Pour Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du syndicat, « cette enquête démontre que ce sont bien les absences de longue durée qui conduisent à des milliers de cours perdues, et non le remplacement de courte durée » Ce dernier a fait l’objet d’une grande communication politique, conduisant à des décisions ministérielles qui détruisent à petit feu constant depuis un an, l’accès à la formation continue des enseignant.es. Pourtant, le problème est ailleurs, il est bien plus grave qu’une heure de cours en moins parce qu’un ou une prof est en formation.