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SE-UNSA 51


 Par SE-UNSA 51

CTSD préparation rentrée scolaire 2nd degré

 

Présentation de la rentrée 2016 dans le second degré marnais par l’IA-DASEN

1/ Concernant les collèges

• +5 ETP dans les collèges pour une légère augmentation des effectifs

Rappel des priorités fortes :

  • Création de 4 ULIS collège : Fère Champenoise /Vitry-le-François - Les Indes/Frignicourt/ Châlons - Perrot d’Ablancourt
  • Allocation différenciée des moyens en éducation prioritaire :
  • Collèges en REP : + 15h et 25 élèves par classe 
  • Collèges en REP+ : + 15h + compensation intégrale de la pondération (cas particulier pour Joliot-Curie qui conserve ses moyens horaires supplémentaires accordés du temps où le collège était en RAR) également 25 élèves par classe 
  • Collèges sortis de l’Education prioritaire : + 5h et maintien du seuil à 25 élèves par classe o Clause de sauvegarde garantissant à chaque collège qu’à nombre de divisions identique, la DGH issue de la mise en place de la réforme du collège ne peut être inférieure à celle de cette année.

• Bilan des créations, suppressions et transformations de postes définitifs à la rentrée 2016  : 25 créations de postes / 29 suppressions de postes /4 mesures de carte scolaire

2/ Concernant les lycées

• Plutôt une poussée démographique en lycée o Le pic de naissance de l’An 2000 arrive au lycée, dans l’académie, comme partout en France…

• Bilan des créations, suppressions et transformations de postes définitifs en Lycées d’Enseignement Général et Technologique à la rentrée 2016 : 22 créations de postes / 9 suppressions de postes / 2 mesures de carte scolaire

• Bilan des créations, suppressions et transformations de postes définitifs en Lycées Professionnels à la rentrée 2016 : 8 créations de postes / 8 suppressions de postes / 3 mesures de carte scolaire

3/ Autres informations

• Les compléments de service ont un peu baissé par rapport à l’an dernier. 176 personnels sont concernés contre 200 à la rentrée 2015.

• Quant aux BMP ils passent de 139 à 2014 en collège. La grande majorité des besoins provisoires ont un volume de 7 à 12h. Quelques BMP à 18h (décharges pour missions particulières, décharges syndicales, temps partiel)

• 32 postes neutralisés contre 24 l’an dernier

• Berceaux pour les stagiaires :  Peu de postes pris par des stagiaires - 78% des BMP pour les stagiaires

• Le volume des HS : le taux des HS dans les collèges à la rentrée 2016 devrait être sensiblement le même que celui de 2015. Dans les lycées se taux devrait même baisser de 0,4 à 0,5%. La répartition HP et HS interroge toujours. En effet, les collègues comprennent mal que parfois dans une discipline il y ait 2 HSA à faire dans l’établissement et que dans le même temps il y ait 2 HP à faire dans un autre établissement. On nous rappelle que les chefs d’établissements ont deux lignes budgétaires fléchées, les heures postes et les heures supplémentaires (HSA,HSE, IMP).

Situation particulière de l’allemand

  • 2 suppressions de postes d’allemand en collège : L’Unsa demande ce que vont devenir ces collègues, d’autant que des collègues sont déjà en sous- service. Pourront-ils aller faire de l’allemand en primaire ?
  • L’IA-DASEN nous répond que la Rectrice est sensible à la continuité du parcours linguistique. Il veillera de son côté à ce que la LV2 allemand soit bien présente partout. Il l’a d’ailleurs rappelé aux chefs d’établissement.
  • La redynamisation de l’allemand ne peut pas reposer sur les seules bilangues d’amorçage ou de continuité ; Il doit aussi s’appuyer sur l’allemand en primaire.

 Lettres Classiques :  Interrogation également sur les postes de lettres classiques qui disparaissent dans les collèges à l’heure où la réforme du collège devrait permette à chaque élève de pouvoir faire du latin…

  • 3 suppressions de postes de lettres classiques dans les collèges marnais : Perrot d’Ablancourt, Fismes et François Legros ;
  • Dans ces établissements les postes étaient vacants depuis plusieurs années. Il subsiste un enseignant en lettres classique dans chacun de ces établissements. Les chefs d’établissement ont fait remonter le nombre d’heures dont ils avaient besoin.