Ce 22 septembre s’est tenue la réunion fixant le barème de l’ISVL pour le dernier trimestre de cette année. L’enveloppe globale pour ce barème d’octobre est en nette baisse par rapport à celui de Juillet, ceci s’expliquant essentiellement par une baisse des effectifs. Indépendamment de cet effet volume, il reste incompréhensible que les effets de la crise actuelle (énergie, inflation, etc…) ne soient pas pris en compte dans le calcul de ce dernier barème ISVL de l’année. Ce sont des points auxquels l’institution devra nécessairement répondre, il n’est plus possible aujourd’hui de continuer à déconnecter ces composantes du calcul de l’ISVL. C’est donc sur la base d’un barème négatif que nous avons dû effectuer des ajustements.

Le SE-Unsa est intervenu, en fonction des remontées de nos correspondants locaux, pour évoquer la situation de certains pays. Ainsi, nous avons pu améliorer la situation du Ghana, de la Hongrie, du Costa Rica, du Burkina-Faso et de Shanghai.

Les interventions du SE-Unsa ont également permis d’appliquer des mesures de protections pour certains pays. Cela signifie que l’application du barème pour ces pays ne sera pas impactée par les ajustements. Il s’agit de Djibouti, de la Bolivie, du Royaume-Uni, de la Belgique, du Brésil, de la Guinée, de la Mauritanie, de la Turquie et du Honduras.

Nous vous rappelons, si cela est nécessaire, que la réunion la plus importante pour l'ISVL est la prochaine réunion de décembre. C'est cette dernière qui déterminera la tendance pour l'année. Ainsi, n’hésitez pas à nous faire remonter toute information utile sur des changements ayant impacté les critères pris en compte dans la définition de l’ISVL : coût des loyers, coût du transport (billet A/R avec Paris). De cette manière, nous pourrons mettre en avant d'éventuelles augmentations et intervenir en faveur de votre pays.