A l’initiative d’une intersyndicale de l’Education UNSA, FSU, FO, CGT un rassemblement était organisé pour soutenir les 420 personnels précaires, CAV et CAE employés dans l’Education Nationale sur des missions d’aide à la direction d’école, d’auxiliaire de vie scolaire et d’emplois vies scolaire, qui arrivent au terme de leur contrat le 30 juin prochain. La perspective pour ces personnels est l’inscription au Pôle emploi, dans l’attente d’une indemnisation plus ou moins rapide. L’intersyndicale a été reçue par le Directeur de Cabinet du Préfet et le Directeur Départemental du Travail et de l’Emploi.
Au cours de cette audience, l’UNSA Education a rappelé l’engagement de ces personnels au service de l’Ecole, l’importance pour l’Education Nationale des missions qu’ils ont remplies, notamment pour la mise en oeuvre du volet scolaire de la loi de 2005 sur les personnes en situation de handicap et la concrétisation des mesures résultant du protocole de 2006 sur la direction d’école.
L’UNSA Education a dénoncé l’absence de réel plan de formation proposé à ces personnels au cours de leurs trois ans de service, l’exclusion de fait du bénéfice de
L’UNSA Education a rappelé sa revendication de voir créés des statuts pérennes pour les personnels affectés sur des emplois dont personne ne conteste plus la nécessité dans la vie des élèves des écoles et des établissements.
Avec les autres organisations syndicales, elle a demandé la prolongation des contrats des personnels en cours.
Pour
Cependant, il y a conscience que la rotation des personnels remet en cause l’efficience des emplois, la formation étant à reprendre à la fin de chaque contrat.
L’engagement a été pris par
Réponse non satisfaisante loin s’en faut. La clé du problème n’est pas à la préfecture de Montpellier, mais plutôt à Matignon.