Pour l'UNSA, le 1^er mai, marqueur de la solidarité internationale du monde du travail, est un moment syndical important et symbolique.

Dans un contexte de mondialisation de l'économie, l’UNSA souhaite aussi une mondialisation des droits sociaux, des libertés syndicales, du progrès social.

En tant que syndicalistes libres, nous avons l'exigence de revendiquer chaque année avec détermination, notre exigence universelle de démocratie.

Dans de trop nombreux pays, le syndicalisme est encore bridé ou interdit, les salariés sont isolés, sans défense alors qu'ils sont souvent dans une précarité extrême.

En France, le syndicalisme est mis à mal par le gouvernement actuel en particulier au travers de son projet de loi fonction publique (voir l'appel à la grève du 9 mai)

A l'UNSA, nous voulons un syndicalisme de construction, un syndicalisme pragmatique qui produit pour l'avenir des salariés un mode d'organisation du travail qui les protège sans ignorer l'efficacité économique dont dépend aussi l'emploi.

Pour cela, le dialogue social, la négociation sont les seules méthodes qui vaillent.

C'est ce qui fonde l'ancrage réformiste de l'UNSA.

A l'UNSA, nous voulons aussi utiliser ce 1^er mai pour redire avec force nos ambitions, nos exigences et notre méthode. L’UNSA souhaite mettre ce 1er mai sous le signe de ses exigences sociales, écologiques et républicaines !

A quelques semaines des élections européennes, l’UNSA veut aussi rappeler, à cette occasion, son attachement à la construction d’une Europe sociale et environnementale.

• à 10h - Montpellier Esplanade du Peyrou
• à 10h30 Béziers  Bourse du travail

mais aussi à : Agde, Bédarieux, Lodève, Lunel, Pézenas, Montagnac, et Sète.