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SE-UNSA LYON


 Par SE-UNSA LYON
 Le  mardi 4 juin 2019

Mouvements départementaux : des difficultés qui étaient ... plus que prévisibles !

 
Le ministère a modifié cette année le fonctionnement des mouvements départementaux. Les difficultés de mises en place, prévisibles, étaient bien réelles. Malgré le retard des opérations, le SE-Unsa demandent au ministère de maintenir les étapes de vérification par les représentants des personnels en CAPD.
 
Dans nos 3 départements (01-42-69), comme partout en France, les retards dus aux outils informatiques viennent largement perturber les calendriers prévisionnels. Les dysfonctionnements entraînent en effet du retard dans les opérations, allant de quelques jours à quelques semaines.  De fait, quelques administrations locales envisageraient de ne pas tenir de groupe de travail de vérification ou de phase d’échanges avec les organisations syndicales  (sur les barèmes et/ou sur les résultats de l’algorithme). Pour le SE-Unsa, le retard ne peut être une justification à la suppression de la phase de vérification.
 
Les services du ministère parviennent petit à petit à rectifier les erreurs. Mais dans ce contexte, le SE-Unsa demande également de la souplesse dans les affectations sur vœu large ou en extension avec la possibilité de renoncer à l’affectation (extension) ou au caractère définitif de l’affectation (vœu large).
 
Pour le SE-Unsa, la préparation difficile des opérations de mouvement ne garantit en rien une meilleure satisfaction des aspirations des enseignants tout en répondant aux besoins du système. Cela met également les personnels participant en insécurité et les personnels administratifs sous pression, qui se retrouvent de manière inacceptable incités voire contraints de travailler les week-end et les jours fériés…