon les services, la situation sera étudiée avec « une extrême bienveillance » pour me donner une explication et me proposer une solution…

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Pour les TRS

- Face au nouvel IA-Dasen, face au nouveau secrétaire général, le SE-Unsa a répété ses demandes.
- Le calendrier et la procédure sont maintenant précisés.
Seront-ils tenus ?

- Le SE-Unsa a demandé que l’administration organise la « mise en contact » des collègues qui partageront la même classe.
IA : On ne peut rien faire.
SE-Unsa : Jusqu’à quelle date les circonscriptions sont ouvertes ?
IA : Nous ne savons pas.

Nous rappelons toutes nos informations
dans notre article « http://sections.se-unsa.org/31/spip... »

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Les « mensonges » dans la circulaire.
Quelle réponse pour les collègues lésés ?

Pour le détail, voir notre article premier mouvement sans contrôle .
Le SE-Unsa a demandé des corrections pour les collègues concernés.
L’administration, comme pour les autres erreurs, refuse de modifier les résultats…


Les collègues doivent donc faire un recours pour demander une autre affectation, plus conforme à ceux qu’ils auraient pu obtenir s’ils avaient connu le fonctionnement réel des règles du mouvement.

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Quelle analyse pour le SE-Unsa ?

Clairement, c’est vraiment pire qu’avant.

Chaque enseignant ne voit plus le fonctionnement du mouvement.

L’administration n’entend pas les demandes des personnels.

Les élus du SE-Unsa ne sont pas prêts à se taire.