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Pour ĂŞtre respecté·es, en grève le 1er fĂ©vrier !
Article publié le vendredi 2 février 2024.
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AJOUT du 2 FEVRIER

Le 1er février, nous étions plusieurs milliers à manifester à Toulouse, comme des dizaines de milliers dans chaque département.

Les collègues les plus mobilisés ont été ceux du collège, le lieu ou le "tri social" des élèves s’annonce le plus violent si la politique ministérielle se poursuit...

Le 31 janvier, Amélie Oudéa-Castera avait présidé le Comité Social de l’Education (CSE), elle avait écouté pendant 3h les déclarations liminaires... (Lire la déclaration du SE-Unsa, celle du syndicat des IEN, celle de l’Unsa-éducation).

Nous verrons si le ministère entend...


La déclaration commune des fédérations syndicales

" L’École publique n’est pas loin de l’effondrement et ne tient finalement que par la conscience professionnelle de personnels épuisés pendant que le président de la République regarde ailleurs ou que la ministre de l’Éducation nationale multiplient les provocations.
C
ette déconnexion avec la réalité et l’ampleur des difficultés rencontrées au quotidien suscitent une grande colère chez les personnels.
Q
uant aux conditions d’études des élèves, elles ne se sont pas améliorées et les inégalités scolaires ont continué de se creuser sans que les personnels ne puissent vraiment agir... "

Lire le texte intégral


En grève le 1er février...

Manifestation
Ă  Toulouse

Ă  14 h

Rdv Arnaud Bernard
(sortie métro Compans)


Énième changement de ministre, dĂ©nigrement de l’École publique, investissement au rabais, dĂ©considĂ©ration des personnels, caricature du mĂ©tier, rĂ©formite aigĂĽe… Ă  quand le respect de l’École publique et de ses personnels ?


 
La feuille de route éducative de l’ère Macron entraîne tout le système dans une impasse qui tend à détruire les chances des élèves, en particulier les plus fragiles, qui peinent à trouver leur place à l’École de tous.
 
Par leur choix d’investir insuffisamment et mal, de renvoyer les difficultés et les manques de l’École aux personnels, le président de la République et son gouvernement continuent de pousser à bout ceux qui font l’École. Ils génèrent exaspération et défiance.
 
Jouer sur les mots, jongler avec les chiffres pour afficher une rentrée scolaire 2024 suffisamment dotée, c’est leurrer sur l’abandon total de suppressions de postes.
Pour le SE-Unsa, c’est une nouvelle considération déplorable des besoins de l’École. C’est une réelle absence de courage que de masquer d’autres choix d’investissement que ceux en faveur de l’École de tous et pour tous.
 
Les enseignants, CPE, psychologues de l’Éducation nationale, AED et AESH ont à cœur de porter le projet d’une école républicaine émancipatrice pour une société unie et apaisée.
 
Le SE-Unsa appelle tous les personnels à se mobiliser le 1er février prochain pour exiger du président et de la ministre de respecter l’École publique et laïque, et ses personnels.


Formulaire de déclaration d’intention
Service Minimum d’Accueil
>ici<



Lire notre communiquĂ© de presse du SE-unsa :

Pour le respect de l’École publique,
le SE-Unsa appelle à la grève le 1er février


Et le communiquĂ© de l’Unsa-Education :

Pour la défense de l’École publique et laïque,
le respect et la reconnaissance de ses personnels,
l’UNSA Éducation appelle à la grève le 1er février

*
*


L’UNSA Éducation lance un appel à la grève le jeudi 1er février pour la défense de l’école publique et laïque.

Notre fédération s’impliquera dans toutes les mobilisations pour qu’une autre politique éducative soit menée en France.

Le projet conservateur et rĂ©trograde portĂ© par Gabriel Attal dans le cadre du « choc des savoirs » qui renonce Ă  l’ambition de dĂ©mocratisation de l’école ne passe pas pour l’UNSA Éducation.
Non au tri social dès la classe de sixième !

De plus ce projet vient mettre tout le système en tension car rien n’est pensé en lien avec la réalité des établissements et les moyens ne sont pas à la hauteur des besoins.
Non Ă  la dĂ©gradation des conditions de travail des personnels !

Dans les établissements du second degré, les dotations horaires globales sont tombées, et la colère est forte, quand les marges obtenues pendant la réforme du collège sont menacées, quand la possibilité de faire des groupes dans d’autres disciplines que le français et les mathématiques n’existe plus.
Le sous-financement des annonces ministĂ©rielles est devenu la règle !

L’UNSA Éducation pose la question d’un entre-soi des Ă©lites qui menace la RĂ©publique, quand les propos de la nouvelle ministre au lendemain de son entrĂ©e en fonction ont profondĂ©ment meurtri les personnels du service public. Comment les moyens publics peuvent-ils continuer Ă  financer un enseignement privĂ© qui ne prend pas sa part dans l’ambition de l’inclusion et de la mixitĂ© sociale que nous portons pour le système Ă©ducatif ?
Notre réaction à ce sujet.



   DĂ©claration intersyndica   
(75.2 ko)
   DĂ©claration SIEN-Unsa   
(14.5 ko)
   DĂ©claration SE-unsa   
(114.3 ko)
   DĂ©claration Unsa-Ă©duc.   
(107.2 ko)
 
 
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