Pour l’UNSA Éducation, le syndicalisme doit prendre la mesure des enjeux démocratiques et climatiques dans un contexte de crise, d’une société fractionnée et de transformations numériques, économiques et géopolitiques majeures. L’UNSA Éducation veut faire du syndicalisme un acteur central de la cohésion sociale.

L’UNSA Éducation défend le projet d’un syndicalisme réformiste, qui renouvelle le dialogue social, se préoccupe de la réduction des inégalités sociales et scolaires, et prend franchement le virage de la transition écologique. Un syndicalisme proche des collègues qui prend en compte les nouvelles formes d’engagement.

Ces préoccupations seront le fil conducteur des travaux du congrès pendant 4 jours.

La rectrice de l’académie Bénédicte Robert, ainsi que Laurent Escure, secrétaire général de l’UNSA, étaient attendus pour l’ouverture du congrès lundi après-midi.

Mercredi les portes du congrès s’ouvrent pour la première édition du rendez-vous annuel des métiers de l’éducation, où participeront les 400 congressistes et des personnels de l’éducation issus des départements voisins. Ce rendez-vous annuel a pour leitmotiv « déterminé·es pour faire reculer les inégalités Â» : des ateliers, des table-rondes et des conférences se dérouleront toute la journée avec l’invitation de plusieurs chercheuses et chercheurs et de dirigeants nationaux des organisations de l’éducation populaire, des parents d’élèves, des organisations étudiantes et des collectivités territoriales.

Jusqu’à jeudi, 4 jours de congrès, avec les regards croisés de tous les métiers de l’Éducation, la Recherche et la Culture, pour décider de nos orientations, prendre de la hauteur, débattre, agir et renouveler notre offre syndicale.