Vous avez envoyé un signal très fort le 13 janvier face à la situation de crise que traverse l’École. Il a permis de premières annonces du Premier ministre (lire notre article).
Pour le SE-Unsa, nous avons maintenant ensemble à les faire se concrétiser, sans engager immédiatement une nouvelle journée de grève.
Avant d’investir une nouvelle journée de salaire, nous devons maintenir ensemble la pression sur l’exécutif tout au long de la semaine afin de montrer à l’opinion publique, aux parents d’élèves, aux Dasen et Recteurs que nos attentes et nos revendications sont légitimes et urgentes pour faire fonctionner les écoles et établissements.
La situation est critique dans de nombreux territoires. Certaines annonces (comme les recrutements) mettront un certain temps à se concrétiser. Toutefois, il est du devoir de l’exécutif d’accélérer le rythme et de passer des paroles aux actes. Le Premier ministre dispose des instruments pour provoquer cette accélération et concrétisation de nos attentes.
Le SE-Unsa, nationalement comme dans les territoires, se charge de porter vos attentes auprès des décideurs.
Vous pouvez aussi jouer un rôle essentiel.
Comment ?
Pour obtenir du concret et vite, j’écris au Premier ministre !
Le SE-Unsa vous propose un courriel à signer et à envoyer à Jean Castex pour lui faire connaître vos demandes tout autant légitimes qu’urgentes.
>>> Je signe le courriel et je l’envoie au Premier ministre
Vous avez des attentes fortes ? Affichez-les.
Un vieux T-shirt ? C’est le début d’un brassard. Découpez une manche et transformez-la en brassard sur lequel vous écrivez #éducation #urgence. Chaque personne que vous croiserez soit vous demandera pourquoi vous portez ce brassard, soit vous apportera d’emblée son soutien parce que la situation de l’École ne lui aura pas échappée. Pour vous, pour l’École, c’est gagnant-gagnant.