Toutes les écoles ont été destinataires d’un mail sollicitant un.e volontaire dans l’équipe pour assurer le rôle de référent numérique.

A défaut, c’est à la direction de s’y coller.....

A la suite, un 1er "webinaire" (c’est à la mode ce truc, depuis la covid, il en fleurit partout....) a été organisé ce lundi 3 octobre entre 17h et 18h.

Missions annoncées du référent, volontaire ou non :

- Participer au 5 webinaires de l’année (déduit à priori les 18h de formation)

- Informer (former) au sein de l’école

- Exprimer des besoins

- Partager et mutualiser les actions locales

Le 1er webinaire :

Ce 1er webinaire a été quelques peu chaotique :

- Toutes les écoles étaient "invitées".

- Beaucoup n’ont pu se connecter : manque d’un code demandé et témoigné par bon nombre, installation de WEBMEX..... avec impossibilité pour certain.es de le faire car empêché par la ville...

- Problème de micros restés ouverts et donc interlocuteur inaudible

- BENEYLU au coeur de l’affaire.

- une pluie de messages et questions par le "tchat" (car bien évidemment impossibilité de distribuer la parole)

Il est précisé qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des compétenses particulières pour être référent.... Tiens donc.... c’est comme pour être enseignant.... Quand il y a pénurie, il ne faut pas être trop exigeant : 1/2 heure d’entretien et 4 jours de formations suffisent.... ;-)

La direction d’école désignée volontaire, c’est très moyen ! Cela n’est pas écrit dans sa fiche de poste..... Et par ailleurs, même s’il est "inutile" de le rappeler, les directions ont bien d’autres choses à faire, et plus particulièrement des priorités. Ce dossier n’en est pas une !

BENEYLU était au centre du webinaire. Il semblerait que ce soit la seule application (privée) validée par l’Education nationale, toutes les autres ne l’étant pas. Toutefois, BENEYLU n’a pas été plébiscité par toutes les écoles : certaines équipes l’ont adopté, ne la quiterraient pour rien au monde, d’autres s’y refusent (à tort ou à raison, c’est un choix), d’autres encore ont essayé mais ne s’y retrouvent pas, certaines ont été contraintes d’abandonner l’usage de l’application de leur choix qui pourtant leur convenait fort bien....

Comme toute mission, il convient de rémunérer ces heures. Si cela avait été le cas, il y aurait plus que probablement eu davantage de volontaires.

En tout état de cause, il convient de veiller à ce que les prochains webinaires soient plus "accessibles", tant sur le fond que sur la forme.

Le SE-UNSA 95 reste à l’écoute : 95@se-unsa.org