Prétextant compenser la suppression de 2600 postes d’enseignants du second degré, Jean-Michel Blanquer dit annoncer « une bonne nouvelle » en imposant une deuxième heure supplémentaire et augmenter ainsi le pouvoir d’achat de nos collègues.

Au SE-Unsa, nous ne sommes pas dupes : ce n’est pas une bonne nouvelle !

Pour le SE-Unsa, c’est :
Non à l’obligation de faire deux heures supplémentaires !
Non aux suppressions de postes !

Pour faire bouger les choses, signez notre pétition en cliquant sur ce lien.