On est en droit de se demander en effet si la santé et les conditions de travail des agents de l’EN sont des priorités dans notre département. Le constat est plutôt alarmant :

- Le DASEN a confié la présidence du CHSCT au secrétaire général, ce qui pourrait s’entendre à condition que ce dernier ait tous pouvoirs, ce qui ne semble pas le cas !

- Le département de la Gironde n’a pas de conseiller de prévention depuis la rentrée, malgré les demandes insistantes des membres du CHSCT et du conseiller académique.

- Le rôle d’assistant de prévention dans les collèges et les circonscriptions du 1^er degré est confié à des personnels qui ne le demandent pas, qui ne sont pas formés ou trop peu, et surtout qui n’ont pas de temps dédié à cette lourde tâche !

Comment croire dans ces conditions que le DASEN de la Gironde se préoccupe de la santé et des conditions de travail de ses agents ?