Ordre du jour :

- Contenu de la formation des directeurs (formation initiale, formation continue).

- Analyse des résultats de l’enquête menée auprès des directeurs de la Haute-Vienne, repérage /choix de pistes de travail.

- Poursuite des travaux entrepris.

Etaient présents : l’ensemble des 10 directeurs-trices du GDDE, Nathalie Couturier (référente des directeurs-trices), Brahim Aïssa (Chargé de la formation continue).

Après un rapide tour de table, Nathalie Couturier a présenté le programme de formation des volontaires (dont le volume n’était pas connu au moment du GDDE) à la liste d’aptitude lors des 3 semaines de formation (du 5/2 au 9/2 ; du 18/03 au 22/03 ; du 25/03 au 29/03).

Le GDDE demande à l’administration d’indiquer auprès des collègues directeurs-trices 15 jours avant, la date à laquelle se réunira le GDDE dans la lettre hebdo. Ceci pour permettre aux collègues de faire remonter des questions, des sujétions, des informations.

Ensuite, le GDDE a pris connaissance des résultats de l’enquête menée auprès des directeurs de la Haute-Vienne. Une cinquantaine de réponses ont été faites (sur 250 écoles) soit 1/5ème.

Il ressort en premier un manque de temps et de décharge que le GDDE ne peut combler. L’augmentation du volume de décharge des directrices et directeurs d’écoles est un mandat fort du SE-Unsa, qui continue à le porter régulièrement auprès du Ministère.

En revanche, l’analyse des réponses à fait ressortir plusieurs propositions de thématique de formation :

• Comment gérer les troubles de comportement chez les élèves ?
• Apprendre à porter secours (PSC1, extincteurs)
• Quels sont les dispositifs possibles pour les élèves après le primaire (SEGPA, ULIS Collège, etc.). Une immersion dans ces différents systèmes pourrait être un plus pour comprendre ses dispositifs et de fait mieux orienter les élèves.

Le GDDE propose de donner le choix aux directeurs-trices entre plusieurs thématiques de formation et de les organiser ensuite.

Le GDDE propose aussi d’améliorer la mise en place de la formation continue. Actuellement, les 2 journées de formation sont prises sur un temps de décharge et cette décharge est déplacée sur une autre journée dans l’année. Les directeurs-trices déchargés 1 fois toutes les 3 semaines se retrouvent avec jusqu’à 6 semaines sans décharge. Il est donc proposé d’établir les jours de formations sur les jours de décharge pour celles et ceux qui sont déchargés au moins un jour par semaine (et qui récupéreront leur décharge sur un autre jour) et les directeurs-trices jusqu’à 3 classes seraient remplacés sur un jour de classe mais hors jour de décharge.

Toutes ces réflexions ont été présentées et argumentées à M. Gauthier en fin d’après-midi. Il lui parait difficile d’accéder aux dernières propositions. Plusieurs choix de formation seraient difficiles à organiser mais des réflexions vont être menées. Quant à la dernière proposition pour les jours de formations, il indique ne pas être en mesure de pouvoir remplacer les 101 directeurs-trices de 1 à 3 classes pour les positionner sur un des 4 jours de la semaine. Il faudrait trouver 25 remplaçants par jour pendant 4 jours et deux fois dans l’année ce qui apparaît compliqué voire impossible.

Par ailleurs, toujours dans l’optique de faciliter et simplifier les tâches de la direction d’école, le SE-Unsa vient d’écrire à la Ministre de l’Education pour obtenir enfin des clarifiactions quant à la Loi Rilhac et son décret d’application du 14 août 2023. Vous trouverez au bas de cet article le courrier envoyé le 20 janvier dernier.