SECTION SE-Unsa du VAL D OISE - IMMEUBLE JACQUES LEMERCIER - 5 AVENUE DE LA PALETTE - 95000 CERGY PONTOISE
Tél. 09 64 06 73 29 - Por. 06 56 84 65 68 - 95@se-unsa.org
Mouvement :
Le SE UNSA 95 et l’UNSA Education 95 s’oppose totalement à la loi de Transformation de la fonction publique de juillet 2019.
Le travail paritaire ne sera plus comme avant. Ce postulat établi, comment faire évoluer le dialogue social ? C’est pour cela que je vous transmettrai ma carte de visite à la fin de cette audience afin d’échanger dans un cadre serein et apaisé.
La disparition de la CAPD du 28 août ne permet plus de donner des informations stabilisées aux collègues. Les changements locaux au niveau des antennes et circonscriptions d’affectation n’ont pas non plus sécurisé les familles et surtout les élèves.
Le SE UNSA 95 souhaite également être associée lors des CTSD à la rédaction de la circulaire du mouvement afin de l’expliquer aux collègues t apporter des précisions émanent du terrain.
Le ministre étant très friand de la mobilité professionnelle, c’est un comble de ne pas pouvoir faire valoir ses années d’AGS dans une autre fonction publique.
Nos demandes :
AGS dans toute la fonction publiques
Avoir les documents finalisés des 2 mouvements
Etre associés à la rédaction de la circulaire
Le SE UNSA 95 pésera pour obtenir ces 3 points.
SRAN :
Lors du CTSD du 4 septembre, Mme la DASEN répondu favorablement à la demande de l’UNSA Education 95. La mise en paiement de toutes les journées réalisées est un signal et message fort envoyé aux collègues malgré l’erreur d’appréciation des services de la DSDEN.
A contrario, les collègues ont eu l’impression de travailler pour rien surtout les directeur.trice.s.
Et puis le regard des familles. Ce sont bien les Ă©quipes qui Ă©taient au premier plan.
Billet d’humeur :
Les collègues sont déjà résigné.e.s. L’épée de Damoclès de la fermeture de classe pèse sur toutes les têtes (enseignant.e et parents). Il y un profond mal être chez les enseignant.e.s aujourd’hui. La situation sanitaire mais également le décalage de la parole ministérielle et la réalité du terrain n’interroge plus les collègues mais les exaspère. Il y a une véritable souffrance au travail qui n’est certes pas nouvelle mais accentuée avec tous les chantiers ouverts lors de cette mandature mais aucun fermé. Cet autoritarisme est très mal vécu par la profession.