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Répartition des DHG dans le second degré
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Lors de cette rĂ©union, nous avons examinĂ© :

  • Les effectifs prĂ©vus globalement par le rectorat.
  • Les effectifs par Ă©tablissements et par niveau.
  • Les dotations horaires qui en dĂ©coulent pour les collèges et les lycĂ©es.

Vous pourrez trouver ces documents dans la partie adhérent de notre site. Vous trouverez aussi notre déclaration liminaire en pièce jointe.

 

Quels enseignements et informations peut-on tirer de cette discussion ?

 

Tout d’abord, les collèges ont enfin vu leur rĂ©elle augmentation dĂ©mographique prise en compte. A partir de lĂ , ils ont obtenu des moyens importants en plus en termes de postes (32,5 ETP) et en termes classes (15) ; en sachant, qu’il reste des marges de manĹ“uvre avant la fin de l’annĂ©e scolaire (l’équivalent de 4-5 classes habituellement).

Au final, le nombre d’élèves par classe baisse sensiblement sur tous les niveaux et les niveaux Ă  plus de 28 Ă©lèves de moyenne sont devenus beaucoup plus rares. Il en reste cependant. Trois Ă©tablissements sont plus chargĂ©s : Les Essarts, Herriot Ă  la Roche-sur-Yon et Saint Hilaire des Loges.

 

La situation des lycées est beaucoup plus problématique car, s’ils voient leurs effectifs augmentés globalement, leurs DHG baissent. Cette étrangeté arithmétique nous a amené à interroger la directrice académique. Elle a reconnu que les différentes réformes des lycées (généraux et professionnels) étaient responsables de cette diminution car elle modifiait les structures et donc les besoins. Nous avons rappelé que diminuer les moyens lors d’une réforme était contre-productif et très stressant et fatiguant pour les personnels.

De même, dire que pour permettre l’ouverture de tous les groupes de spécialités nécessaires selon les demandes des élèves, il fallait au cas où puiser dans la dotation supplémentaire est inquiétant. Cela veut dire sacrifier des dédoublements ou tout autre dispositif en faveur des élèves.

 

Enfin, l’accueil des élèves à besoin éducatif particulier. Ainsi, trois ULIS (dont les effectifs ne comptent toujours pas) sont ouvertes sur le département (deux en collège et une en lycée). Les SEGPA sont pleines en général mais à priori il y a peu de refus d’accès faute de place. Globalement, la nouvelle IEN ASH a signalé qu’il allait falloir bien distinguer les élèves relevant des différents dispositifs pour clarifier les orientations.

Toujours sur cet accueil, nous avons entendu un certain nombre d’informations. Ainsi, un plan de dĂ©ploiement des PIAL va ĂŞtre mis en place avec ½ IMP pour le coordonnateur (non prise sur le budget de l’établissement !). L’objectif est de mieux « gĂ©rer Â» les AESH mais aussi de leur offrir une formation plus locale avec les enseignants. Une parole nous inquiète : la MDPH notifierait trop d’AVS individuel alors que pour l’administration des AVS mutualisĂ©s seraient plus adaptĂ©s. Ce que nous craignons avec la rĂ©forme des PIAL risque donc d’advenir : des mesures d’économie en limitant drastiquement les AVSI par rapport aux AVSM moins coĂ»teux car s’occupant de plusieurs enfants. Affaire Ă  suivre.

 

Enfin, une parole nous a fait sursauter. Comme d’habitude, nous avons évoquer les cas des collèges de l’Ile d’Yeu et de Noirmoutier très petits et fragiles. La moindre perte d’une classe est problématique pour les collègues. Nous avons donc rappelé la présence peu utile d’établissements privés confessionnels dans ces îles. La DASEN a alors parlé de complémentarité entre l’enseignement public et l’enseignement privé. Nous nous élevons bien entendu contre cette proposition qui va à l’encontre d’une école de la R


   DĂ©claration liminaire   
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