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Article publié le mercredi 17 octobre 2007.
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Numéro

401 - 16 octobre 2007

Après le 18 octobre, la négociation doit reprendre !

La grève prévue le jeudi 18 octobre sera de grande ampleur dans les transports, particulièrement à la SNCF et à la RATP.

Elle viendra illustrer la forte inquiétude des salariés de ces entreprises quant à l’avenir de leur régime de retraite qui a été confirmée par la lecture du document d’orientation gouvernemental qui a été remis à l’UNSA le mercredi 10 octobre.

L’UNSA en accord avec ses syndicats des transports n’a jamais refusé de discuter de la question des régimes spéciaux. L’UNSA n’a jamais refusé de considérer que tous les salariés du privé comme du public devaient être mis sur un pied d’égalité pour ce qui concerne la durée de cotisations.

Ce que l’UNSA refuse par contre, c’est que dans bien des cas, les salariés qui effectueront, demain, une carrière plus longue que celle qu’ils effectuent aujourd’hui, percevrons une retraite d’un montant inférieur.

Or ce sera le cas si les orientations gouvernementales restent en l’état.

Cela résulte en grande partie des effets de la « décote » telle qu’elle est actuellement conçue et qui pénalise de façon excessive et injuste les salariés qui ne peuvent justifier d’une carrière complète.

L’UNSA rappelle que pour les salariés des régimes spéciaux, la retraite est un élément du statut salarial qui vient compenser des salaires moindres et des sujétions particulières (travail de nuit, les dimanches et jours fériés etc.). Une remise en cause brutale du montant des pensions servies est donc vécue comme une rupture du contrat salarial passé avec l’entreprise.

L’UNSA demande donc au gouvernement d’engager de nouvelles discussions sur son document d’orientation - notamment sur la question de la décote – pour que s’ouvrent de façon plus sereine les négociations dans les entreprises.

Pour des sanctions exemplaires contre la Birmanie

L’UNSA soutient l’appel lancé par la Confédération européenne des syndicats (CES) et la Confédération syndicale internationale (CSI) à l’Union européenne afin qu’elle adopte des sanctions exemplaires contre la Birmanie suite à la dernière phase de violente répression perpétrée par la junte militaire.

L’Union a déjà mis des sanctions en place, mais elles sont largement insuffisantes pour convaincre les militaires de cesser leur abominable oppression et d’autoriser la démocratie.

Par conséquent, l’Union doit notamment interdire à toutes les entreprises enregistrées dans l’Union et à leurs filiales ainsi qu’aux citoyens européens d’investir en Birmanie. Cette interdiction doit couvrir tous les secteurs, et en particulier le pétrole et le gaz qui constituent la principale source de revenu internationale de la junte. Elle doit également interdire aux entreprises de conclure des joint-ventures ou des contrats, interdire l’importation de biens et services en provenance de Birmanie ou encore les transferts financiers internationaux et les transactions par quelque entité que ce soit. Enfin, l’Union doit prendre des mesures destinées à garantir que des armes européennes ne pourront être vendues à la Birmanie par des pays tiers.

 

UNSA - Infos

Union Nationale des Syndicats Autonomes - 21 rue Jules Ferry - 93177 Bagnolet cedex Tél. : 01 48 18 88 00 - Fax : 01 48 18 88 99 - Courriel : unsa@unsa.org

 

 
 
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