Pourtant, sur le terrain ces forfaits sont largement imputés par une multiplication de réunions imposées par l’administration.
A ce titre, la mise en place de la réforme des rythmes, dont se sont emparés pleinement les enseignants, nécessite de nombreuses heures de concertation avec l’ensemble des partenaires. Notre temps institutionnel, lui, n’a pas vocation à être allongé : les emplois du temps des enseignants 1er degré ne sont pas corvéables à souhait.
C’est pourquoi le SE-Unsa demande de dégager du temps pour que les collègues déjà dans la réforme puissent avoir un temps de réflexion de façon à ajuster et que ceux qui vont y entrer puissent finaliser leurs projets. A ce titre, pour le SE-Unsa la journée de solidarité doit pouvoir être utilisée au gré des besoins par les équipes, y compris de façon fractionnée.