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L’édito de notre info-lettre 36 du 15 juin 2021
70 contre 15, je retiens 7 Ă©gale 0
CDEN du 14 juin
Cette aberration arithmétique est bien l’improbable opération qu’a posée le Dasen lors du CDEN…
En préalable, nous avons rappelé que l’application de seuils n’est pas une limite mais un point de départ pour garantir un égal traitement des écoles du département. C’est ce minimum qui permet de se projeter pour les années à venir.
- Cette année, nous avons compté 70 situations en deçà des seuils, dans lesquelles la Dasen ne ferme pas.
Ce n’est pas un problème. Au contraire, nous travaillons mieux (élèves et enseignants) avec 18 ou 20 élèves qu’avec 24 ou 25.
- Nous avons aussi compté 15 écoles élémentaires qui dépassent 27 de moyenne et dans lesquelles le Dasen n’ouvre pas. C’est un problème.
Pourquoi, dans des situations similaires, certaines Ă©coles ouvrent, d’autres pas ? Pour nous cela reste un mystère ; pour le Dasen c’est « au cas par cas », de « la souplesse »â€¦
- Pour ajouter au mystère, le dasen a annoncé qu’il retenait 7 écoles.
Il a choisi celles qui dépassaient 27,5 de moyenne. Et, il a annoncé que ces écoles sont… sa priorité.
- Il portera « une attention particulière » Ă ces situations. Concrètement, il annonce l’ouverture de… 0 poste.
Trois heures de réunion, et voilà , l’équation est réussie (pour l’administration) !
*
Déclaration préalable, réponses, Mesures et compte-rendus des CTSD et du CDEN > ICI <
L’édito de notre info-lettre 34 du 2 juin 2021
CTSD - Ouvertures/Fermetures de poste
Haute-Garonne, 811 écoles = 811 règles !
Nous l’avions compris dès les instances de février, le Dasen l’a bien confirmé le 1er juin lors des 6 heures de CTSD : il n’y a plus de règles pour organiser les ouvertures et fermetures de postes.
La disparition des « seuils » fait disparaitre le seul garde-fou, le service minimal permettant un traitement Ă©quitable entre les Ă©coles du dĂ©partement…
Nous arrivons donc à une situation paradoxale avec une moyenne d’élèves par classe qui baisse et "en même temps" des situations qui se détériorent…
Pour dénoncer cet arbitraire - appelé "souplesse" par le Dasen - le SE-Unsa a voté contre le projet présenté.
Nous demandons une règle pour les 811 écoles, pas l’inverse.
*
L’édito de notre info-lettre 33 du 25 mai 2021
« A chaque jour, son lot de surprises »
Extraits déclaration à la CAPD
" A chaque jour, son lot de surprises. Ce n’est pas la fiche de poste donnée à notre ministre… Quoique.
C’est un peu notre sentiment d’élu des personnels qui essaie d’informer ses collègues au quotidien.
- Sur la situation sanitaire, s’il est facile de citer la FAQ avec ses innombrables et imprévisibles changements, il y a aussi l’absence d’information, le manque de remplaçants, les auto-tests dont beaucoup seront produits pour rien ; les vaccins toujours inaccessibles malgré les annonces.
- Sur le mouvement, nous vous avons déjà écrits plusieurs fois (Cf notre site), nous sommes inquiets : la multiplication des erreurs et des approximations va se traduire par des injustices dans les affectations. Un seul exemple : le 3 juin, vous affecterez des collègues sur des postes fermés le 1er juin ?
...
A chaque jour, son lot de surprises et elles ne sont pas souvent bonnes.
M. le Dasen, notre demande est simple : ne nous surprenez plus. "
*
Dernière minute : Le grand oral du ministre...
Mercredi 26 mai en fin de journée, M. Blanquer clôturera le Grenelle de l’Éducation lancé en octobre !
Cette opération aura mobilisé (groupes de personnalités, états généraux du numérique, colloque, consultation, ateliers thématiques...), mais qu’en ressortira-t-il ?
En attendant (des surprises ?) vous pouvez lire le résumé de nos demandes : Grenelle : Le SE-Unsa rappelle ses attentes...
L’édito de notre info-lettre 32 du 18 mai 2021
L’indépendance syndicale n’est pas l’apolitisme
Engagement de l’Unsa, extraits :
Le Conseil national de l’Unsa réaffirme solennellement : La Charte des Valeurs de l’Unsa rend incompatible un engagement syndical au nom de notre organisation avec un engagement dans un parti extrême tel que le Rassemblement national.
Son idéologie, fondée sur une conception autoritaire du pouvoir, sur le nationalisme et la xénophobie, menace la démocratie et la République. S’il arrive au pouvoir, il fracturera violemment le pays et nuira gravement au libre exercice du syndicalisme et à l’intérêt des travailleurs…
Le Conseil national réaffirme également sa farouche opposition à tous les extrémismes, ceux de l’ultra-droite, de l’ultra-gauche ou les extrémismes religieux et notamment l’islamisme politique, dont les discours et les actes attaquent, et souvent violemment, la République, ses fondements, ses valeurs et ses représentants…
L’Unsa n’est pas neutre ou apolitique, car elle a un projet syndical pour la justice sociale, pour l’égalité, pour la solidarité entre les travailleurs en France comme en Europe ou dans le monde. Elle agit dans la vie de la cité et concilie la défense des intérêts des travailleurs avec le souci de l’intérêt général.
Forte de ses valeurs, l’UNSA agit pour un syndicalisme de la clarté et s’opposera à tous les mouvements qui menacent la République.
Lire le texte complet de la motion >ICI<
L’édito de notre info-lettre 31 du 11 mai 2021
Le ministre et la ficelle sont grosses
Mais déjà trop vues
L’orientation politique de notre ministre est très claire, qu’il s’oppose à une écriture non discriminante est une évidence pour qui le connait. Qu’il prenne sa belle plume pour en faire une circulaire publiée au bulletin officiel n’est pas une surprise.
Par contre, il est aussi évident qu’il cherche à occuper l’actualité en inventant un pseudo-débat qui n’existe pas dans l’éducation nationale.
Il ne faudrait pas que la presse parle trop de l’organisation du baccalaurĂ©at ; du fonctionnement des Ă©coles en temps de Covid ; de revalorisation (Le « Grenelle », vous vous souvenez ?)…
Alors, à quand une circulaire pour permettre aux lycéens de travailler en juin ? Quand, une circulaire pour permettre la vaccination des personnels avant juillet ? Quand une circulaire pour recruter des personnels qui permettent des remplacements et la gestion de la pandémie ?
Et quand aurons-nous le plan pluriannuel d’augmentation des salaires ? ?
Il peut ĂŞtre pour certains important de rappeler « que le masculin l’emporte sur le fĂ©minin » mais rien ne nous oblige Ă ĂŞtre toutes et tous dupé·es.
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31
Le B.O. du 6 mai et notre analyse détaillée sur Ecriture inclusive : un point c’est tout ?
L’édito de notre info-lettre 29 du 27 avril 2021
FAQ ou fake ?
Plus lent, plus bas, plus fourbe…
Nous croyions avoir tout vu avec ce minist(è)re, mais nous nous sommes encore trompés…
Comme
nous avions trois semaines pour organiser la reprise le 26 avril, nous
avons demandé de l’anticipation, des recrutements, des vaccinations…
Au
contraire, nous avons été contraints d’attendre le vendredi 23 au soir
pour avoir des informations stabilisées pour nous organiser, prévenir
les familles, se coordonner avec les mairies, organiser la classe et
lire les dizaines de pages de consignes actualisées.
Un bon week-end « de vacances » pour beaucoup d’entre-nous…
Depuis - mais nous sommes déjà mardi - la FAQ a été - à nouveau - mise à jour !
Alors,
on vous résume : la version (datée du 23 avril) a été publié le samedi
24. Puis le lundi 26, très tard le soir, une nouvelle version a été
publiée, mais elle est datée du … 24 avril !
C’est pourtant facile de suivre, faites un effort.
Par contre, si vous lisez ces lignes mercredi ou jeudi, ces informations sont surement déjà périmées…
Nous
avions bien besoin de cette « aide » de notre hiĂ©rarchie pour dĂ©buter
cette dernière période et tenir les dix semaines restantes jusqu’à la
fin de l’année scolaire.
En même temps, on ne peut pas anticiper et jouer à la marelle…
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31
L’édito de notre info-lettre 28 du 9 avril 2021
DĂ©claration Ă la CAPD du 9 avril
Bonnes vacances !
Ce
vendredi 9 avril, nous ne voyons plus autre chose Ă dire. Surtout, nous
devons être prudents parce que nous serions peut-être sur écoute d’une
« puissance Ă©trangère ».
Bonnes vacances donc aux enseignants ;
après une semaine de travail à distance et d’accueil des enfants
« prioritaires » ; après un week-end de trois jours fait de consignes
sans cesse contredites.
Ce train infernal aurait dû être évité.
Depuis des mois nous demandons de l’anticipation et cette semaine
n’était pas du tout préparée. Comment a-t-on pu arriver à un tel niveau
d’improvisation ?
Au-delĂ des « puissances Ă©trangères », un peu plus d’écoute... du ministère serait bienvenue.
Cette semaine le distanciel entre le ministre et la réalité des Écoles s’est encore agrandi.
... Quand on nous écoute mais qu’on ne nous écoute pas ; quand le ministre se montre mais ne veut rien voir. Nous ne voyons plus autre chose à dire… Bonne vacances.
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31
L’édito de notre info-lettre 27 du 2 avril 2021
Remerciements !
Le Président a décidé…
D’abord le président de la République mercredi soir, puis le ministre de l’éducation en vidéo dans la nuit puis le recteur jeudi sur nos messageries et enfin le Dasen vendredi aux écoles… les personnels ont vraiment été remerciés, encensés, vantés…
Faut-il attendre une situation de crise pour rendre hommage Ă notre travail ? Les mots « gentils » de nos employeurs vont-ils nous faire oublier le manque de moyens dĂ©cidĂ©s par ces mĂŞmes employeurs ?
Le
président a décidé ; sous la Ve république, c’est son pouvoir. Il
devient donc aussi responsable du manque de recrutement pour le
remplacement, du manque de vaccins pour les personnels, du manque
d’anticipation, de préparation, d’organisation, d’informations…
Autant de problèmes qu’il faut résoudre pour que les personnels puissent travailler dans des conditions acceptables.
M le Président, les personnels sont prêts à vous remercier. Pour quoi pourrions-nous le faire ?
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31
L’édito de notre info-lettre 25 du 19 mars 2021
« STAR FAQ »
L’épisode 24…
Pour votre plus grand bonheur, la FAQ est de retour pour un 24e épisode (le 10 mars) depuis septembre, on a compté pour vous.
Il faut dire qu’elle nous avait laissé sur notre faim avec un dernier épisode décevant (celle
du 8 mars) : quelques « confinement local » ajoutĂ©s ici ou lĂ , pour
qu’on comprenne bien que là où il y a confinement local le week-end les
établissements continuent de fonctionner le samedi quand c’est
prĂ©vu, « après horaires de couvre -feu » Ă©videmment aussi (mais tout le
monde s’en doutait, faible effet de surprise).
NĂ©anmoins, dans ce
pâle épisode, on a apprécié l’inénarrable retour en grâce du
« sèche-main » qui n’est plus proscrit (mais reste dĂ©conseillĂ©, faut pas
pousser non plus dans l’audace et limiter la prise de risque).
L’épisode 24 sorti en salle le 10 mars est un épisode un peu plus haut en couleur mais le public devra s’accrocher pour suivre : en effet l’épisode est construit sur un rebondissement insoutenable : les temps d’isolement.
On
se souvient depuis l’épisode 21 que leur durée varie non seulement en
fonction du type de variant (normal, anglais, africain du sud, brésilien
ou autre si affinité) ; que l’on est petit (un élève, même grand) ou
grand (un enseignant, mĂŞme petit) ; cas contact, cas contact Ă risque du
foyer, cas contact Ă risque hors du foyer, positif, positif malade,
positif pas malade
et, pour revenir, qu’il faut selon le cas lĂ
aussi, un mot du médecin ou de ses parents (même s’ils ne sont pas
médecins), un test PCR ou antigénique, pas de test, un mot de sa
grand-mère mais valable seulement si elle est vaccinée (pardon, on
s’égare).
Dans ce dernier Ă©pisode,
l’équipe des scénaristes s’est surpassée grâce à ses compétences
médicales perpétuellement actualisées ( ! ) et forte de sa parfaite
maîtrise du fonctionnement d’un établissement scolaire…
Les périodes d’isolement revisitées ont donc la vedette :
il y a désormais du 7 jours, du 10 jours, du 14 jours, du 17 jours qui
peut devenir 24 jours des 7 jours qui deviennent 10 jours et des 10
jours qui deviennent 7 jours.
On notera également l’apparition d’un nouvel acteur, timide, mais sans conteste appelé à une brillante carrière : le test salivaire. Un
second rôle pour le moment malgré les annonces de la production
puisqu’il n’est diffusé pour l’instant que dans moins de 3% des écoles
de l’académie…
ui fait cracher, quand, qui récolte la paperasse, qui
communique les résultats, le suspense reste entier (même si on a notre
petite idée sur la question), vivement le prochain épisode !
L’avis du SE-Unsa.
Oui dĂ©cidĂ©ment, chaque volet de « Star FAQ « est palpitant et on ne boude pas son plaisir. On
attendrait presque avec impatience l’épisode suivant si tout cela
n’était pas très sérieux, n’avait pas valeur réglementaire et n’était
pas déterminant pour la sécurité des élèves, de leurs familles et des
enseignants dans la crise que nous traversons… Au SE-Unsa on souffre avec nos collègues.
La FAQ Covid est passée de 12 pages le 2 septembre à 36 pages aujourd’hui. Elle est depuis le début un amas de préconisations intenables
(les scĂ©naristes en avaient d’ailleurs conscience avec leurs « dans la
mesure du possible ») auquel se sont ajoutĂ©es au fil des semaines des injonctions souvent irrĂ©alistes.
Il y a pourtant un principe que tout bon pédagogue connaît : ne pas édicter de règles que l’on sait ne pas pouvoir faire appliquer faute de perdre toute crédibilité…
Cela ne semble pas être la préoccupation de notre ministère : qu’importe
que les règles soient ridicules, importantes mais irréalisables ;
qu’importe qu’elles changent tous les jours ou se contredisent ;
qu’importe que tout le monde ait perdu le fil, pourvu qu’elles soient Ă
chaque fois très médiatiquement diffusées…
Article publié par le SE-Unsa 54,
Merci Ă eux
L’édito de notre info-lettre 24 du 12 mars 2021
Le 8 mars, ça suffit ?
Le droit, le corps et l’esprit
Quand
Clara Zetkin avance l’idée d’une journée régulière de lutte pour les
droits des femmes en 1910, leur situation juridique Ă©tait bien
diffĂ©rente. Loin d’être Ă©gale aux hommes, elles Ă©taient globalement « mineures », considĂ©rĂ©es comme des enfants.
En 2021, le droit a beaucoup évolué, l’égalité juridique est presque acquise. Alors, le 8 mars, cela suffit ?
Acquise, l’égalitĂ© entre humains ? Si l’égalitĂ© a pris corps dans les normes juridiques, la libertĂ© du « corps » reste Ă conquĂ©rir pour bien des femmes.
Puis-je
marcher seule dans les rues ? Puis-je avorter ? Puis-je montrer mon
nombril en classe ? Puis-je cacher mon nombril Ă la plage ? Ai-je droit
d’enfanter sans avoir un mari ? Puis-je choisir la longueur de ma jupe ?
Suis-je libre de ma sexualité ?
Autant de droits donnés aux hommes… et qui ne sont pas toujours autorisés aux femmes.
Autant de combats encore actuels, autant de raisons de continuer le 8 mars, tous les jours.
Et, au-delà du droit et de la maîtrise du corps, le problème essentiel reste dans les têtes, dans l’incrustation millénaire de notre esprit par le patriarcat ordinaire.
Celui
qui amène des collègues à penser que les filles lancent moins bien le
ballon que les garçons, parce qu’elles sont « filles » ; qu’elles sont
moins bonnes en gĂ©omĂ©trie ou sont plus calmes… parce que « filles ».
Ce
patriarcat qui considère « normal » que les nounous, les ATSEM, les
infirmières, les maîtresses de maternelle, les dames de cantine, les
sages-femmes… ne soient presque jamais des hommes.
C’est bien ces modèles que nous inculquons, dès l’enfance, dans les têtes de chacun.
Modèles qui permettent de reproduire ensuite cet état d’esprit inégalitaire…
Tant
que le droit ne sera pas Ă©gal ; tant que le corps de chacune ne sera pas
libre ; tant que les métiers, et les représentations qu’ils véhiculent,
ne seront pas partagés… La journée du 8 mars sera utile.
C’est bien une journée de lutte, qu’il faut continuer, tous les jours.
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31
L’édito de notre info-lettre 23 du 2 mars 2021
Je crache, tu craches...
Le ministre se crashe !
Cette quatrième période commence avec le beau temps et des élèves qui semblent plus reposés et disponibles. Pourtant, des nuages subsistent…
L’épidémie de Covid n’a pas disparu.
Depuis notre dĂ©part en vacances, il n’y a eu « que » deux mises Ă jour de la FAQ, la 10e et la 11e en 2021…
L’Unsa-éducation a, auprès du ministère, développé nos demandes pour clarifier, anticiper et donner les moyens…
Et une nouveauté : le test par crachat !
Laissant
le ministre et la presse annoncer une organisation qu’ils ne maitrisent
pas, le SE-Unsa 31 a interrogé directement le Dasen.
Pour résumer
ses propos : Ce n’est « pas les enseignants » qui pratiqueront ce
recueil, des personnels dédiés seront recrutés… Ils débuteront vraiment
la semaine prochaine (Ă partir du 8 mars) et ne concerneront que les
écoles (pas les collèges et lycées)…
D’ici Ă ce que notre Ă©cole soit concernĂ©e, et que les « 300 000 tests hebdomadaires » deviennent rĂ©alité…
Nous aurons surement de nouvelles annonces médiatiques du ministre, autant de nouveaux clashs et crashs…
- Les exigences de l’Unsa-éducation : CLARIFIER, DONNER LES MOYENS, ANTICIPER
- Notre avis sur les tests salivaires > ICI <
- La foire aux questions (FAQ) > La F.A.Q. <
- Le résumé des infos "Covid-19" régulièrement mises à jour > ICI <
Franck Calmels
Secrétaire du SE-Unsa 31