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5 mars, 6 mars, 10 mars et 23 mars : des journĂ©es d’actions nĂ©cessaires !
Article publié le vendredi 5 mars 2010.
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Les attaques contre les services publics, et plus particulièrement contre l’Éducation nationale atteignent un niveau inégalé. Dans notre département, la carte scolaire montre la volonté du gouvernement de casser l’École publique.
 
Pour les écoles, 64 fermetures de classes, ramenées à 50, 13 suppressions de postes de RASED, et la réduction de certaines décharges de direction, et, pour les collèges, la suppression de 162 heures postes, soit l’équivalent de 9 postes, ainsi que la réduction de 108 heures en SEGPA, la coupe est pleine !
 
Ces mesures ont provoqué une mobilisation sans précédent des parents d’élèves, des enseignants et des élus, qui sont bien décidés à rester unis et solidaires pour s’y opposer. Et ce ne sont pas les déploiements de forces de police injurieuses ou les jets de gaz lacrymogène traduisant la perte de sang froid des autorités préfectorales devant les 500 manifestants à la porte du CDEN le 26 février, qui vont la faire disparaître.
C’est le droit à un enseignement de qualité dans des conditions d’encadrement correctes pour tous les élèves, de la maternelle au lycée que nous devons défendre.
 
A l’appel du SE-UNSA, participons TOUS aux prochains rendez-vous (voir les lieux sur le site), le 5 mars à 18h30, le 6 mars à 14h30, le 10 mars à 14h30, pour nous opposer à ces décisions dramatiques pour le fonctionnement des nos écoles et collèges et pour l’avenir de nos élèves.
 
Parallèlement, le gouvernement ignore les inquiétudes exprimées par les salariés sur des sujets aussi prioritaires que l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, les conditions de travail.
Il persiste à mésestimer le malaise des fonctionnaires. Le gouvernement insiste dans son choix de sacrifier l’existence des services publics et d’en faire un terrain d’économie budgétaire. Cette politique est catastrophique pour les usagers. C’est donc pour l’UNSA un autre motif de mobilisation nécessaire.
 
S’agissant des retraites, un projet de loi devrait être déposé en septembre 2010. Le temps qui nous est imparti doit donc être l’occasion d’un véritable débat : financement du système par répartition, maintien de la solidarité intergénérationnelle, revenu de remplacement de haut niveau, âge de départ légal à 60 ans...
De nouvelles attaques sont à craindre : suppression du calcul de la pension sur les 6 derniers mois !
 
Ensemble, dans une action convergente de grève et de manifestation, nous devrons nous faire entendre, le mardi 23 mars.
 
 
 
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