Le SE-UNSA, la FSU et Sud-Education sont indigné·es par la situation de 17 mineur·es qui sont sans solution d’hébergement pérenne et sans prise en charge des institutions dans notre département.
Cette situation relève de l’atteinte aux droits des enfants en particulier et aux droits humains fondamentaux en général.

Nous exprimons notre soutien aux jeunes et à RESF 61 dans leur mobilisation.

Pour rappel, les jeunes se disant mineur·es doivent être considéré·es comme mineur·es et de ce fait n’ont pas à être en possession d’un titre de séjour.

Nous déplorons la non-prise en compte de l’intérêt supérieur de l’enfant et appelons le conseil départemental et ses partenaires à proposer au plus vite des places d’hébergement pour mettre à l’abri ces jeunes. Au-delà, il doit leur garantir des logements pérennes et des solutions de scolarisation adaptées.

Nous appelons à soutenir la mobilisation des jeunes et des associations qui les aident.

Les droits de l’enfant ne se discutent pas !