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Mardi 13 février matin : CSA de repli
Présents : Mme Orlay, Mme Grizon, M. Gauthier, Mme Meuleman, M. Czekala, 3 UNSA Education, FO, FSU.
Nous procédons à la lecture des déclarations liminaires (voir au bas de cet article).
En introduction et en rĂ©ponse Ă notre dĂ©claration, Madame Orlay nous indique que notre « commande est ferme » quant Ă notre demande supplĂ©mentaire de postes Ă relayer au Ministère. Nous lui confirmons qu’il s’agit lĂ d’une demande forte de la profession et de ses reprĂ©sentants que nous sommes.
Nous réabordons la question de la demande d’audience du Collectif RASED (faite en décembre dernier) et à laquelle le cabinet n’a pas encore répondu. Nous lui demandons d’y donner une suite rapidement.
Nous rapportons les arguments que nous avions avancés la semaine dernière sur les écoles sous le coup d’une fermeture.
Mme Orlay rappelle que le CSA D est une instance qui répartit les moyens alloués.
L’aménagement du territoire n’est pas du champ de compétences de l’Education Nationale.
Nous réinterrogeons l’administration quant aux 150 postes mis en réserve au Ministère (ils avaient été annoncés lors du CSA MEN de décembre dernier). Mmes Grizon et Orlay n’ont pas d’informations à ce sujet. Nous nous engageons à solliciter notre National sur la question.
Comme attendu, ce CSA de repli n’a pas apporté les réponses espérées, puisque l’Inspectrice d’Académie ne bouge pas les propositions émises lors du CSA du 5 février dernier.
Elle soumet donc cette proposition de carte scolaire aux représentants de personnels et reçoit un vote unanime en CONTRE.
La séance est levée au bout d’une heure.
Mardi 13 février après-midi : boycott du CDEN
A 14 h était prévu que se tienne le CDEN, instance qui enterrine en préfecture l’arrêté de carte scolaire proposé par Mme l’Inspectrice d’Académie.
En accord avec le collectif de parents d’élèves de la Haute-Vienne, avec les élus du département, avec les députés et les sénateurs de notre territoire, nous avons décidé de boycotter le CDEN. Nous n’avons donc pas siégé.
En lieu et place, s’est tenue devant la préfecture une mobilisation à laquelle nous ont rejoints les collègues grévistes. Le boycott est un signal fort envoyé à M. le Préfet, représentant de l’Etat dans notre département. Nous souhaitions, par cette mobilisation unie des différents parties concernées par le service public d’éducation, lui adresser un message fort quant à une rentrée 2024 qui sera forcément dégradée du fait des (trop) nombreuses fermetures de classes annoncées.
Le CDEN de repli se tiendra le lundi 4 mars à partir de 14h30 à la Préfecture.