Nous avons croisé la situation de notre collègue de Pantin (Christine Renon) et celle de notre collègue du 95 (Jean Wuillot) avec la situation des directeur.trice.s. En d’autres termes, nous avons rappelé la difficulté d’exercer dans des conditions sereines de nos jours. La souffrance au travail est un vrai sujet et l’administration doit trouver des moyens de nous alléger les tâches quotidiennes.

Pour mettre à plat cette souffrance, nous serons reçu.e.s en audience intersyndicale ultérieurement pour ce point délicat de nos collègues chargé(e)s de direction.

Le SE UNSA 95 a rappelé l’inutilité des évaluations nationales (pilotage ministériel) et la difficulté de remontée des résultats.
Le SE UNSA 95 est aussi intervenu pour dénoncer la pression mise par certain.e.s IEN pour ces remontées.

Le SE UNSA 95 a demandé une décharge d’APC de 5h pour les collègues ayant fait passer les évaluations départementales. Dans le cas où la réponse serait négative, nous déposerons une consigne syndicale pour ne pas les faire passer à la rentrée 2020.

Nous déposerons la même consigne syndicale si les collègues de GS n’obtiennent pas une décharge de temps de travail en janvier 2020.

La classe exceptionnelle présente toujours autant d’opacité qui ne nous satisfait pas. LE SE UNSA a signé le protocole PPCR pour la création de ce grade. Nous avons relevé et dénoncé des incohérences entre les appréciations des IEN et celles du DASEN. Par ailleurs, nous avons constaté qu’aucun candidat promouvable ne bénéficait de l’appréciation "à consolider". Autant dire que les appréciations se répatissent sur 3 niveaux (Excellent, très satisfaisant ou satisfaisant) et donc que ceux qui disposent d’une appréciation de type "statisfaisant" sont en bas du tableau....