A situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle.
A la vue des évènements météorologiques prévisibles, le SE-UNSA considère que la préfecture aurait pu prendre la décision de fermer les écoles ou à minima de déconseiller aux parents d'emmener les élèves à l'école.
Arbres arrachés, tuiles volantes, situation critique dès que l'on monte en altitude, les risques encourus par les élèves pour une dernière journée d'école en valaient-ils la peine ?
Si les inspections ont, semble-il, tenu une information régulière ce matin à destination des collègues , le SE-UNSA s'interroge toujours sur le manque de réactivité des services de l’État sur des évènements prévisibles (au moins 48H).
Étant donné la dangerosité des évènements météorologiques, des établissements du second degré ont décidé, cet après midi, de dispenser les élèves de cours.
Ce n'est pas lorsqu'il y a un blessé qu'il convient de prendre des décisions.
Pour le SE-UNSA le principe de précaution doit prévaloir.