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REVALO / RETRAITES : Les ateliers 1er et 2nd degrĂ©s
Article publié le jeudi 30 janvier 2020.
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Ouverture des ateliers 1er degré

Les rĂ©unions du chantier de la rĂ©forme des retraites pour les enseignants et personnels du 1er degrĂ© ont dĂ©marrĂ© le jeudi 23 janvier 2020. Suite Ă  la consultation auprès de ses adhĂ©rents, le SE-Unsa a rappelĂ© la dĂ©fiance forte des enseignants envers les annonces du gouvernement, ainsi que la nĂ©cessitĂ© et l’urgence d’une revalorisation pour tous les personnels. Celle-ci ne peut en aucun cas s’accompagner d’une augmentation du temps de travail ou d’un alourdissement des tâches, le SE-Unsa a clairement indiquĂ© au ministère qu’il s’agissait d’une ligne rouge.

L’objectif du ministère pour ce premier atelier sur le 1er degrĂ© Ă©tait l’examen des missions visibles et invisibles des enseignants avant la poursuite de la concertation tout au long des prochains mois

Les Ă©changes ont portĂ© autour des thèmes suivants :

  • enseignement devant les Ă©lèves ;
  • accompagnement personnalisĂ© des Ă©lèves ;
  • relations aux familles ;
  • continuitĂ© du service public ;
  • quelles autres missions / quel positionnement pour le professeur des Ă©coles ?

L’avis du SE-Unsa

En ouverture de la rĂ©union, le SE-Unsa, Ă  l’appui de la consultation de ses adhĂ©rents, a lancĂ© un avertissement au ministère. 87 % d’entre eux sont dans la dĂ©fiance et ne croient pas Ă  la revalorisation et au chantier qui s’ouvre. Son inscription dans la loi ne les rassure pas. Il y a urgence Ă  ce que le ministère donne des gages de sa sincĂ©ritĂ©.

Le SE-Unsa a rappelĂ© les lignes rouges : hors de question d’augmenter le temps de travail des enseignants du 1er degrĂ© ou d’alourdir leurs tâches.
Le SE-Unsa a accueilli positivement l’ouverture d’un dialogue social pour s’intéresser au bien-être des enseignants.

Pour le SE-Unsa :

  • Le besoin de stabilitĂ© des enseignants doit ĂŞtre pris en compte. Le ballet des rĂ©formes incessantes contribue Ă  la perte de sens du mĂ©tier. Il est temps d’en finir avec les injonctions contradictoires ;
  • Le fonctionnement du ministère doit Ă©voluer. Il est nĂ©cessaire d’en finir avec les directives brutales, et le management vertical du ministère qui mĂ©connait la diversitĂ© des besoins et la capacitĂ© Ă  agir des enseignants sur le terrain.
  • Les enseignants doivent ĂŞtre reconnus comme des acteurs en capacitĂ© de dĂ©terminer efficacement les modalitĂ©s de leur action, en leur laissant les espaces d’autonomie et d’initiative professionnelle.
 
La présentation de la cartographie des primes confirme le décrochage des enseignants du premier degré en termes d’indemnités. Le SE-Unsa a revendiqué la nécessaire revalorisation par des augmentations indiciaires et indemnitaires. Les indemnités doivent être augmentées sans contreparties et une indemnité semblable doit être créée pour tous les personnels qui n’en bénéficient pas actuellement.

Le SE-Unsa s’emparera des différentes réunions qui s’ouvrent dans le chantier de la réforme des retraites pour porter ses exigences pour l’ensemble des personnels.

Des chantiers concernant les enseignants du 2d degrĂ©, les CPE et les PsyEN feront l’objet de travaux parallèles dans le cadre de l’agenda social.

>> Retrouvez le calendrier des réunions

Deuxième réunion 1er degré

Les rĂ©unions du chantier de la rĂ©forme des retraites pour les enseignants et personnels du 1er degrĂ© se sont poursuivies avec une deuxième rĂ©union ce mardi 28 janvier sur les parcours professionnels.
Pour le SE-Unsa, l’entrée dans le métier doit être mieux accompagnée, le professionnalisme des enseignants reconnu, leur expérience valorisée et leur désir de mobilité soutenu.

L’objectif du ministère pour ce deuxième atelier sur le 1er degrĂ© Ă©tait l’examen des parcours professionnels des professeurs des Ă©coles. La concertation se poursuivra tout au long des prochains mois.
 
Les Ă©changes ont portĂ© autour des thèmes suivants :
  • les diffĂ©rentes phases de la carrière : accompagner l’entrĂ©e dans le mĂ©tier, mieux organiser la mobilitĂ© ;
  • la prise en compte des parcours dans la progression de carrière ;
  • les fins de carrière : mieux gĂ©rer les fins de carrière et valoriser l’expĂ©rience en fin de carrière ;
  • les modalitĂ©s de gestion individualisĂ©e : permettre aux professeurs d’être davantage acteurs de leur parcours professionnel et de leur mobilitĂ©, accompagner le dĂ©veloppement personnel et professionnel des professeurs, notamment Ă  travers le service acadĂ©mique de RH de proximitĂ©, pour rĂ©pondre aux besoins d’information, de conseil ou d’accompagnement

L’avis du SE-Unsa
 
En préambule le SE-Unsa a rappelé qu’il est nécessaire que le ministère rassure ses personnels. Le gouvernement doit déposer son projet de loi pluriannuelle sur la revalorisation des enseignants avant que le texte de loi ne soit voté. Le ministère a rappelé que l’avis du Conseil d’État n’est qu’un avis, et qu’en dépit de celui-ci le gouvernement a inscrit la clause de garantie avec une référence à la loi de programmation dans son projet de loi sur la réforme des retraites.
Le SE-Unsa a également dénoncé l’organisation infantilisante souvent à l’œuvre dans le premier degré. Il convient au contraire de se fixer comme objectif d’aboutir à des processus basés sur la confiance et le professionnalisme.
 
Pour le SE-Unsa :
  • Le dĂ©but de carrière doit ĂŞtre protĂ©gĂ© et se faire en douceur. Les entrants dans le mĂ©tier doivent ĂŞtre accompagnĂ©s pour que leur professionnalisation s’effectue progressivement et sereinement. Cela doit aussi passer par une formation professionnelle et non uniquement thĂ©orique pour les futurs enseignants. La prime d’entrĂ©e dans le mĂ©tier et la prime d’installation sont Ă  revoir Ă  la hausse, et Ă  Ă©largir Ă  d’autres territoires dĂ©ficitaires pour cette dernière. La mobilitĂ© professionnelle est en partie freinĂ©e aujourd’hui par l’insuffisance des crĂ©dits de formation. Il est regrettable que la Validation des Acquis de l’ExpĂ©rience ne soit pas financĂ©e actuellement par le ministère. La loi de transformation de la Fonction Publique a mis Ă  mal le besoin de transparence et d’équitĂ©, Ă©lĂ©ments pourtant nĂ©cessaires Ă  la mobilitĂ©.
  • Si le SE-Unsa se fĂ©licite que le ratio de passage Ă  la Hors-classe des professeurs des Ă©coles soit aujourd’hui identique Ă  ceux des enseignants du second degrĂ© (voir notre article Ă  ce sujet), le retard accumulĂ© les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes n’est pas encore rattrapĂ©, et on constate un « embouteillage » pour l’accès Ă  la Hors-classe. Il faut rĂ©Ă©quilibrer les viviers 1 et 2 pour l’accès Ă  la Classe Exceptionnelle afin d’arriver Ă  des ratios de 60 % / 40 % (contre 80 % / 20 % aujourd’hui).
  • L’amĂ©nagement des fins de carrière doit pouvoir passer par la retraite progressive, ainsi que le dĂ©part Ă  la retraite des professeurs des Ă©coles Ă  l’âge anniversaire. L’Éducation nationale devrait aussi pouvoir expĂ©rimenter les temps partiels annualisĂ©s sur autorisation.
  • Le service de ressources humaines de proximitĂ© est un dispositif qui doit se dĂ©ployer. Celui-ci doit permettre de rĂ©pondre Ă  deux formes de rĂ©orientation professionnelle : une rĂ©orientation choisie et voulue par l’agent, et parfois une rĂ©orientation subie car le mĂ©tier a Ă©tĂ© difficile et qu’il convient de trouver des alternatives. Il existe un vrai besoin de recourir Ă  des psychologues du travail. Enfin le rendez-vous de carrière doit ĂŞtre apprĂ©hendĂ© par les personnels, y compris les personnels d’inspection, comme un vĂ©ritable temps d’information, de conseil ou d’accompagnement de leur parcours professionnel et/ou mobilitĂ©.
Le SE-Unsa continuera à s’emparer des différentes réunions qui s’ouvrent dans le chantier de la réforme des retraites pour porter ses exigences pour l’ensemble des personnels.
 
Des chantiers concernant les enseignants du 2d degrĂ©, les CPE et les PsyEN font l’objet de travaux parallèles dans le cadre de l’agenda social.
 

Ouverture des ateliers 2nd degré

Les rĂ©unions du chantier de la rĂ©forme des retraites pour les enseignants et personnels du 2d degrĂ© ont dĂ©marrĂ© le vendredi 24 janvier 2020. Suite Ă  la consultation auprès de ses adhĂ©rents, le SE-Unsa a rappelĂ© la dĂ©fiance forte des enseignants envers les annonces du gouvernement, ainsi que la nĂ©cessitĂ© et l’urgence d’une revalorisation pour tous les personnels. Celle-ci ne peut en aucun cas s’accompagner d’une augmentation du temps de travail ou d’un alourdissement des tâches, le SE-Unsa a clairement indiquĂ© au ministère qu’il s’agissait d’une ligne rouge.

L’objectif du ministère pour ce premier atelier sur le 2d degrĂ© Ă©tait l’examen des missions visibles et invisibles des enseignants, CPE, psychologues de l’Éducation nationale avant la poursuite de la concertation tout au long des prochains mois.

Les Ă©changes ont portĂ© autour des thèmes suivants :

  • enseignement devant les Ă©lèves ;
  • accompagnement personnalisĂ© des Ă©lèves ;
  • relations aux familles ;
  • continuitĂ© du service public ;
  • quelles autres missions ?

L’avis du SE-Unsa

En ouverture de la rĂ©union, le SE-Unsa, Ă  l’appui de la consultation de ses adhĂ©rents, a lancĂ© un avertissement au ministère. 87 % d’entre eux sont dans la dĂ©fiance et ne croient pas Ă  la revalorisation et au chantier qui s’ouvre. Son inscription dans la loi ne les rassure pas. Il y a urgence Ă  ce que le ministère donne des gages de sa sincĂ©ritĂ©.

Le SE-Unsa a rappelĂ© les lignes rouges : hors de question d’augmenter le temps de travail des enseignants du 2d degrĂ© ou d’alourdir leurs tâches.
Le SE-Unsa a accueilli positivement l’ouverture d’un dialogue social pour s’intéresser au bien-être des enseignants.

Pour le SE-Unsa :

  • Le besoin de stabilitĂ© des enseignants doit ĂŞtre pris en compte. Le ballet des rĂ©formes incessantes contribue Ă  la perte de sens du mĂ©tier. Il est temps d’en finir avec les injonctions contradictoires ;
  • Le fonctionnement du ministère doit Ă©voluer. Il est nĂ©cessaire d’en finir avec les directives brutales et le management vertical du ministère qui mĂ©connaĂ®t la diversitĂ© des besoins et la capacitĂ© Ă  agir des enseignants sur le terrain.
  • Les enseignants doivent ĂŞtre reconnus comme des acteurs en capacitĂ© de dĂ©terminer efficacement les modalitĂ©s de leur action, en leur laissant les espaces d’autonomie et d’initiative professionnelle.
  • Les enseignants, CPE, psychologues de l’Éducation nationale doivent pouvoir bĂ©nĂ©ficier de formations sur leur temps de travail pour s’adapter Ă  l’évolution des contraintes auxquelles ils sont soumis et Ă  la complexification et multiplication de leurs missions (formation Ă  l’entretien avec les familles, prise en charge de la diversitĂ© des Ă©lèves sans pour autant tout individualiser, accompagnement des Ă©lèves dans les processus d’orientation, travail dans les collectifs professionnels...).
 
Le SE-Unsa a profité de la présentation de la cartographie des primes pour revendiquer la nécessaire revalorisation des enseignants, CPE et PsyEN par des augmentations indiciaires et indemnitaires. Les indemnités doivent être augmentées sans contreparties et une indemnité semblable doit être créée pour tous les personnels qui n’en bénéficient pas actuellement.

Le SE-Unsa s’emparera des différentes réunions qui s’ouvrent dans le chantier de la réforme des retraites pour porter ses exigences pour l’ensemble des personnels.

Des chantiers concernant les enseignants du 1er degrĂ© feront l’objet de travaux parallèles dans le cadre de l’agenda social.

>> Retrouvez le calendrier des réunions

 

Parcours professionnels 2nd degré

Les rĂ©unions du chantier de la rĂ©forme des retraites pour les enseignants du 2nd degrĂ©, CPE et PsyEN se sont poursuivies ce mercredi 29 janvier avec une deuxième rĂ©union sur les parcours professionnels. 
 
En préambule le SE-Unsa a rappelé qu’il était nécessaire que le ministère rassure ses personnels. Le gouvernement doit déposer son projet de loi pluriannuelle sur la revalorisation des enseignants avant que le texte de loi ne soit voté. Le ministère a rappelé que l’avis du Conseil d’État n’est qu’un avis, et qu’en dépit de celui-ci le gouvernement a inscrit la clause de garantie avec une référence à la loi de programmation dans son projet de loi sur la réforme des retraites.
 
 
Accompagner l’entrée dans le métier
 
Pour le SE-Unsa, le dĂ©but de carrière doit ĂŞtre protĂ©gĂ© et se faire en douceur. Les entrants dans le mĂ©tier doivent ĂŞtre accompagnĂ©s pour que leur professionnalisation s’effectue progressivement et sereinement. Cela doit aussi passer par une formation professionnelle et non uniquement thĂ©orique pour les futurs enseignants. La prime d’entrĂ©e dans le mĂ©tier et la prime d’installation sont Ă  revoir Ă  la hausse, et Ă  Ă©largir Ă  d’autres territoires dĂ©ficitaires.
 
 
Mieux organiser la mobilité
 
Pour le SE-Unsa, la mobilitĂ© gĂ©ographique doit avant tout passer par un retour Ă  un dialogue avec les organisations syndicales : gĂ©rer sa mobilitĂ©, c’est avant tout pouvoir se projeter et nĂ©cessite donc une transparence des opĂ©rations de mobilitĂ© et une connaissance des mĂ©caniques.
 
La valorisation des postes les moins attractifs ne peut passer uniquement par une indemnisation financière qui ignore de nombreuses réalités de territoire, une révision des fonctions éligibles à la classe exceptionnelle doit aussi faire partie de cette réflexion.
Avoir pour objectif de pourvoir les postes les moins attractifs par les collègues les plus expérimentés nécessite de prendre en compte leurs besoins d’amélioration des conditions de travail notamment par du temps d’échanges et de concertation, de formation continue et de valorisation de leur expertise notamment par la formation de leurs pairs moins expérimentés.
Le SE-Unsa a alerté sur le danger du profilage dans le souci de pourvoir tous les postes, un profilage peut vite devenir sclérosant pour un établissement comme pour la mobilité des personnels.
 
Pour le SE-Unsa, la mobilitĂ© fonctionnelle nĂ©cessite une rĂ©flexion sur les dispositifs actuels trop peu nombreux, rigides et souvent illisibles des personnels. Les potentiels de dĂ©tachement doivent ĂŞtre revus Ă  la hausse, notamment depuis la suppression de la liste d’aptitude pour devenir certifiĂ© ou professeur d’EPS. Une formation des Ă©quipes de RH de proximitĂ© pour des mobilitĂ©s interne (connaissance de l’exercice en 1er comme en 2nd degrĂ©) et hors Éducation nationale sera Ă©galement indispensable.
La mobilité professionnelle est en partie freinée aujourd’hui par l’insuffisance des crédits de formation. Il est regrettable que la Validation des acquis de l’expérience (VAE) ne soit pas financée actuellement par le ministère.
 
Il est temps aujourd’hui pour notre ministère de rattraper son retard sur l’évolution sociétale importante qui voit des personnels de plus en plus nombreux effectuer des carrières faites de plusieurs métiers. Pour cela, le ministère doit se pencher sérieusement sur les questions de développement professionnel et de formation tout au long de la vie pour anticiper, gagner en flexibilité et s’adapter aux évolutions.
 
 
Prendre en compte les parcours dans la progression de carrière
 
Pour le SE-Unsa, cette prĂ©occupation partagĂ©e impose une dĂ©finition des notions de « parcours » (linĂ©aire et non linĂ©aire) et de « progression » (financière mais aussi ouvrant Ă  des formations et Ă  un rĂ©el amĂ©nagement des fins de carrière)
Les modalités d’accès à la classe exceptionnelle doivent évoluer en termes de rééquilibrage entre les deux viviers pour qu’aucune promotion ne soit perdue, mais surtout en termes d’augmentation des fonctions prises en compte. La durée imposée de 8 ans semble aujourd’hui être un frein.
 
 
Mieux gérer les fins de carrière et valoriser l’expérience en fin de carrière
 
Pour le SE-Unsa, cela nécessite de considérer la complexité du métier mais aussi la diversité des difficultés entre parcours.
Dans un premier temps, un diagnostic doit ĂŞtre posĂ©, il peut passer par des RDV individualisĂ©s proposĂ©s par l’institution aux personnels Ă  l’approche d’une fin de carrière. Des solutions adaptĂ©es aux situations individuelles doivent ensuite ĂŞtre dĂ©gagĂ©es : retraite progressive ou encore temps partiels sur autorisation annualisĂ©s.
Il est Ă©galement indispensable de valoriser l’expĂ©rience en fin de carrière et la validation d’acquis pour permettre l’exercice d’autres missions « moins usantes ».
 
 
Mettre en Ĺ“uvre des modalitĂ©s de gestion individualisĂ©e 
 
Il vise à permettre aux personnels d’être davantage acteurs de leur parcours professionnel et de leur mobilité, accompagner le développement personnel et professionnel des professeurs, notamment à travers le service académique de RH de proximité, pour répondre aux besoins d’information, de conseil ou d’accompagnement
 
Pour le SE-Unsa, le service de RH de proximitĂ© est un dispositif qui doit se dĂ©ployer. Celui-ci doit permettre de rĂ©pondre Ă  deux formes d’orientation : une orientation choisie et voulue par l’agent, et une orientation plus subie car le mĂ©tier a Ă©tĂ© difficile et qu’il convient de trouver des alternatives. Il existe un vrai besoin de recourir Ă  des psychologues du travail. Enfin le rendez-vous de carrière doit ĂŞtre apprĂ©hendĂ© par les personnels comme un vĂ©ritable temps d’information, de conseil ou d’accompagnement de leur parcours professionnel et/ou mobilitĂ©.
 
Le SE-Unsa continuera à s’emparer des différentes réunions qui s’ouvrent dans le chantier de la réforme des retraites pour porter ses exigences pour l’ensemble des personnels.
 
Des chantiers concernant les enseignants du 1er degrĂ© font l’objet de travaux parallèles dans le cadre de l’agenda social.
 
 
 
 
 
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