Le dossier de la direction doit être ré-ouvert d'urgence.

Grands oubliés de la loi sur la Refondation, les directeurs ne voient rien bouger et le SE-UNSA et l’UNSA EDUCATION continuent à dénoncer leur situation, leurs conditions de travail et la souffrance au travail.

Nationalement, le SE-Unsa a obtenu du ministère que des négociations sur ce dossier s'ouvrent rapidement. Ce devrait être le cas dans les 3-4 semaines à venir.

Le SE-Unsa souhaite traiter ce dossier en CHS-CT départemental et académique (Comité hygiène et sécurité - conditions de travail) : n’hésitez pas à compléter l’enquête « spécial directeur(trice) d’école Â»
Voir l'article : http://sections.se-unsa.org/95/ecrire/?exec=articles&id_article=1236

Discuter des conditions de travail des directeurs relève bien du CHS-CT.
Les réponses à notre enquête montrent le ras-le-bol des directeurs. Fort de ces réponses, le SE-Unsa a saisi cette instance à plusieurs reprises pour agir au moins localement car la charge de travail ne s'allège pas (enquêtes, aide administrative, etc...), les réunions se succèdent... le quotidien à gérer et la classe…

Toutefois, le SE-Unsa ne peut réglementairement pas saisir seul cette instance.
C'est pourquoi, en février, nous avons demandé aux autres organisations syndicales de s'associer à notre demande pour que le dossier des directeurs d'école soit ré-ouvert dans le Val d’Oise et pour l’Académie de Versailles qu’il soit inscrit à l'ordre du jour des  CHS-CT départemental et Académique, ainsi que dans le groupe de travail «des risques psychosociaux Â».

Le SE-Unsa continuera donc de faire entendre la voix des directeurs en saisissant directement la DASEN afin qu’elle accepte, malgré tout, de porter cette question dans notre prochain CHSCT départemental.