À son arrivée rue de Grenelle, il avait déclaré qu’il n’y aurait pas de loi Blanquer. Pourtant, dix-sept mois plus tard et sans débat avec la communauté éducative, le ministre présente un projet de loi dont l’intitulé même, est une forme de signature : Loi pour une École de la confiance. Confiance ? Cette loi, dans la méthode et sur le fond, ne peut que la fragiliser un peu plus.