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SE-UNSA NANCY-METZ


 Par SE-UNSA NANCY-METZ
 Le  jeudi 1er février 2024

Toutes et tous en grève le 1er février 2024

 

Au regard de l’évolution importante du contexte dans notre ministère (énième changement de ministre, dénigrement de l’École publique, investissement au rabais, déconsidération des personnels, caricature du métier, ...), le Se Unsa et notre fédération  l'UNSA EDUCATION appellent à la grève au plan national le 1er février prochain pour exiger le respect de l’École publique et laïque, et de ses personnels.

 

Rejoignez les drapeaux Unsa  :
A Nancy, à 14 h Place Charles III
A Metz, à 10h30 devant la DSDEN
A Verdun, à midi à l’I.E.N, Espace Driant, rue St Michel
A Epinal, à 14 heures devant la DSDEN 

 

LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT ET À LA MINISTRE

STOP au mépris et aux mensonges !!!

Monsieur le Président,
Vous avez organisé une conférence de presse pour nous expliquer que vous faisiez tout pour aider l’Ecole depuis votre arrivée au pouvoir en 2017. M. le président, quand on doit expliquer pendant autant de temps son action, c’est bien que dans la réalité, les effets sont totalement contraires à ce qui est annoncé.
Dans les faits, vous ne cessez d’abimer l’Ecole et vous mentez non seulement aux personnels mais aussi à l’opinion publique. Ressortir des cartons les vieilles recettes qui n’ont pas fait leurs preuves n’est pas la solution.
Nous disons STOP aux mensonges qui gangrènent vos quinquennats.
Nous disons STOP au mépris dirigé vers les personnels.
 
Madame la nouvelle ministre de beaucoup de choses et un peu de l’Education Nationale,
Vous ne risquez pas d’améliorer l’école dont parle le chef de l’Etat puisqu’à chaque sortie ou allocution télévisée, vous créez une nouvelle polémique et vous méprisez les personnels de l’Ecole publique.
NON Mme la ministre, les syndicats ne mentent pas. Contrairement à vous, nous sommes sur le terrain et connaissons bien nos collègues. Ce que les syndicats dénoncent sur l’état de l’école, même si vous voulez le nier, ce n’est que la triste réalité.
 
Monsieur Macron, Mme Oudéa-Castera, l'Ecole est fragile, cessez de l'attaquer encore te toujours !