L’UNSA EDUCATION constate :

 

-          des moyens en moins concernant les assistants éducatifs dont 32 % sont consacrés aux missions de handicap. Il est nécessaire d’abonder en fonction des besoins.

 

LES CLES D ATTRIBUTION ET REPARTITION

 

-          des collèges : 27 établissements classés en situation particulière

-          les lycées : la prévision des effectifs ne fait pas apparaître d’évolution significative.

-          9,36 ETP de plus pour l’assistance de surveillance

 

L’UNSA EDUCATION souligne que la présence d’adultes supplémentaires permet de maintenir un travail et un climat serein des équipes.

4,3 ETP de réserve pour la rentrée ne suffiront pas dans certains établissements en fonction des situations de la rentrée compte tenu de la prévision d’effectifs !

L’IA nous a indiqué que des fins de contrats d’ASSISTANTS EDUCATION pourront être transformés en postes de surveillants.

 

L’UNSA EDUCATION dénonce  le difficile recrutement des assistants pédagogiques. Compte tenu de leur niveau de qualification (bac +2 ), il y a de nombreuses démissions en cours d’année.

Quant aux assistants d’éducation, il serait important que les contrats soient d’un an afin de gérer les départs.

 

L’UNSA EDUCATION a demandé le listing des postes vacants dans les collèges et les lycées : IA va voir si possible de nous le donner ?

 

L’UNSA EDUCATION est intervenu pour tous les établissements et les situations signalées.

 

L’UNSA EDUCATION est intervenue pour dénoncer l’ORIENTATION EN SECONDE : DEMAGOGIE, QUAND TU NOUS TIENS !

Notre Inspecteur d’Académie se félicite que le taux d’admission en seconde générale soit cette année, plus important que prévu dans notre département. L’UNSA pourrait partager cette satisfaction et pourrait même souhaiter qu’une proportion encore plus importante de collégiens rejoigne le lycée général si cette orientation permettait réellement à tous ces jeunes de réussir ! Mais, hélas !, nous sommes loin de cette situation idyllique : comment accepter les pressions de l’inspection académique sur des chefs d’établissement pour que leur taux de passage augmente, même artificiellement ? C’est un manque de respect pour les personnels de direction qui, eux, connaissent les élèves et une négation du rôle, au sein des conseils de classe, des professeurs qui mieux que personne, connaissent le niveau réel et les possibilités de ces jeunes. De plus, cette forte incitation  se fait dans une période où le gouvernement supprime les postes indispensables à la mise en place satisfaisante de la réforme du lycée. On envoie en seconde plus d’élèves fragiles au moment où la suppression massive des postes empêche la mise en Å“uvre en seconde de l’aide justement destinée à ces élèves ! Les délégués de l’UNSA ont dénoncé cette orientation déguisée, demandé que le projet de l’élève soit respecté, ainsi que la réelle valorisation de la voie professionnelle !