« La vie est faite de choix. Moi personnellement je connais beaucoup d'AESH, qui sont des mères qui ont arrêté de travailler à une époque pour s'occuper de leurs enfants. Elles choisissent ce statut pour avoir les mercredis et les vacances scolaires, et elles assument. Elles sont heureuses de ce qu'elles font, arrêtez de victimiser les professions », a-t-elle lancé.
Pour le SE Unsa, les AESH sont au cœur de la réussite de beaucoup d'élèves en situation de handicap. Il faut reconnaître leur travail par un statut solide et un salaire réévalué. La vocation ne justifie pas la précarité !