La séance du CSE du 8 juin 2012 a été ouverte par le nouveau ministre, V.Peillon. Plusieurs organisations (dont le SE-Unsa) lui ont remis une lettre (voir lien ci-dessous) pour qu’il ouvre au plus vite le chantier du socle commun.

Le ministre est resté peu de temps. Il a justifié ce passage rapide par le calendrier politique et la nécessité d’attendre le résultat des élections législatives pour lancer le chantier de la refondation de l’Ecole. Il a su trouver des mots forts pour exprimer les enjeux qui attendent notre Ecole et ses propres attentes vis-à-vis du CSE. Qualifié de « véritable parlement de l’Education », le CSE devra jouer un rôle important dans l’élaboration de la future Loi d’Orientation et le ministre a pris rendez vous le 28 juin pour une séance de travail approfondi. Il a demandé aux membres du CSE de ne pas en faire le lieu « de l’addition des problèmes mais celui de la construction des solutions ».

Vous trouverez les interventions de Christian Chevalier pour le SE-UNSA et celle de Laurent Escure pour l'UNSA-Education.

Le SE, le SIEN, le SNPDEN, la fédération UNSA-Education, la CFDT, la FEP, le SGEN, la Ligue et la FCPE ont donné une lettre commune au ministre que vous trouverez ici. L’objectif était de montrer qu’un pôle progressiste existe et défend le principe du socle commun et fait des propositions pour avancer concrètement dans sa mise en œuvre. Cette initiative est suivie d’une demande d’audience des 4 fondateurs de l’appel « socle commun, promesse démocratique » (www.soclecommun2012.wordpress.com ) auprès du ministre qui part ce jour.