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SE-UNSA 31


 Par SE031
 Le  mardi 10 septembre 2019

CTSD du 4-9 et CDEN du 6-9-19 - Mesures - déclaration - Compte rendu

 

- Le CDEN se réunit le vendredi 6 septembre.

L’IA-Dasen a annoncé la modification de 5 ou 6 mesures.

- Voir toutes les mesures > ICI <

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- La déclaration du SE-Unsa au CTSD du 4 septembre > ICI <
Mouvement, évaluation, carte scolaire... le SE-Unsa a interrogé la Dasen sur les questions de rentrée.

- En pièce jointe, les mesures proposées par l’IA-Dasen lors du CTSD du 4 septembre.
13 ouvertures et 4 fermetures.

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Informations de l’IA-Dasen,
réponses à nos déclarations

Pour le mouvement des enseignants,
Oui, il y a eu des difficultés. J’organiserai une réunion la semaine prochaine avec vous et la DPE.

Sur la carte scolaire
- De façon générale, nous avons noté une baisse des élèves (par rapport aux prévisions) dans les écoles de Toulouse – sud ouest (le Mirail) et sur Colomiers (moins 200).
Nous voyons aussi une augmentation sur le nord-est de Toulouse.

- Les mesures décidées en février et juin : 141 ouvertures de classes, 102 fermetures de classes et un solde de 31 postes divers (ouverture de remplaçants, d’ULIS… fermetures de PDMQDC…)
Il reste 10 postes à affecter.

- Ne pas fermer en septembre était pour moi un objectif. Avec les moyens qui me restent, je devrai faire quelques « transferts ». En clair, fermeture dans une école pour ouverture à une école proche.

- Sur la prise en compte des élèves d’ULIS,
Oui j’ai vu la nouvelle réglementation. Pour cette rentrée, nous n’appliquerons pas un comptage systématique, mais nous pourrons le prendre en compte dans certains cas…

- Pas plus de trente en maternelle. C’est pour moi un objectif, nous essayons de tendre vers cela…
Nous devons aussi préparer l’organisation des classes à moins de 24 (volonté ministérielle pour les GS, CP et CE1) dans les années à venir.

- Quand je sollicite des postes pour le département, le ministère demande des explications sur les moyens attribués aux écoles de REP (notamment les décharges de direction exceptionnelle, qui représentent plus de 11 postes).

- Je rappelle que je pourrais (en restant dans les repères du département) décider plusieurs fermetures dans des écoles dont les effectifs ont baissé depuis les prévisions de juin. Je ne le ferai pas.
Mais, je ne reviendrais pas non plus sur des fermetures de classes (décidées en février ou juin) pour « quelques » élèves en plus.

- Pour la création des PIAL,
nous commençons à les installer, quatre directeurs (qui seront coordonnateurs) auront un quart de décharges supplémentaires.
A Gragnague, Launaguet - les Sables, Lherm et Montréjeau.

- Y a-t-il des contractuels recrutés ?
Il y a environ une quinzaine de personnes déjà en poste, en grande partie sur des postes dans l’ASH.

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Réponses du SE-Unsa
à l’IA-Dasen

- Vous annoncez des classes à moins de 24 pour les années à venir, avez-vous une idée du nombre de postes nécessaires à la mise en œuvre de cette mesure ?

- Vous mettez en avant, dans le document 2 ou 3 écoles qui ont des effectifs faibles en expliquant que vous ne fermez pas parce que ces écoles ont des difficultés particulières dont vous tenez compte…

Ce qui nous gène, au SE-Unsa, c’est que n’apparaissent pas les dizaines d’écoles qui ont des moyennes élevées.
- Des maternelles avec des classes à 30, 31, 32 élèves ;
- Des élémentaires à plus de 25, donc souvent des CM à 27, 28, 29 ;
- Avec souvent des doubles niveaux, parfois des triples ;
- Cette saturation se répète chaque année, depuis 3, 5 ou 10 ans ;
- Avec - dans chaque classe - deux, trois… élèves ayant des difficultés particulières (non francophones, comportement gênant la classe, en attente de place dans un dispositif particulier)…

Toutes ces écoles ORDINAIRES qui n’ont aucune attention particulière, aucun soutien, aucun dispositif particulier…
Madame l’inspectrice, les enseignants se fatiguent, s’usent et ne voient aucune perspective d’amélioration…

Fermer ou pas, dans les deux ou trois écoles à 15 de moyenne, c’est votre choix.
Mais que faites-vous pour toutes les autres qui n’ont pour seul tort que d’être en Haute-Garonne ?
Un des départements les plus surchargés de tout le pays.