Le travail acharné des nos élus paritaires nationaux PLP a permis d’améliorer concrètement la situation de mutation de certains collègues.
En effet, en proposant des chaînes d’amélioration, ce sont 150 collègues qui ont pu profiter d’une mutation améliorée par rapport au projet initial : par exemple en P0226, 10 collègues ont pu obtenir un meilleur vœu qu’au projet ! L’administration, plutôt bienveillante par rapport aux situations diverses et parfois compliquées, a accepté la plupart des propositions d’amélioration des élus.
Alors que les commission administratives paritaires (CAP) sont menacées dans leur existence par le projet gouvernemental Fonction publique intitulé CAP 2022, le mouvement inter PLP a été à nouveau l’occasion de prouver leur efficacité pour une gestion des ressources humaines au plus près des personnels garantissant équité et transparence.
Supprimer l'examen des mutations en CAP reviendrait à laisser seul chaque agent face à son employeur : comment notre administration pourrait sérieusement gérer seule environ 30 000 demandes dans le second degré chaque année ?
Ce n’est pas la conception de l’UNSA qui prône une véritable modernisation du dialogue social pour un meilleur fonctionnement des collectifs de travail.