Lors de la CAPN du 8 juin, le SE-Unsa a rappelé son souhait de voir aboutir des chantiers toujours ouverts (cf. déclaration en PJ) :
- La mobilité géographique nationale est loin des attentes des enseignants. Il est ainsi incompréhensible que certains départements annoncent d’ores et déjà vouloir réaliser plus d’ineat qu’il n’y a eu d’entrées lors des permutations. La question des calibrages reste posée.
- Le travail entamé sur les mouvements départementaux doit se poursuivre. Les questions de vœu géographique, de mouvement complémentaire et d’« incompatibilité » de certains postes avec le temps restent en suspens.
- Les avancées obtenues ne sont pas effectives partout. C’est le cas des décharges de direction pour les petites écoles.
- Les refus généralisés de temps partiels sur autorisation, de détachement ou de disponibilité ne sont pas acceptables. Pour le SE-Unsa, toutes les demandes doivent faire l’objet d’un examen au cas par cas, loin d’un principe de refus dogmatique imposé à tous.
Ces questions, au cœur d’une gestion renouvelée des ressources humaines, sont des chantiers ouverts qui doivent déboucher sur des améliorations pour les enseignants.