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Carte scolaire : CDEN du 19 mars
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L'Inspecteur d'académie revient sur le projet du CTSD sur certaines situations. Le compte-rendu complet sera fait en début d'après midi.

 


MODIFICATIONS ACTEES EN CDEN

Lachy/Le Gault Soigny : à déterminer comment sera faite la répartition des postes. les infos seront données demain. Arbitrage de la municipalité.

OIRY : Annulation de la fermeture, les effectifs sont lĂ .  

Jules Ferry SUIPPES  : Ouverture   

NUISEMENT : Fusion confirmĂ©e.  

MAT ST MARTIN D’ABLOIS : Ouverture 

Pas de dĂ©fusion Ă   Primaire JOLIOT CURIE Reims

Une erreur à Alfred Gérard Reims qui avait déjà 7 classes donc pas d’ouverture.

FERMETURE Ă  MAT JEAN MACE CHALONS  (conditionnelle car nouvelle situation, mais fermeture actĂ©e aujourd'hui)

PAS d'OUVERTURE  Ă  AVIZE Ă  la demande de la municipalitĂ© qui souhaite que la situation soit stabilisĂ©e au regard des investissements dans les locaux.

OUVERTURE Ă  REIMS Elementaire MAZARIN 


BILAN : RESERVE  POUR LES AJUSTEMENTS COMPLEMENTAIRES :  8 ou  9 Postes.

Balance sur le rĂ©seau Ă©coles 

  • OUVERTURES 41 classes ordinaires – 2 Ulis – 1UPE2a Ă  Prieur de la Marne Ă  Reims  - 9CP dĂ©doublĂ©s 14.5 CE1 dĂ©doublĂ©s
  • FERMETURES 50 classes ordinaires et 8 PDM

 

RYTHMES SCOLAIRES :

Restent à 4jours et demi à la rentrée prochaine les communes suivantes :

  • Chalons-en-Champagne
  • Compertrix
  • Mardeuil
  • Pierry
  • ST Brice Courcelles
  • ST Hilaire Le Grand

Soit 6 communes et 31 Ă©coles.


DECLARATION de l'UNSA EDUCATION

DĂ©claration de l'UNSA Education au CDEN de la Marne du 19 mars 2017

Monsieur le Préfet, Monsieur l’Inspecteur d’Académie, Monsieur le Président du Conseil Départemental, Mesdames et Messieurs les membres du CDEN,

Fonction Publique

Le débat est vif aujourd’hui sur l’avenir de la fonction publique et des services publics, certains souhaitent même les remettre fondamentalement en cause.

Dans les dis­cus­sions, concer­ta­tions ou négo­cia­tions ouver­tes par le gou­ver­ne­ment, l’UNSA Fonction Publique a décidé de ne pas déser­ter les débats. Ce choix ne signi­fie en rien que l’UNSA Fonction Publique sera en accord avec les sujets mis sur la table. Au contraire, elle les dis­cu­tera un à un, mar­quant à chaque fois ses accords et désac­cords et ten­tant de les rap­pro­cher de ses pro­po­si­tions.

L’ambition de l’UNSA est de convaincre que « le service public n’est pas une charge, mais une chance ! Â» et non de s’opposer par principe. Dans cette ambiance de fonctionnaire bashing, l’UNSA affirme avec force que les services publics sont porteurs de l’intĂ©rĂŞt gĂ©nĂ©ral, vecteurs de solidaritĂ© et de cohĂ©sion sociale.

C’est pourquoi l’UNSA estime que les agents publics doivent être reconnus par leurs employeurs et mieux rémunérés. Aucune réforme ne pourra se concevoir durablement contre et sans les agents publics. Nous réaffirmons l’impor­tance de conduire un dia­lo­gue social appro­fondi et la néces­sité d’impli­quer les agents dans toutes les trans­for­ma­tions.

L’UNSA entend bien peser durablement sur les choix qui seront faits afin de dĂ©fendre et promouvoir un service public et une fonction publique durables. L’ UNSA appelle tous les personnels de la fonction publique Ă  participer au dĂ©bat, avec elle,  en faisant des propositions, en relayant dans leurs rĂ©seaux  des informations sur  l’utilitĂ© du service public , puisque certains semblent l’avoir oubliĂ©e !

Carte scolaire

L’UNSA Education regrette la disparition du dispositif PDMQDC, qui avait permis de trouver une logique de travail en Ă©quipe en enseignant autrement. Nous l’avons tous dit : aucune Ă©valuation n’a Ă©tĂ© faite avant leur suppression.  Ce dispositif Ă©tait une revendication de longue date de notre organisation syndicale.  Les dispositifs dĂ©doublĂ©s CP et CE1 ne sont pas une mauvaise chose, mais ils focalisent l’intervention sur les CP (et CE1 l’an prochain), alors que les PDM permettaient un appui sur au moins le cycle voire plus.

25 postes supplĂ©mentaires, dans la Marne, cela peut paraĂ®tre royal, mais les besoins en Ă©ducation prioritaire sont supĂ©rieurs Ă  cette dotation. Nous souhaitons que l’offre Ă©ducative ne soit pas diminuĂ©e dans le secteur rural pour abonder les rĂ©seaux prioritaires. De mĂŞme, nous faisons remarquer que les Âľ des Ă©lèves issus de milieu dĂ©favorisĂ© ne sont pas scolarisĂ©s en Ă©ducation prioritaire et qu’il faut donc un regard particulier sur certaines Ă©coles : des Ă©coles dites orphelines ou des Ă©coles ayant Ă©tĂ© dĂ©classĂ©es de l’éducation prioritaire il y a 3 ans.  L’Etat doit penser Ă  chacun. Depuis longtemps, les Rased qui couvrent l’ensemble du dĂ©partement n’ont pas Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s.

Monsieur l’Inspecteur d’académie, nous prenons acte que vous conservez le seuil indicatif de 27 élèves en maternelle et en élémentaire, que vous souhaitez améliorer le régime des décharges et les harmoniser en éducation prioritaire, que vous n’avez pas proposé de fermetures intempestives en milieu rural. Ceci est positif. Malgré tout nous attendons aujourd’hui, dans votre arbitrage final, que vous reveniez sur certaines situations limites, ou à vérifier, qui ont été évoquées au CTSD.

Contrats aidés

Monsieur le prĂ©fet, avez-vous des informations sur les nouveaux contrats aidĂ©s dit PEC ? Nous sommes inquiets sur le recrutement gelĂ© d’auxiliaires de vie scolaire pour l’aide aux Ă©lèves handicapĂ©s.

Tout comme nous continuons Ă  revendiquer que les directeurs et directrices d’école ont grandement besoin d’un personnel en aide administrative et de vie scolaire. Alors que nous ne cessons de demander un secrĂ©tariat sur un statut pĂ©renne, jusqu’ici la seule solution trouvĂ©e par l’Etat Ă©tait la mise Ă  disposition d’un personnel sur contrat prĂ©caire CUI. Nous nous faisons ici encore, comme depuis de longues annĂ©es dĂ©jĂ , les porte-parole des collègues que nous reprĂ©sentons et qui n’en peuvent plus, la charge de travail Ă©tant de plus en plus lourde.  Nous sommes ouverts au dialogue, comme nous l’avions exprimĂ© en dĂ©but d’annĂ©e scolaire.

Ouverture d’une Ă©cole hors-contrat EspĂ©rance Banlieues Ă  Reims. 

Bien sûr, la loi autorise l’ouverture d’écoles hors-contrat mais les circonstances de cette implantation nous interpellent à plusieurs titres :

  • Par la facilitation de cette implantation en mettant Ă  disposition (mĂŞme avec un loyer) un bâtiment scolaire municipal non utilisĂ© contigu Ă  l’école Publique Barthou en activitĂ©. Une procĂ©dure de contrĂ´le de lĂ©galitĂ© est d’ailleurs lancĂ©e par des conseillers municipaux, qui ont Ă©galement averti Madame la Rectrice.
  • Monsieur le Maire de Reims a dĂ©clarĂ© qu’il ne subventionnait pas mais accompagnait cette implantation. Nous savons tous que l’accompagnement a un coĂ»t. D’ores et dĂ©jĂ , des dĂ©penses ont Ă©tĂ© engagĂ©es par la ville de Reims (clĂ´tures …) pour cette Ă©cole hors contrat alors que l’activitĂ© de l’école Publique ne le nĂ©cessitait pas. Ces dĂ©penses sont donc Ă  affecter Ă  l’école Hors Contrat.
  •  Sur le plan pĂ©dagogique, la prĂ©sidente de l’association, Madame Pelletreau, a largement communiquĂ© sur son projet. Elle indique que toutes les matières scolaires ne seront pas enseignĂ©es, alors mĂŞme qu’elle dĂ©clare viser le socle commun. AcquĂ©rir le socle commun est une obligation Ă  atteindre, le conseil d’état l’a rappelĂ©, mĂŞme s’il laisse le choix des mĂ©thodes pĂ©dagogiques. D’emblĂ©e, nous savons que le projet de cette Ă©cole ne permettra pas aux jeunes Ă©lèves d’acquĂ©rir les compĂ©tences du socle. Mme Pelletreau a dĂ©clarĂ© que les Ă©lèves auraient des cours de français, maths, histoire et amour du pays … l’anglais ? non, ils parlent dĂ©jĂ  un autre langue dit-elle. Informatique ? non, ils utilisent Ă  la maison tablettes et smartphones !  Notre but, dit-elle, sera de leur donner leur chance pour qu'ils puissent rĂ©intĂ©grer un jour, les Ă©coles de l'Education Nationale. Partout oĂą ces Ă©coles existent, les Ă©lèves qui rĂ©intègrent l’école publique sont bien en deçà du niveau attendu, et pour cause. D’ailleurs, EspĂ©rance Banlieues ne communiquent pas sur leurs rĂ©ussites, c’est dire.
  • Nous estimons Ă  l’UNSA Education que les Ă©lèves de cette Ă©cole seront en danger. Nous demandons Ă  ce que l’institution effectue des contrĂ´les a-priori, au vu des dĂ©clarations qui ont Ă©tĂ© faites sans attendre de constater les dĂ©gâts sur les apprentissages de ces Ă©lèves, considĂ©rĂ©s comme dĂ©crocheurs alors mĂŞme qu’ils ne font que dĂ©buter leur scolaritĂ© obligatoire.
  • Nous estimons aussi que nos collègues des Ă©coles publiques Barthou attenantes, qui font par ailleurs un travail formidable, par la richesse de leurs projets autour du vivre ensemble et de la laĂŻcitĂ©, doivent ĂŞtre soutenus par l’institution. Ils n’auront pas Ă  cĂ´toyer de simples voisins. Ils auront Ă©galement Ă  faire face au prosĂ©lytisme, puisqu’ils partageront les mĂŞmes voies d’accès.   

Le SE-UNSA puis l’Unsa Education avec le Comité départemental d’action laïque (comprenant aussi les DDEN, la FCPE) ont écrit au Maire de Reims sur ces sujets. Des réponses de forme ont été apportées. Monsieur le Maire de Reims se méprend sur notre action. Il ne s’agit pas de remettre en cause l’engagement de la Ville de Reims auprès des écoles publiques, il s’agit de protéger les élèves et les écoles publiques attenantes. Nous n’avons pas obtenu de RV pour une audience que nous avions demandée. C’est regrettable.

Aucune demande d’ouverture n’a été adressée aux autorités de l’éducation nationale nous a indiqué monsieur le Secrétaire général du rectorat, vendredi dernier au CTA. Sur le Facebook de l’école Espérance banlieue de Reims, il y a depuis le 12 mars, une photo des clefs du bâtiment qui viennent de leur être données. Le dossier de demande d’ouverture ne saurait donc tarder à parvenir aux autorités. Il reste donc un peu de temps pour contrer ce projet, procéder aux vérifications dans le seul but de protéger les enfants.

J’aurais pu Ă©galement parler du lever du drapeau chaque matin, du fait que l’association EspĂ©rance banlieue se revendique « non confessionnelle et non laĂŻque Â», des liens entre la fondation qui les finance, la « Fondation pour l’école Â» et ses ramifications avec « la manif pour tous Â» et « sens commun Â», le coĂ»t exorbitant du financement (350 000 euros pour scolariser 50 Ă©lèves) Ă  trouver auprès de mĂ©cènes qui pourraient tout autant soutenir les beaux projets de l’école publique… il y aurait tant Ă  dire !

L’arrivĂ©e d’une Ă©cole EspĂ©rance Banlieues Ă  Reims n’est pas ordinaire, car cela va bien au-delĂ  de l’implantation supplĂ©mentaire d’une nouvelle Ă©cole privĂ©e. Et il y a lĂ©gitimement lieu de le dĂ©noncer.  DĂ©noncer l’entourloupe, la vente de rĂŞve … au service d’une idĂ©ologie malsaine. Nous espĂ©rons que les familles ne se laisseront pas prendre au piège.

Au regard de tout ce que nous venons d’exposer, L’UNSA Education ne comprendrait pas que cette école hors contrat puisse obtenir l’autorisation d’ouvrir. Tous les enfants ont droit à une éducation de qualité et notre institution doit y veiller.


COMPTE-RENDU CDEN SEANCE PLENIERE  

Premières réponses de Monsieur Obéllianne, inspecteur d’académie aux déclarations des Organisations syndicales et de la FCPE.

Il partage bien Ă©videmment les valeurs de la rĂ©publique. L’inclusion des Ă©lèves en situation de handicap est une prioritĂ©. Les emplois pĂ©rennes et durables seront de plus en plus nombreux, malgrĂ© les changements de type de contrats. En 10 ans, depuis la loi de 2005, le nombre d’ Ă©lèves Mdph  est passĂ© de 80 Ă  900 Ă©lèves. C’est Ă©norme et cela nĂ©cessite un gros travail de la part des services qui ajustent de façon la plus rĂ©active possible.

Monsieur Obellianne est très attentif Ă  la situation de l’école hors contrat citĂ©e et regardera de très près cette situation, selon la règlementation  en vigueur, il confirme aussi qu’il n’y a pas de dĂ©pĂ´t de demande d’ouverture.

La question du remplacement est une vraie question. Les services s’affairent à toujours trouver de meilleures organisations.


PV du 8 dĂ©cembre : en cours de signature. A voir au prochain CDEN.

CompĂ©tences au titre du dĂ©partement :

  • Affectation des nouvelles rues aux pĂ©rimètres de scolarisation. AdoptĂ© Ă  l’unanimitĂ©
  • Question diverse :  suppression du poste de principale adjointe/question posĂ©e par un maire qui exprime le dĂ©saccord des maires. L’IA-Dasen expliqueque cette dĂ©cision relève du CTA et a Ă©tĂ© discutĂ©e vendredi dernier. Baisse forte dans l’acadĂ©mie de Reims du nombre d’élèves. C’est le nombre d’élèves qui dĂ©termine les emplois et les emplois de cadres. Depuis plusieurs annĂ©es, l’acadĂ©mie de Reims perd chaque annĂ©e l’équivalent de plusieurs EPLE. Le ministère a donc demandĂ© de rendre 3 postes de personnels de direction. Le collège St thierry, avec moins d’élèves en catĂ©gorie favorisĂ©e a Ă©tĂ© pointĂ© pour fermeture. La principale adjointe a Ă©tĂ© reçue en temps utiles et ne sera pas pĂ©nalisĂ©e dans son affectation. Vote unanime contre, de la part des reprĂ©sentants des personnels au CTA du 16 mars. L’IA explique que ce sont les enseignants qui font le gros travail en EPLE, en travaillant en Ă©quipe avec l’encadrement qui devra se rĂ©organiser. La rĂ©alitĂ© dĂ©mographique rattrape notre acadĂ©mie, moins sur la Marne. Le projet de rĂ©organisation du collège de St Thierry sera accompagnĂ© avec d’autres dotations. Il n’y a pas le choix. Charles de Courson indique qu’il faut dĂ©charger le collège de Fismes en affectant les Ă©lèves de Jonchery Ă  St Thierry et demande si les 80 Ă©lèves de Jonchery rejoignaient St Thierry, si le poste d’adjoint serait recrĂ©Ă©. L’IA indique que les choses ne sont jamais figĂ©es, et que c’est au regard de la dĂ©mographie des Ă©lèves que les dĂ©cisions sont prises. L’institution d’adapte.
  • FISMES : sureffectifs et collèges de l’Aisne ont rĂ©cupĂ©rĂ© les Ă©lèves axonais. Les avis sont partagĂ©s sur les solutions choisies. La commune de Jonchery souhaite rester sur Fismes. Une rĂ©union rĂ©cente Ă  envisagĂ© une solution d’extension sur place (restauration scolaire et crĂ©ation de 2 ou 3 classes, cette Ă©tude sera prĂ©sentĂ©e en mai prochain. L’Unsa Ă©ducation avait l’an passĂ© suggĂ©rĂ© une 3ème solution et ceci va dans le bon sens.
  • La FCPE remercie le conseil dĂ©partemental sur la gestion des collèges, au regard de se qui se passe dans la Meuse (fermeture de 3 collèges ruraux qui emmènent les Ă©lèves Ă  45 mn de chez eux).
  • Le prĂ©sident du conseil dĂ©partemental rĂ©affirme encore qu’il n’y aura pas de fermeture de collège dans la ruralitĂ©. Il a rencontrĂ© le prĂ©sident en charge Ă  la rĂ©gion des transports scolaires et a indiquĂ© qu’il fallait ĂŞtre vigilant pour ne pas crĂ©er des trajets trop longs pour les Ă©lèves.  
  • CrĂ©ation d’un pĂ´le de maintenance informatique. Le recrutement est en cours. Travail ensemble avec le rectorat.
  • Restauration scolaire : uniformisation des tarifs en cours Ă  la rentrĂ©e de 2019. Et diffĂ©renciation sur les fratries.

   

CARTE SCOLAIRE ECOLES ET COLLEGES

Le contexte :

  • Perte prĂ©vue de 520 Ă©lèves et dotation de 25 postes dans le 1er degrĂ©.
  • DĂ©doublement des CP et CE1 en Rep+ et CP en Rep :
  • 86 classes supplĂ©mentaires dĂ©doublĂ©es et aussi hors Ă©duc prio (paul fort vitry et Ferdinand buisson Chalons). CoĂ»t 23,5 postes sur la carte. 14.5 postes de PDM sont redĂ©ployĂ©s . 19.5 postes Ă  moyens constants servent aussi Ă  dĂ©doublĂ©s.
  • Permet de faire attention au monde rural. Fermetures logiques quand pertes importantes d’élèves
  • 3 postes PDM sont maintenue paul lapie, la crayère, mat gallieni
  • Accueil des Ă©lèves – de 3 ans : au total 18 dispositif moins de 3 ans
  • CrĂ©ation de 2 Ulis 1er degrĂ© ( = 42 ULIS)
  • CrĂ©ation d’un rĂ©fĂ©rent ASH.
  • Mise Ă  disposition d’un nouvel enseignant Ă  la MDPH, Ă  titre dĂ©finitif.
  • Renforcement des dĂ©charges de direction en Ă©duc prio.
  • Seuils d’ouvertures et fermetures de classes ne bougent pas dans le premier ou le second degrĂ©.
  • 25 mat et elem en ED PRIO et 27 hors de l’Educ Prio. Seuils indicatifs et donc parfois un lĂ©ger dĂ©passement si secteur privilĂ©giĂ© ou manque de locaux.

 

Nombre d â€™Ă©coles Ă  la rentrĂ©e 2018 : 433 Ă©coles au lieu de 438 actuellement. 5 au titre des fusions ou fermetures en pleine cohĂ©rence avec les Ă©lus.

DĂ©veloppement des postes en ASH : Ă©cole Elem Terme Hilaire Ă  Mourmelon et Tournebonneau Ă  Reims. (9 Ă©lèves de Mourmelon sont actuellement Ă  Suippes et retourneront Ă  Mourmelon)

Les dédoublements prévus à la rentrée.

  • 47 CP REP + : +4 dĂ©doublements = 47
  • 34 classes dĂ©doublĂ©s en REP /
  • 38 CE1 en REP+ = + 38 
  • 5 CE1 en REP
  • 5 en CP hors Ă©duc prio

MODIFICATIONS PAR RAPPORT AU CTSD

  • OIRY :  REVIENT SUR LA FERMETURE
  • Jules Ferry Suippes : demande une OUVERTURE - AccordĂ©
  • NUISEMENT : FUSION INDISPENSABLE pour l’ IA
  • MAT ST MARTIN D’ABLOIS : confirmation de 60 Ă©lèves pour 2 classes – OUVERTURE
  • Pas de dĂ©fusion cette annĂ©e Ă  PRIMAIRE JOLIOT CURIE
  • Une erreur Ă  Alfred GĂ©rard REIMS, qui avait dĂ©jĂ  7 classes donc pas d’ouverture.
  • Une situation se dĂ©couvre : FERMETURE Ă  MAT JEAN MACE CHALONS (90 eu lieu de 104 pour 5 classes) – conditionnelle car nouvelle situation, mais fermeture actĂ©e ce jour.
  • Pas d’ouverture Ă  AVIZE Ă  la demande de la municipalitĂ© qui souhaite que la situation soit stabilisĂ©e au regard des investissements dans les locaux.
  • REIMS Elem MAZARIN :  OUVERTURE  

PrĂ©cisions supplĂ©mentaires :

  • Demande Jean MacĂ© Elem Reims (300Ă©lèves)/ Decharge de direction hors educ prio . attendre les ajustements de juin
  • PrĂ©cisions sur l’arrivĂ©e des Ă©lèves Ă  Montmirail : en effet 40 Ă©lem et 10 mat. A suivre pour la maternelle en juin

VOTE DES REPRESENTANTS DES PERSONNELS

7 votes contre = FSU / 7 abstentions = UNSA Education, SGEN, FCPE / 11 Approbations

8 ou  9 Postes sont en rĂ©serve pour les ajustements de juin et septembre.

Balance ouvertures/fermetures

  • OUVERTURES 41 classes ordinaires – 2 Ulis – 1UPE2a Ă  Prieur de la Marne Ă  Reims  - 9CP dĂ©doublĂ©s 14.5 CE1 dĂ©doublĂ©s
  • FERMETURES 50 classes ordinaires et 8 PDM

PRESENTATION Carte des Collèges

Point d’étape avec les collèges ; la situation sera vue en CTSD le 23 mars. Les situations d’effets de seuil sont regardĂ©es. En juin, il peut y avoir encore des reprises ou de crĂ©ations de divisions.

ORGANISATION DU TEMPS SCOLAIRE ET RYTHMES

Le calendrier prĂ©visionnel a Ă©tĂ© respectĂ©. La plupart des communes ont demandĂ© une dĂ©rogation Ă  4 jours. Tous les horaires prĂ©visionnels nous ont Ă©tĂ© donnĂ©s. Nous avons soulevĂ© le manque de transparence parfois entre communes et conseil d’école pour le choix des horaires.  Commentaire de l’Unsa Education : le code de l’éducation n’a pas changĂ© et le schĂ©ma ordinaire est 4 jours et demi. L’exception devient majoritaire sur le droit commun. Cela interroge.  Il y a un moment oĂą il faudra que la règle soit mise en conformitĂ© avec la rĂ©alitĂ© sinon cela sera de la fumisterie. La règle est devenue l’exception ! Nous avons demandĂ© que perdure le comitĂ© dĂ©partemental de suivi des rythmes scolaires, la question du rythme de l’enfant Ă©tant toujours d’actualitĂ©.

 IRL INSTITUTEURS

Le comitĂ© des finances locales reconduit le mĂŞme montant de base. L’Unsa Education a demandĂ© que le montant soit revalorisĂ© au regard du peu d’instituteurs qui la touchent (30 ?), et que cela ne met pas en pĂ©ril les budgets des communes. Le prĂ©fet ne change pas d’avis.

DDEN : 2 nouveaux DDEN ont Ă©tĂ© nommĂ©s sur Epernay et Reims ouest.  

 

 

 

 

 

  


 


 

 


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