- Lors du CTSD du 2 septembre, face aux manques d’ouvertures dans certaines écoles, le SE-Unsa a voté contre le projet.

Voir le compte rendu du CTSD du 2 septembre

- Le vote unanime des élus des personnels a imposé un deuxième CTSD, le 10 septembre. Hormis 3 postes "récupérés" dans la dotation départementale, le Dasen n’a rien changé à son projet initial.

- Le 11 septembre, le CDEN a recommencé les mêmes discussions pour le même résultat.
Le dasen n’a rien modifié de son projet (16 ouvertures et 7 fermetures)

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- Notre déclaration au CTSD

- Notre déclaration au CDEN

- Les mesures décidées par le Dasen

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Le SE-Unsa est intervenu longuement (voir nos déclarations ci-dessus), au CTSD du 2 septembre, puis au CTSD du 10 septembre, puis au CDEN du 11 septembre, pour dénoncer le manque de moyen attribué à la Haute-Garonne.

Nous avons aussi dénoncé les différences de traitement entre les écoles, à cause des mesures "Blanquer" :
Les CP-CE1 à 12, les GS à 24, le droit de certains maires de refuser une fermeture... sont autant de demandes du ministère qui s’impose (sans que les moyens soient donnés au département) et créent autant d’injustices dans la répartition des moyens dans le département.

- Les écoles Daudet à Plaisance, Canto Lauzeta à Villeneuve, Brassens à St Jory, H. Puis à St Orens... sont autant d’écoles qui seront (avec des élèves d’ULIS !) à plus de 27 par classe.

Au lieu d’une classe de plus, le Dasen "sera attentif", et "les équipes seront accompagnées par les circos"...
Comment ? "Des remplaçants" (déjà trop peu nombreux pour remplacer) et "Les poles ressources" (dans l’état actuel des Rased...)

- Des écoles maternelles restent à plus de trente de moyenne, comme Jaures à Cugnaux.

Toutes ces écoles n’ouvriront pas !

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Les postes manquent. Ou faut-il les prendre ?

Ecoles rurales ? Ecoles de REP ? Maternelles ? Remplacements ? PIAL ?
Bien sûr que le SE-Unsa ne va pas opposer les uns aux autres.

Mais quand le DASEN laisse ces écoles sans ouverture, il peut dire " qu’il assume seul ce choix ".
Le SE-Unsa pense et dit que son choix est mauvais, qu’il ne permet pas un traitement équitable entre les écoles du département.

Dans cette période de crise sanitaire, laisser des classes à 30 élèves n’est pas responsable.