Article publié le lundi 20 mars 2023.
Alors
que les réflexions sur le sujet de la fin de vie s’intensifient, 18
organisations de la société civile, dont le SE-Unsa, l’Unsa-Éducation et
le Cnal ont décidé de s’allier pour constituer une force progressiste
et républicaine afin de faire évoluer le cadre légal sur la fin de vie,
avec une ambition forte : que chaque personne soit effectivement
Ă©gale en droit et libre de ses choix.
Par l’hétérogénéité des organisations qu’il fédère et sa position, le Pacte progressiste Fin de vie entend
dépasser les oppositions souvent montrées du doigt : les
soins palliatifs et l’aide active à mourir sont complémentaires et non
antagonistes. Pour les organisations membres du Pacte progressiste, il
est nécessaire que la capacité des patients à exercer leur liberté
de choix soit enfin reconnue.
Ces
organisations, de composition et d’horizons très divers, se retrouvent
sur la base de valeurs et de convictions communes. Elles représentent au
total plusieurs million de Françaises et de Français : membres,
militants ou clients de ces différentes structures.
Plus
de 90 % des Françaises et Français sont favorables à ce que les
personnes atteintes de maladie grave et incurable qui le souhaitent
puissent être aidées à mourir ; l’objectif de ces organisations est de
faire peser leur parole à hauteur de ce qu’elles représentent dans la
société. Parler d’une même voix pour être plus forts, mieux entendus
et mieux compris.
Lire la déclaration du Pacte progressiste Fin de vie
(cliquez pour agrandir)