SECTION ACADÉMIQUE SE-Unsa d'AMIENS - 4 RUE PAUL SAUTAI - 80000 AMIENS
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Un CHSCT académique s’est réuni ce mercredi 1er décembre sur la question de la crise sanitaire au regard de l’évolution de celle-ci et des derniers aménagements de protocole.
Le Recteur a ainsi pu répondre aux questions posées par les représentants des personnels. Le SE-UNSA vous en fait part ci-dessous. Vous constaterez que ces réponses correspondent au service après-vente de la stratégie du minitère, stratégie que nous qualifions d'incompréhensible et d'impossible (voir http://sections.se-unsa.org/80/spip.php?article3975 )
Environ 200 dans chacun des 3 départements mais 400 dans le Nord.
Des disparités au sein des dpts, par exemple, A Soissons 270, à Château Thierry 100
Dans l’Oise Creil et Compiègne 250
Dans la Somme Amiens 200 contre 180 pour le reste du dpt.
Le Directeur ou la Directrice peut vérifier l’attestation de test négatif.
On exprime la difficulté d’accueillir des enfants qui arrivent par le périscolaire ou seuls. Que faire s’ils n’ont pas de tests ? Pas de solutions miracles à part prévenir les parents...
M le Recteur rappelle sa position. Il faut faire simple en cas d’élèves absents COVID et envoyer simplement les documents. Continuité pédagogique mais pas double travail pour les collègues.
Monsieur le Recteur dit que la continuité pédagogique peut être assurée par l’enseignant de chez lui en particulier si la connexion est meilleure. Pas d’obligation de retourner à l’école même si le lien d’équipe est important.
Il peut revenir avec un test négatif (attesté par les autorités de santé).
Les retours se feront certainement de manière échelonnée après les tests de ville. (Médecins, pharmacies, etc.)
Si les parents ne s’engagent pas dans la procédure, le retour de l’élève se fera après 7 jours, avec ou sans test.
3 cas positifs sur les 7 derniers jours.
Pas de jour de carence pour les absences COVID (loi du 5 août).
Non, selon le Recteur.
Les campagnes de tests sont programmées 2 semaines à l’avance en priorisant les régions où les taux sont élevés. Mais difficile de prévoir. Il faut se coordonner avec les laboratoires d’où la nécessité de planifier à l’avance. Mais une certaine souplesse existe en cas d’alerte sur une école.
Environ 50% des familles donnent leur autorisation contre 80% en juin.
Pour les zones rurales isolées (liste en cours d’élaboration) où l’accès aux tests est très difficile, concentration des moyens par l'Education Nationale.
Dans le protocole il est précisé qu’il faut un respect strict des gestes barrières dans la classe et qu’il faut prendre des précautions pour le chant ou l’EPS en intérieur (port du masque).
Les enfants doivent porter le masque aussi en extérieur pendant 7 jours si un cas a été détecté.
Pas de changement jusqu’au 31 décembre. On ne sait pas après. Les demandes peuvent encore être faites. Des masques chirurgicaux vont être envoyés dans les établissements pour les personnes vulnérables mais pas de FFP2.
Il reste un stock de masque inclusifs pour les enseignants de maternelle, de CP et les AESH de ces classes. Il sera distribué avant les vacances. Des masques sont déjà fournis pour les personnels travaillant avec des enfants mal entendants.
En cours de livraison. Dotation jusqu’aux vacances.
Jusqu’au 18 novembre les équipes ont été capables de tester les classes le jour même ou le lendemain d’un cas positif. Après le 18, difficile de suivre le rythme car les labos sont surchargés. Les tests à J7 sont réalisés. Peu de cas positifs à J7.
Si des cas positifs à J7 (très peu) de nouveaux un test à J14
54 classes ont dû être fermées dans l’Aisne car incapacité des labos à faire le test en temps voulu ou à se déplacer. L’expérimentation a permis d’éviter la fermeture de 100 classes.
Taux de réponse très satisfaisant.
54% des structures sont équipées en capteur de CO2 dans le 2d degré. Mais disparité selon les départements (tous les collèges de l’Aisne équipés, quelques collèges dans l’Oise, peu dans la Somme). Tous les lycées sont équipés d’un capteur (mais pas toutes les salles généralement 2 capteurs mobiles par lycée).
Dans le 1er degré seulement 4%
23 structures ont un purificateur (13 écoles et 10 étab).
Les collectivités peuvent demander une participation financière au rectorat pour l’achat de capteurs de CO2. Le Rectorat écrit au Conseil Régional, aux 3 Conseils Départementaux et aux Associations de Maires.
Critères, 2€ par élèves, et nombre de capteurs.
Pas de changement de réglementation jusqu’au 31 décembre.