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SE-UNSA NANCY-METZ


 Par SE-UNSA NANCY-METZ
 Le  mardi 20 février 2018

Indemnités pour les professeurs documentalistes : des injustices à relever

 

 

La première revendication du SE-Unsa pour les professeurs documentalistes, c’est l’égalité, notamment en termes d’indemnités et d’heures sup’.
 
Quid des heures supplémentaires et d’IMP ?
 
Les professeurs documentalistes "ne peuvent bénéficier d'heures supplémentaires" (cf. circulaire de 2015).
Le SE-Unsa revendique la même rémunération pour tous les certifiés et a demandé une modification des textes de cadrage pour revenir sur cette inégalité inexplicable à l’intérieur d’un même corps de la fonction publique.
 
Ainsi, comme tous les autres certifiés les profs docs doivent pourvoir bénéficier d’heures supplémentaires, comme tous les enseignants en cas de service partagé, de service en éducation prioritaire, ou bien dans le cadre du dispositif « devoirs faits », et quand un décompte sur le temps de service ne peut pas être mis en place.
 
Enfin, les dotations des établissements en Indemnités pour Missions Particulières (IMP) doivent être suffisantes pour reconnaitre l’investissement des profs docs (coordination de parcours, référents culturels ou numériques).
 
Pour une ISP revalorisée 
 
Le SE-Unsa revendique la revalorisation de l’Indemnité de Sujétion Particulière des professeurs documentalistes (590,04 €) à hauteur de l'ISOE part fixe (1213,60 €).
Les professeurs documentalistes sont investis dans l’orientation et le parcours «  avenir » comme les autres enseignants.  La revalorisation de l’ISP serait la juste reconnaissance de leur rôle dans le  « suivi et l’orientation des élèves ».