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RYTHMES SCOLAIRES : le SE-UNSA entend la grogne des enseignants
Article publié le mercredi 13 novembre 2013.
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Favorable à la réforme des rythmes scolaires qui sera généralisée à la rentrée 2014, le SE-Unsa entend la grogne des enseignants, sans pour autant appeler à la grève dans l’immédiat.

Pour Christian Chevalier, secrétaire général du SE-Unsa, la réforme des rythmes scolaires n’est qu’une part de la "refondation de l'éducation" qui ne pourra se faire sans les enseignants.

À l'heure où montent d’un peu partout les critiques adressées au ministre de l'Éducation contre sa réforme des rythmes scolaires, le SE-UNSA a clarifié jeudi soir sa position au court d’un point de presse à Beauvais: malgré une « application précipitée », la réforme est avant tout « favorable pour les enfants », pour peu qu'enseignants, élus et parents d'élèves s'accordent.

« La réforme des rythmes scolaires a du sens lorsqu'il s'agit de favoriser l'apprentissage », commente Christian Chevalier, secrétaire général du SE-UNSA. La réussite des élèves est un enjeu, selon lui, porté par la nouvelle réforme, dont l'efficacité dépend de la collaboration entre les différents acteurs: « Il y a une diversité des points de vue selon les territoires : là où enseignants, collectivités territoriales et élus se parlent et s'écoutent, tout se passe bien. » Une coopération toutefois impossible sans « considération de la part des élus vis-à-vis des contraintes pédagogiques des enseignants ».

Le périscolaire, enjeu crucialS'il n'appelle pas à la grève, le SE-UNSA a affirmé son engagement auprès du corps enseignant, et plus particulièrement, autour d'une question cruciale, celle de la pause méridienne.

Les difficultés naissent lorsque cette plage de mi-journée est allouée aux activités périscolaires : «L'occupation des locaux par les enseignants durant cette période est une vraie question : ils doivent rester maîtres de leur classe», détaille Christian Chevalier.

                                                                                  

Extrait du Courrier Picard du 8/11/2013
 

 
 
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