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SE-UNSA 51


 Par SE-UNSA 51

Canicule dans les écoles : Attention à la surchauffe dans la Marne et au-delà !

 

Pour le SE-UNSA, il y a de nouveau un grand manque d'anticipation sur le bien-être des élèves et celui des personnels en cas de canicule.

Lors du précédent épisode de canicule moindre mais quand même, le SE-UNSA de la Marne  avait alerté le DASEN au niveau du CHSCT gràce aux remontées des écoles sur les conditions de travail des personnels et d'accueil des élèves en cas de fortes chaleurs. Lien registre du CHSCT

Or, force est de constater que la situation n'est pas meilleure et que les mesures n'ont pas été prises à l'évidence. ( 35 voire 36 °c dans certaines classes mardi)

Le SE-UNSA de la Marne a donc remis cette enquête au goût du jour et fera à nouveau remonter les difficultés lors du CHSCT  Enquête en ligne ici

Nous avons aussi envoyé un courrier ci-dessous au maire de Reims car la situation des écoles rémoises est critique.

Le SE-UNSA invite aussi les écoles à s'adresser à leur premier magistrat (modèle de lettre joint)

Le DASEN vient d'envoyer un courrier aux écoles ( ci-dessous) en précisant que l'absence des élèves était tolérable sur les 27 et 28 juin et que la situation des personnels fragiles devait être prise en compte.

Au niveau du ministère, les organisations syndicales SE-Unsa, Snuipp-FSU, CGT Educ’Action, Sud Education, Sgen-CFDT, et la FCPE s’adressent au ministre dans cette période de canicule.(courrier ci-dessous)

Elles demandent au ministre de diffuser des consignes rappelant notamment la possibilité de procéder partout où cela s’avère nécessaire à la fermeture des écoles, notamment là où les équipes enseignantes l’estiment indispensable
Plus largement, pour le SE-UNSA l’école doit mieux s’adapter face aux fortes chaleurs : architecture et équipements favorisant la fraîcheur, recommandations pratiques prévues à l’avance, en fonction d’indicateurs de température bien définis, pour la santé des élèves et des personnels, notamment pour ceux dont la situation est fragile (grossesse, maladie, handicap…). Les autorités locales et le ministère doivent désormais anticiper ces phénomènes météorologiques qui vont devenir récurrents