Depuis la promulgation de la loi réformant les retraites, le Président de la République s’est engagé dans une course folle pour remplir les 100 jours qui le séparent de son allocution du 14 juillet d’annonces successives, déconnectées des réalités comme des besoins. Il manifeste par là même une précipitation qu’il confond avec l’action et dont les retombées sur notre système éducatif sont inquiétantes.

Pour l’UNSA Éducation, le traitement des questions éducatives, comme d’autres malheureusement, est devenu préoccupant et intenable. Gouverner sans gouvernail réduit les politiques publiques à simplement administrer, et encore cela est devenu pour l’essentiel impossible.

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