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Article publié le jeudi 8 octobre 2009.
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Chers directrices et directeurs,

Les attentes qui pèsent sur l’Ecole se sont démultipliées et

complexifiées : suppression du samedi matin (dispositif d’aide personnalisée

et nouvelle définition du service des enseignants), gestion des EVS et AVS,

mise en place de l’accompagnement éducatif en éducation prioritaire, SMA et

maintenant pandémie grippale … force est de constater que le fonctionnement

de l’école et, en découlant, la direction d’école, sont percutés de plein fouet.

Quelle structure administrative et pédagogique, avec quels objectifs,

quels modes opératoires, quelle architecture financière et juridique mais aussi

quel pilote sont le plus à-même, aujourd’hui, de répondre efficacement aux

nouveaux défis que doit relever l’école primaire ? Cette question est au

carrefour des questionnements sur l’école primaire depuis de nombreuses

années sans qu’une solution miracle n’ait vu le jour et pour cause : la diversité

des situations des écoles fait qu’on ne peut répondre de manière univoque aux

problèmes qui s’y posent.

Dans le paysage, ces dernières années, le gouvernement a avancé une

piste : la création d’établissements publics dans le premier degré. Ainsi, depuis

2004, année où est apparu le terme d’EPEP dans la loi relative aux

responsabilités et libertés locales, ce cheval de bataille politique fait son

bonhomme de chemin tant dans l’hémicycle que dans les services du Ministère

de l’Education nationale. Craint par les adjoints, objet de scepticisme pour les

collectivités territoriales, aimant ou repoussoir pour les directeurs d’école,

l’EPEP s’est mué plusieurs fois sous l’impulsion de projets de décrets et de

projets ou propositions de loi.

Qu’en est-il aujourd’hui ? D’où viennent ces EPEP ? Quelles sont les

perspectives qui s’offrent à nous ? Le SE-UNSA se propose, à travers ce

deuxième numéro d’Infos-Directeurs d’avancer quelques éléments de réponse et

vous invite à réagir (voir page 7).

Stéphanie VALMAGGIA-DESMAISON

Elue nationale du SE-UNSA à la CAPN

Déléguée nationale du SE-UNSA

chargée du 1

er degré

e

nseignants de l’UNSA

L’Info-Directeurs du SE-U

NSA

N°2 - septembre 2009

SPECIAL EPEP

SE-UNSA

209 boulevard St Germain - 75007 Paris

http://www.se-unsa.org - 01 44 39 23 00 - ecoles@se-unsa.org

www.se-unsa.org

UN PEU D

HIISTOIIRE......

>> Loi relative aux responsabilités et libertés locales

>> Rapport du recteur PAIR*

L’article 86 enclenche le processus politique en prévoyant un décret permettant l’expérimentation d’EPEP : « 

établissements publics de coopération intercommunale ou plusieurs communes d’un commun accord, ou

une commune, peuvent, après avis des conseils des écoles concernées et accord de l’autorité académique,

mener, pour une durée maximum de cinq ans, une expérimentation tendant à créer

des établissements publics d’enseignement primaire. (…) Le conseil d’administration de

l’établissement comprend des représentants des collectivités territoriales, des enseignants

et des parents. Un décret en Conseil d’Etat détermine les règles d’organisation et

de fonctionnement de cet établissement ainsi que les modalités d’évaluation des résultats

de l’expérimentation.

Les »

> Les critiques politiques

Cet article résulte d’un amendement parlementaire passé en force contre l’avis du

Ministre de l’Education Nationale. Cette disposition a aussi été fortement contestée

par la gauche : « non discuté par suite de l’usage de l’article 49.3, modifié en commission

mixte paritaire, n’a fait l’objet d’aucune discussion publique permettant

d’éclaircir l’intention du législateur et du gouvernement ».

> La traversée du désert

De 2004 à 2006, on n’entend plus parler de cet article. Le 28 juin 2006, Alain GEST, député UMP

de la Somme, dépose un rapport à l’Assemblée Nationale pour exiger l’élaboration du décret réglementant

l’expérimentation des EPEP.

Dans un premier temps, il s’agit de réunir les écoles trop petites pour rompre l’isolement et favoriser

un véritable travail collectif puis de créer des établissements du premier degré.

> Quelle taille ?

La masse critique préconisée est de 15 à 30 classes (une école urbaine lorsqu’elle atteint

une quinzaine de classes ; le groupement d’une école maternelle et d’une école élémentaire

proches ; au plus une dizaine d’écoles à trois classes en milieu rural …)

> Quelles fonctions pour ces établissements ?

��

pédagogique : nécessité d’un projet

��

pour les élèves et les familles.

administrative : recentrer les tâches administratives du directeur afin qu’il soit plus disponible

��

de gestion des personnels : répartition des emplois, lieu de nomination des personnels

��

financiers

de mutualisation : partage de ressources documentaires et d’équipements ainsi que gestion des moyens

��

local et avec l’enseignement du second degré.

Le rapport PAIR insiste sur l’importance de la négociation au cas par cas avec les communes pour créer ces établissements

du premier degré.

d’ouvertures et de partenariats : relations avec l’environnement socioculturel dans le cadre d’un projet éducatif

*Rénovation du service public de l’Éducation nationale : responsabilité et démocratie

F e v ri e r

1 9 9 8

> L’avis du

SE-UNSA

La création d’un tel établissement suppose un cadre juridique précis inexistant dans le 1er degré.

On peut cependant supposer que comme tout établissement public, il aura un conseil d’administration,

un président, un budget propre et sans doute une part d’autonomie. Quelle sera la composition

du conseil d’administration ? Elus, parents, enseignants, acteurs économiques ? Dans

quelles proportions ? Qui sera le président ? Un élu politique, un parent, un directeur à statut particulier

 ? Influera t-il sur les choix pédagogiques et les projets des équipes d’enseignants ? Ce

dispositif suppose l’abandon par les communes de leurs compétences en matière scolaire. Ceci

explique sans doute leur absence de précipitation pour créer ces EPEP.

1 3 a o u t

2 0 0 4

PREM

IIERES OFFENSIIVES......

>>

le premier degré et rappelle l’existence de l’article 86 mais en

pointant le fait que le décret d’application n’est toujours pas

publié.

L’institut Montaigne plaide pour une plus grande autonomie dans

>>

contraint à sortir du bois. En décembre, il met en place un groupe de travail sur

le fonctionnement de l’école et propose un projet de décret dont les objectifs

affichés sont une « gestion mutualisée de moyens » et une « action pédagogique

plus efficace de ces écoles ».

Poussé par sa droite, même traînant des pieds, le ministre De Robien est

��

l’accord de l’IA après avis du (ou des) conseil(s) d’école.

La création d’un EPEP reposerait sur une initiative des élus et nécessiterait

��

pour les EPEP d’1 à 10 écoles et de 20 membres maximum pour les EPEP

de 11 écoles et plus. Sa composition serait de 50 à 60% de représentants

des communes ou le cas échéant de (ou des) établissement(

s) public(s) de coopération intercommunale,

de 30 à 40 % de représentants des directeurs

et des autres enseignants des écoles

concernées, de 10 à 20% de représentants des

parents d’élèves des écoles concernées.

Le conseil d’administration serait constitué de 10 membres maximum

��

l’action pédagogique des écoles concernées et préparer la partie

pédagogique du projet d’établissement.

Un conseil pédagogique serait créé pour coordonner

��

liste aptitude), et représenterait l’organe exécutif de l’EPEP. Il disposerait

d’un poste de secrétariat mis à disposition par les collectivités.

L’EPEP serait dirigé par un directeur désigné par l’IA (inscrit sur

��

des EPCI, des communes concernées, d’autres collectivités

et de l’Etat. Un agent comptable serait nommé

par le ministre des finances (ou avec son agrément).

Devant notre refus, un deuxième projet nous est soumis

dans le cadre de la préparation du Conseil Supérieur

de l’Éducation (CSE).

Loin d’améliorer la première version, ce texte accroît

notre opposition, en renforçant par plusieurs biais, la mise sous

tutelle par les élus locaux du fonctionnement de l’école primaire. Avec d’autres

organisations, nous demandons le report de l’examen de ce texte.

Notre demande est repoussée et le CSE est réuni le 25 janvier (boycotté

par plusieurs syndicats et fédérations de parents d’élèves).

Le CSE est reconvoqué le 5 février pour examiner le projet de décret du Ministère

 : il recueille 41 voix contre (dont la nôtre), 1 pour (MEDEF), 1 abstention

et 4 refus de vote.

Malgré tout, le Ministre annonce maintenir ce projet et le soumet au conseil d’Etat.

Ses ressources financières relèveraient de subventions

Le 1

de decret

Le 2

de decret

er projeteme projet

2006

2007

Le SE-UNSA, seul syndicat

représentatif présent lors des

discussions, exprime son

opposition au premier projet de

décret soumis par le Ministère.

www.se-unsa.org

Le 9 mai 2007, le Conseil d’État approuve le projet de décret

proposé par le ministre. Mais il n’a jamais été publié …

En 2008, le feuilleton EPEP connaît

un nouveau rebondissement.

Trois députés UMP, Benoist APPARU (Marne)

- Frédéric REISS (Bas-Rhin) - Guy GEOFFROY

(Seine-et-Marne) déposent, le 25 septembre,

une proposition de loi relative à la création

d’EPEP visiblement préparée en étroite

collaboration avec le ministère de l’Éducation

nationale.

Dès le lendemain, Xavier DARCOS acte la

création des EPEP, en attribuant dans son budget

2009, 500 postes administratifs aux écoles

constituées en EPEP.

> Lors du Conseil Territorial de l’Education

Nationale il déclare : « dans

les EPEP il faut un chef, un vrai, qui soit le patron

pour bien faire tourner sa boutique ».

> Lors de sa conférence de rentrée, le 29 août

2007, il annonce : « il faut que nous allions vers

des établissements publics du premier degré rassemblés

dans une même structure publique ».

Le SE-UNSA a immédiatement réagi par courrier

auprès du Ministre pour lui demander d’ouvrir une

réelle concertation sur le fonctionnement et la direction

de l’école mais aucune discussion n’a vu le

jour. Devant les multiples réactions d’opposition

venant de toutes parts et en raison de la perspective

des élections municipales en mars 2008, le

Ministre gèle temporairement le projet.

Fin mai 2007, le chantier

des EPEP est relancé, à

l’occasion de l’examen par les députés

UMP du rapport ATTALI. Il y est proposé

de donner aux écoles primaires, dès 2009,

un statut juridique similaire aux EPLE.

Pour prendre en compte les disparités locales,

les parlementaires proposent que

« les écoles qui disposent aujourd’hui d’un

directeur à temps plein (au-delà de 10

classes) deviennent un EPLE et que les

autres écoles forment un EPLE en réseau

autour d’un bassin de vie ». Les informations

d’ATTALI sont visiblement lacunaires

 : les directeurs d’école ne sont déchargés

à temps plein qu’à partir de 12 classes

maternelles ou 13 classes primaires !

L

ERE SARKOZY......

Xavier DARCOS

entre en scène

Le rapport ATTALI

sur la libération de la croissance

Le conseil d’État

Le Ministère en « off »,

l’UMP en « on »

Que dit ce nouveau texte ?

Cette proposition de loi devait être examinée

dans une niche UMP en décembre 2008, repoussée

en janvier puis en février 2009, puis à … une

date ultérieure sans plus de précisions.

Pour le SE-UNSA, l’existence, en soi, d’établissements

publics du primaire ne signifie pas la fin du

service public. Cependant, faut-il aller vers une césure entre

urbain et rural comme cette proposition de loi y mènerait ? Si

on voit bien l’intérêt gestionnaire qui anime les auteurs de ce

texte, faut-il faire l’impasse sur le pédagogique ? Des structures

de plus de 350 élèves sont-elles une norme acceptable

pour accueillir des enfants ? Quelles seront les conséquences

pour les enseignants des écoles ? C’est ce que le SEUNSA

a tenté de faire valoir auprès du ministère et des parlementaires.

Le SE-UNSA a rencontré divers interlocuteurs, notamment

l’ANDEV et le groupe socialiste à l’assemblée nationale.

Nous avons aussi été conviés directement

par Frédéric REISS, un des rédacteurs du

texte. Nous lui avons fait part de nos interrogations

et de nos doutes sur la mise en

place de telles structures qui visent davantage

à satisfaire des visées gestionnaires

qu’à améliorer le fonctionnement de l’école.

Enfin, la création automatique d’EPEP,

sans avis préalable de la communauté

éducative, nous semble de nature à créer

des tensions dans les écoles.

Plus de caractère expérimental : ça devient la loi !

La notion d’expérimentation a totalement disparu.

C’est sur la même logique législative et réglementaire des EPLE que fonctionneraient ces EPEP.

- La loi rendrait obligatoire la création d’EPEP pour toutes les écoles de 15 classes et plus. Si un EPEP subissait, par la

suite, une perte de classes, son statut d’EPEP demeurerait néanmoins.

- Pour chaque école de 13 classes et plus ou pour un pôle de 13 classes et plus (pouvant rassembler plusieurs écoles), cette

création serait possible (sans l’avis du conseil d’école) dès lors que la commune se porterait volontaire. Il pourrait donc y avoir

des EPEP « concentrés » ou des EPEP « dispersés »

donc gonfler le nombre de classes concernées.

.Une fois que l’EPEP serait créé, il pourrait « absorber » des écoles et

Une nouvelle proposition de loi visant à créer des EPEP serait déposée à l’automne par les

mêmes députés UMP qu’en 2008. Notons que Benoist Apparu est entré, depuis, au gouvernement.

Cette seconde proposition de loi devrait distinguer de façon plus claire « le cas des communes

rurales et celui des villes moyennes. »

Affaire à suivre !

Le 13 mai 2009, Eric Woerth présente en conseil des ministres un

second rapport d’étape sur la RGPP (le premier bilan avait été rendu

public le 3 décembre 2008). Il pointe la mise au point mort de la création des EPEP et

alerte le Ministère de l’Education Nationale.

La position du

SE-UNSA

Une proposition de loi enterrée ?

Rebondissement

de dernière minute

La RGPP

s’en mêle

Qui dirige l’EPEP ?

Un poste de directeur d’établissement serait créé sans que rien

ne soit dit sur le recrutement, la rétribution, la formation, ou le

détail de ses attributions

Quelle organisation pédagogique ?

Il serait institué un conseil pédagogique qui se substituerait au

conseil des maîtres.

Quelle gestion comptable ?

La fonction d’agent comptable serait assurée par le comptable de

la collectivité locale.

Une composition tripartite au conseil

d’administration

Le conseil d’administration serait composé du

directeur de l’EPEP, de 4 représentants de la collectivité,

de 4 représentants élus des personnels

(3 pour les enseignants et 1 pour les non enseignants),

de 4 représentants élus des parents d’élèves.

Le président du CA serait élu (directeur ou

représentant de la collectivité). Le CA se substituerait

aux conseils d’école. Ses prérogatives

resteraient classiques pour un CA.

L’évolution

du fonctionnement

et de la direction

d’école interroge notre

syndicat, comme les autres

d’ailleurs … sauf qu’au

SE-UNSA les débats ont lieu, y

compris lorsqu’ils sont contradictoires

pour faire avancer des pistes concrètes.

C’est notamment le cas lors de notre

congrès, qui a lieu tous les 3 ans.

Le syndicat doit se doter de mandats, tant

éducatifs que revendicatifs, pour peser sur le

Ministère et obtenir des avancées. En mars

2010, le congrès de Brest devrait ouvrir de

nouvelles perspectives, dans la poursuite de

notre mandat de La Rochelle en mars 2007 :

« Le SE-UNSA ne considère pas que la

situation actuelle des écoles primaires est

satisfaisante. Conscient que des changements

sont nécessaires, il impulsera une réflexion sur

l’évolution du fonctionnement de l’école, de sa

structuration juridique et son autonomie

financière avec pour seul objectif l’amélioration

de l’efficacité pédagogique. Cette réflexion doit

clarifier la nature des relations avec les

collectivités territoriales, les niveaux de

responsabilité et la place de chacun. »

Adhérents du SE-UNSA

participer à l’élaboration de cette

réflexion

congrès départementaux.

, vous pourrezdans le cadre de vos

Le SE-UNSA ne fait pas partie de ceux qui

considèrent que l’Ecole Primaire française

fonctionnerait parfaitement. Entre la fin du

XIXème siècle où la République l’a

imposée en France et 2007, son

fonctionnement a beaucoup

évolué, tout comme

la société

dans laquelle elle agit. Les collègues, qu’ils

soient adjoints ou directeurs, nous le disent : ils

ne trouvent pas forcément dans sa structure

actuelle toutes les réponses satisfaisantes pour

faire face aux nouvelles missions, aux nouvelles

pratiques qui sont les leurs. Le SE-UNSA ne

pense donc pas qu’il faille ignorer ces réalités :

le statu quo ne saurait constituer une solution

satisfaisante. Le fonctionnement en réseau

autour d’un collège, la nécessité de développer

le travail en équipe, les partenariats font

notamment partie des véritables questions à

approfondir. Pour le SE-UNSA, c’est de l’intérêt

des élèves, du projet de l’école, de l’efficacité

pédagogique que doit découler tel ou tel mode

de gestion et non l’inverse.

Nous vous invitons ainsi à participer au débat

en répondant à l’enquête ci-contre.

La parole vous est donnée :

prenez-la !

CE QU

EN PENSE LE SE-UNSA

www.se-unsa.org

1. La situation actuelle vous paraît-elle satisfaisante ?

OUI NON

Si non, pourquoi ?

…………………………………………………………………………………………...............

.............................................................................................................................................

2. Pour vous, la création d’un établissement public dans le premier degré

est-elle envisageable ?

OUI NON

Si non, précisez pourquoi

..........................................................................................................................................................................

…………………………………………………………………………………..............

Si oui, indiquez ses avantages

(numérotez par ordre de priorité) :

........ :

une meilleure reconnaissance des directeurs d’école

........ :

une meilleure autonomie

........ :

une structuration juridique plus assurée

........ :

une meilleure efficacité pédagogique

........ :

une organisation financière et administrative plus opérationnelle

........ :

…………………………………………………………………………………………………………………………………………....

autres ? Précisez : ....................................................................................................................................................

3. Quelles autres structurations de l’école vous paraissent envisageables ?

un EPLE comme dans le 2

des regroupements pédagogiques en milieu rural

des fusions d’école en milieu urbain

le statu quo

autres ? Précisez : ...........................................................................................................................................

……………………………………………………………………………………………….............................................................

nd degré

4. Pour vous, quelles exigences doivent présider à la création d’un établissement public dans le

1

er degré ?

…………………………………………………………………………………………………………………………………………….

…………………………………………………………………………………………………………………………………………….

5. Autres remarques

…………………………………………………………………………………………………………………………………………….

…………………………………………………………………………………………………………………………………………….

La parole aux directeurs et aux adjoints

quelle evolut

du fonct

et de la d

d

iioniionnementiirectiionecole ?

Nom : Prénom :

Département d’exercice :

Fonction (adjoint, directeur, enseignant RASED …) :

Adresse mail :

Enquête à retourner pour le 3 novembre au plus tard à votre section départementale du SE-UNSA

(coordonnées sur

www.se-unsa.org) ou au siège national (ecoles@se-unsa.org, fax : 01 44 39 23 43).

www.se-unsa.org

 
 
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