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CDEN carte scolaire du 23 février 2024
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Rappel : le CDEN est l’instance finale dans le parcours de la carte scolaire. L’Inspectrice d’acadĂ©mie Dasen prĂ©sente son projet devant l’instance prĂ©sidĂ©e par le PrĂ©fet et co-prĂ©sidĂ©e par le prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental et elle-mĂŞme. C’est pour nous aussi l’occasion d’interpeler les Ă©lus dĂ©partementaux, les reprĂ©sentants des communes et de l’Etat.

L’Unsa Education a lu une dĂ©claration liminaire abordant la situation de l’Education quant au choc des savoirs pour dĂ©cliner concrètement les mesures et indiquer fermement son opposition. Enfin, nous avons alertĂ© les Ă©lus sur le sujet de l’uniforme les invitant Ă  ne pas se tromper de combat !


Les mesures de carte scolaire sont déclinées après le texte de notre déclaration.

5 fermetures ont été suspendues.


Déclaration liminaire de l’Unsa-Éducation

au CDEN de la Marne – 23 février 2024

 

Monsieur le Préfet,

Monsieur le Président du Conseil départemental

Madame l’Inspectrice d’Académie,

Mesdames, Messieurs,

 

L’École est-elle encore une prioritĂ© absolue de l’exĂ©cutif ? La question mĂ©rite d’être posĂ©e.

Acte 1 : Annonce de la suppression de plus de 1 000 postes enseignants dans le 1er degrĂ© et de 500 dans le 2d degrĂ©. 

Acte 2 : Changement de cap en dĂ©cembre, lorsque l’actuel Premier ministre revient sur la fermeture de 650 postes dans le 1er degrĂ© et la recrĂ©ation de plus de 800 dans le 2d degrĂ©, ainsi que le redĂ©ploiement de 1 500 postes, sans pour autant modifier le budget en cours d’examen Ă  l’AssemblĂ©e nationale.

Acte 3 : Revirement hier avec l’annulation de près de 700 millions d’euros dont 500 millions en dĂ©penses de personnels, mais qui seraient, selon la Ministre, sans impact sur les personnels et les rĂ©formes.

 

Comment peut-on parler de priorité en renvoyant un tel message de coupes budgétaires importantes ?

·        Sur la mĂ©thode et la temporalitĂ© de l’annonce, il y a matière Ă  redire.

o   Quand c’est le ministre de l’économie qui annonce des suppressions de postes dans l’Éducation quelques semaines après l’annonce de crĂ©ations pour permettre la rĂ©alisation des mesures annoncĂ©es par le ministre de l’Éducation nationale…devenu depuis chef du gouvernement, on s’y perd.

o   De plus, de qui le Gouvernement, qui n’est pas sans connaĂ®tre les prĂ©visions budgĂ©taires depuis plusieurs mois, se moque-t-il quand il fait le choix dĂ©libĂ©rĂ© de porter ce projet rĂ©trograde et inefficace pour l’École pour, in fine, annoncer des Ă©conomies. Depuis le dĂ©but, le budget de l’École est une variable d’ajustement.

·        Sur le fond, c’est un signal nĂ©gatif pour l’École, alors que l’investissement public est plus que jamais nĂ©cessaire pour dĂ©passer les dĂ©fis de notre système Ă©ducatif : inclusion, mixitĂ© sociale, lutte contre l’échec scolaire… pour les plus marquants.

 

Pour l’Unsa-Éducation, c’est une politique irresponsable, toujours aussi mĂ©prisante des personnels, des Ă©lèves et des familles, ainsi qu’un renoncement pour l’avenir de notre pays.

 

Décidemment, notre fédération ne défend pas la même vision de l’École que la politique éducative macroniste néolibérale.

 

L’UNSA Éducation défend viscéralement l’École de la République, publique et laïque, cette École qui accueille tous les élèves, quelle que soit leur origine sociale, quel que soit leur niveau scolaire, cette École qui se bat au quotidien pour réduire les inégalités et permettre ainsi à chaque élève de réussir, de s’émanciper et de s’épanouir.

 

A Ă©couter le Premier Ministre Ă  l’occasion de son discours de politique gĂ©nĂ©rale ou notre nouvelle Ministre de l’Éducation nationale, ils partageraient cet objectif : Faire rĂ©ussir tous les Ă©lèves. Dont acte !

 

Mais une politique ne saurait se rĂ©duire Ă  quelques belles formules comme le « choc des savoirs Â» ou « le rĂ©armement civique Â». Elles peuvent certes sĂ©duire une partie de l’opinion publique, celle qui pense que le bon sens et la simplicitĂ© sont la clĂ© de tout mais malheureusement, si cela Ă©tait si simple, cela fait bien longtemps que les maux de l’École publique auraient Ă©tĂ© soignĂ©s.

« A tout problème compliquĂ©, il y a toujours une solution simple : la mauvaise ! Â»

 

Décryptons donc le discours officiel sur l’École.

Derrière les mesures du mal nommĂ© « choc des savoirs Â», il y a l’idĂ©e que  la cause principale de la baisse de niveau des Ă©lèves français rĂ©siderait dans une trop forte hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ©.

·        Pour rĂ©pondre Ă  cette forte hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© dans les classes qui ne permet pas  de tirer tous les Ă©lèves vers le haut, Gabriel Attal, alors Ministre de l’Éducation nationale, dĂ©cide d’une organisation en groupes de niveaux en 6ème Ă  compter de la rentrĂ©e 2024 en mathĂ©matiques et en français.

·        Pour rĂ©pondre Ă©galement Ă  la trop grande hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© des manuels scolaires pointĂ©e par Gabriel Attal, dont certains ne reposant pas sur les « mĂ©thodes qui fonctionnent Â» , la rĂ©ponse ministĂ©rielle rĂ©side dans la labellisation des manuels.

D’autres mesures viennent complĂ©ter ce « choc des savoirs Â», oĂą le tri social systĂ©matisĂ© va remplacer l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ©.

·        Le redoublement ne doit plus ĂŞtre un tabou et la dĂ©cision revient aux enseignants.

·        L’obtention du DNB devient indispensable pour poursuivre sa scolaritĂ© au lycĂ©e.

·        La question de l’uniforme/tenue unique Ă  l’École refait surface

 

Ne nous y trompons pas, ce « choc des savoirs Â» n’est pas une rĂ©forme de plus, il s’agit bien d’un vrai coup de barre nĂ©olibĂ©ral infligĂ© Ă  l’École  remettant fondamentalement en cause la dĂ©mocratisation de l’École et l’instauration du collège unique en 1975.

Pour l’Unsa-Éducation, si notre système scolaire est Ă  l’évidence malade et ne parvient pas Ă  offrir Ă  chaque Ă©lève, quel que soit son milieu d’origine, les mĂŞmes chances de rĂ©ussir son parcours scolaire, la rĂ©ponse apportĂ©e par Gabriel Attal n’est assurĂ©ment pas la bonne et conduira Ă  renforcer les inĂ©galitĂ©s scolaires et sociales, fracturant encore plus notre sociĂ©tĂ©. Avec ce changement de cap radical, le risque est grand que notre devise rĂ©publicaine « LibertĂ©, ÉgalitĂ©, FraternitĂ© Â» ne soit bientĂ´t plus qu’une belle formule au fronton des mairies.

 

L’UNSA Éducation affirme que l'hétérogénéité est une force plus qu’une faiblesse. Aussi, l'explication de l’échec des politiques publiques en matière d’éducation et la baisse des résultats des élèves français doivent être cherchées ailleurs.

L’enchaînement des réformes incohérentes entre elles, la suppression des moyens, le manque d’attractivité de nos métiers, le manque de formation des personnels ne peuvent être écartés d’un revers de main.

 

Mais, puisqu’il s’agit aujourd’hui de clouer au pilori l’hétérogénéité, c’est bien de mixité sociale et scolaire dont nous voulons parler.

 

Le séparatisme et l’entre-soi sont déjà à l’œuvre entre établissements publics et privés sous contrat. La publication des données concernant les IPS des collèges le prouve de manière irréfutable

Les résultats des évaluations PISA montrent que ce sont les élèves issus des milieux les plus défavorisés qui ont les résultats les plus bas. Or, beaucoup d’entre eux sont déjà regroupés dans les quartiers populaires et les établissements classés en éducation prioritaire à cause d’une politique de la ville délétère et d’un manque de volonté politique de faire de la mixité sociale une réalité. C’est pourtant la seule manière de faire nation, de garantir la cohésion sociale.

 

C’est pourquoi, l’Unsa-Éducation, demande Ă  Nicole Belloubet, nouvelle Ministre  de l’Éducation nationale d’abandonner ce « choc des savoirs Â» qui ne fera pas progresser sensiblement les meilleurs mais qui enfoncera encore plus les Ă©lèves en difficultĂ©s.

Ce « choc des savoirs Â» est antinomique des valeurs que nous dĂ©fendons Ă  l’Unsa-Éducation Ă  savoir une École et un collège pour tous, sans sĂ©lection, qui scolarise ensemble tous les enfants d’une tranche d’âge, dans le respect absolu des besoins de chacun. Nous souhaitons pour chacun une scolaritĂ© et une orientation positives, fondĂ©es sur les aptitudes d’un jeune et non sur ses insuffisances. Les groupes de niveau qui vont ĂŞtre crĂ©Ă©s en collège seront ainsi vĂ©cus par les enseignants et les  chefs d’établissement comme une sĂ©grĂ©gation scolaire annoncĂ©e qui ne pourra rĂ©pondre aux enjeux de la rĂ©ussite de tous. 

Ce « choc des savoirs Â» nous inquiète Ă©galement très fortement pour ses consĂ©quences inĂ©luctablement dĂ©sastreuses.

·        Les groupes de niveaux, tels que prĂ©sentĂ©s actuellement, vont regrouper, sur un temps inĂ©vitablement long, des Ă©lèves en difficultĂ© qui, sans hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ©, avanceront nettement moins vite que les autres groupes

·        Comment ces Ă©lèves aborderont-ils les notions fondamentales nĂ©cessaires dans les autres disciplines en avançant moins vite, alors que les autres les auront vues et maĂ®trisĂ©es depuis longtemps ?

·        Comment progresseront-ils suffisamment vite pour espĂ©rer atteindre un hypothĂ©tique niveau supĂ©rieur ?

Ce n’est pas l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© des groupes qui est gĂŞnante, c’est une trop grande hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© dans des classes Ă  effectifs plĂ©thoriques.  Aussi, Madame la Ministre, donnez-nous plutĂ´t les moyens de diminuer le nombre d’élèves par classe et de faire ainsi rĂ©ussir mieux les Ă©lèves.

Ce « choc des savoirs Â» souffre aussi de nombreux freins organisationnels et de moyens insuffisants

·       La mise en place de ces groupes de niveaux impactera l’organisation des enseignements et dĂ©gradera considĂ©rablement  les conditions de travail des enseignants. Le « choc d’attractivitĂ© Â» sera pour plus tard…

Les enseignants de français et de mathématiques vont devoir, inévitablement, après la rentrée 2025, assumer un enseignement sur l’ensemble des niveaux afin d’assurer les alignements nécessaires. Leurs emplois du temps vont considérablement perdre en qualité, comme ceux de l’ensemble des enseignants de collège.

Les postes partagés vont se multiplier, les alignements ne seront pas possibles dans les plus petits établissements, faute d’un nombre de professeurs suffisants pour les mettre en place.

Le choix des professeurs principaux va être très largement limité, si ce n’est impossible, mettant en difficulté les équipes et le suivi des élèves.

 

·        Quant aux moyens, il apparaĂ®t d’ores et dĂ©jĂ  que les 2300 ETP annoncĂ©s ne seront pas suffisants pour couvrir les besoins de tous les Ă©tablissements.

La marge établissement ne va pas pouvoir tout absorber. Ainsi les établissements n’auront-ils plus les moyens de continuer les dédoublements et autres co-interventions mis en place dans certaines disciplines.

De mĂŞme, le financement des enseignements optionnels (langues et cultures de l’antiquitĂ©, langues et cultures europĂ©ennes, groupes de LV2, bilangues de continuitĂ© sur le cycle 4, enseignement optionnel de chant choral, etc ) sera considĂ©rablement remis en cause. Or ces  enseignements optionnels sont, pour l’École Publique, une garantie de pouvoir maintenir une offre de formation suffisante face Ă  certains Ă©tablissements privĂ©s. Une fois encore, l’Unsa-Éducation exige que les moyens nĂ©cessaires soient donnĂ©s aux Ă©tablissements publics.

Ce « choc des savoirs Â» posent Ă©galement des nombreuses questions, et pas des moindres, qui restent sans rĂ©ponse.

·        Quelle place pour les Ă©lèves Ă  besoins particuliers et l’école inclusive dans ce projet ?

·        Quelle place pour les Ă©lèves de SEGPA ?

·        Quelle Ă©valuation pour les Ă©lèves dans les groupes les plus faibles ?

·        Quelle estime de soi auront les familles et surtout les Ă©lèves placĂ©s dans le groupe faible ?

 

Cette absence de rĂ©ponses renforce le sentiment que prendre en considĂ©ration l’élève en difficultĂ© n’est plus au cĹ“ur du projet ministĂ©riel libĂ©ral pour l’École de la RĂ©publique.  La nĂ©cessaire mixitĂ© sociale et scolaire est abandonnĂ©e au profit de la sĂ©grĂ©gation et de la stigmatisation des plus faibles, par le redoublement et le confinement des Ă©lèves les plus en difficultĂ© dans les groupes les plus faibles.

La place redonnée au Diplôme National du Brevet , sésame indispensable pour le passage au lycée confirme ce nouveau cap d’une École de la réussite, pour ceux qui réussissent déjà dans le système scolaire actuel.

Pour clore  le chapitre du « choc des savoirs Â» comment ne pas aborder avec vous, Mesdames et Messieurs les Ă©lu-e-s, la question de l’uniforme ou  de la tenue unique. L’Unsa-Éducation vous engage Ă  ne pas vous tromper de combat. La bataille de l’uniforme est bien futile comparĂ©e Ă  ce que nous venons de dĂ©velopper. Nous savons l’attachement que vous avez aux Ă©coles et Ă©tablissements scolaires de vos territoires alors ne fourvoyez pas dans des dĂ©penses vestimentaires quand il y a tant Ă  faire pour assurer les meilleures conditions possibles d’apprentissage pour les Ă©lèves. .

Concernant la prĂ©paration de la rentrĂ©e 2024 dans le 1er degrĂ© marnais, Ă  l’ordre du jour  de ce CDEN, l’Unsa-Éducation dĂ©nonce une nouvelle fois que la baisse des effectifs Ă©lèves entraĂ®ne un retrait de 26 emplois.

Certes,  le taux d’encadrement est effectivement maintenu. L’Unsa-Éducation ne nie pas cet indicateur. Face Ă  cette gestion quantitative, nous demandons une approche qualitative. Et dans l’équation, il serait temps que le Ministère prenne en compte les rĂ©alitĂ©s du terrain. La sociĂ©tĂ© Ă©volue, la place de l’École aussi, les attentes de l’institution et des parents d’élèves Ă©galement.

Et concrètement, avec un taux d’encadrement moyen favorable eu égard à la moyenne nationale, il n’en demeure pas moins les conditions d’enseignement ne permettent pas de consacrer autant de temps que nécessaire pour la réussite de l’ensemble des élèves.

Ne pas supprimer de postes malgré la baisse démographique aurait été un signal positif envoyé aux enseignants du 1er degré marnais. Cela aurait également permis d’abonder de façon significative les moyens en remplacement qui manquent indubitablement dans notre département.

Malheureusement c’est encore un acte manquĂ© !

Enfin, l’Unsa-Éducation attend avec impatience la réunion du CSA-SD concernant la préparation de la rentrée 2024 dans le 2nd degré marnais. Les conditions de préparation de rentrée si particulière nous préoccupent fortement.

En attendant, l’Unsa-Éducation continue d’agir au niveau national et demande Ă  la Ministre d’abandonner le « choc des savoirs Â» qui ne pourra dĂ©cemment pas se mettre en place après l’annonce des coupes budgĂ©taires.


I- Carte scolaire

Présentation de la démarche pour la carte scolaire de rentrée 2024.

Mme l'Inspectrice d'AcadĂ©mie remet en perspective l’évolution dĂ©mographique : 5000 Ă©lèves perdus pour la Marne entre 2017 et 2024 (soit 10% des Ă©lèves) mais + 41 postes d’enseignants sur la mĂŞme pĂ©riode. Une apprĂ©ciation qualitative est apportĂ©e dans la prĂ©paration de cette rentrĂ©e scolaire. La rĂ©partition est soucieuse d'un Ă©quilibre territorial et aussi d'un Ă©quilibre social.

DĂ©clinaison des mesures : 26 postes Ă  rendre pour la Marne

IMPLANTATIONS : EN EDUCATION PRIORITAIRE : au titre de la dĂ©mographie

Mat Barthou Reims

Elem Admunsen Vasco de Gama Reims

Mat Dauphinot Reims

Elem Dauphinot Reims

Dispositif moins de 3 ans Ă  Mat Jacques Adnet Sermaize-les-Bains

 

RETRAIT EN EDUCATION PRIORITAIRE : au titre de la dĂ©mographie


Elem La Neuvillette Reims

Mat Ravel Reims

Elem Galliéni Reims

Mat Galilée Reims

Elem Blanche Cavarrot Reims - 2 postes

Mat Billard-Legros Reims

Elem Hippodrome Reims

Elem Galilée Reims

 

IMPLANTATIONS EN EDUCATION PRIORITAIRE : au titre des dĂ©doublements

 

En REP +


Mat Galilée Reims

Elem Galliéni Reims

Elem Blanche Cavarrot Reims


En REP


Elem la Neuvillette Reims

Mat Ravel Franchet Reims

Mat Dauphinot Reims

Elem Dauphinot Reims

 

RETRAITS EN EDUCATION PRIORITAIRE : au titre des dĂ©doublements


Elem Admunsen Vasco de Gama Reims

Mat Charles PĂ©guy Reims

Elem Charpentier Reims

Mat Raoul Duffy Cavarrot Reims

Elem Provençaux Reims Reims

Prim Joliot Curie Reims


Total balance en Ă©ducation prioritaire : 12 implantations et 15 retraits.


 

HORS EDUCATION PRIORITAIRE / IMPLANTATIONS


+ 1 prim Bezannes

+ 1 prim Jean Moulin Cernay les Reims

+ 1 mat Victor Hugo Chalons en champagne

+ 1 prim Mont st Michel Chalons en Champagne

+ 1 elem le village Courcy

+ 1 prim Ecueil

+ 1 Mat Lavannes

+ 1 mat Pommery Reims

+ 1 elem Adriatique Reims

+ 1 Prim Pont de Muire Tinqueux

+ 1 mat Vandeuil

+ 1 Prim les Carrières Vraux

+ 1 Elem Connantre

 

Total : + 13



 HORS EDUCATION / RETRAITS


En Maternelle :


Chatillons sur Marne, Saintonge Epernay, Haut des collines Fagnières, Gueux, Carteret Reims, Clairmarais Reims, La PĂ©rouse Reims, Centre Fismes

 

En Elémentaire :


Pierlot Ay, Paul Lapie Chalons en Champagne, Jules Ferry Chalons en Champagne, Damery, Chaude-Ruelle Epernay, Frignicourt, Magenta, Montmirail, Nogent l’abbesse, General Carre Reims, Jamin Reims, Jean MacĂ© Reims, Jean d’Aulan Reims, Ruisselet Reims, Turenne Reims, St Thierry


En Primaire : 


Ambonnay, Yves Duteil Bergeres les Vertus, AndrĂ© Malraux Chalons en Champagne, Clovis Jacquiert Chalons en Champagne, Chaumuzy, Courtisols, Couvrot, La ChaussĂ©e sur Marne, Loisy sur Marne, Sculpteurs Jacques Reims, Saint Amand sur Fion, St Ouen Domprot, Sept Saulx, St Remy en Bouzemont, Val des Marais, Vitry-en-perthois, RPI Igny Comblizy


Total : 41 retraits

 

Confirmation du poste de coordonnateur TER (Territoire Educatif Rural) Ă  Elem Lancelot Ste Menehould.
 

Situations prĂ©sentĂ©es suite aux fermetures annoncĂ©es :

- Charles Peggy

- Châtillon sur Marne

- Ecole maternelle de Saintonge

- école élémentaire de Magenta

- école primaire de Bergère les Vertus

- Ă©cole RPI Igny Comblizy

- Ă©cole de Saint-Ouen Domprot

- Ă©cole de Frignicourt

- Ă©cole de Loisy

- Ă©cole de Couvrot

- Ă©cole maternelle Docteur Billard

- Ă©cole de Chaumuzy

 

Intervention de l’UNSA Education : Madame l’Inspectrice d’acadĂ©mie dans vos propos liminaires de prĂ©sentation quand vous dites +41 postes sur les 7 dernières annĂ©es malgrĂ© une baisse d’effectifs, il faut prendre en considĂ©ration les dĂ©doublements CP/CE1 en REP et REP+ qui rĂ©duisent considĂ©rablement ces 41 postes supplĂ©mentaires comptables !

 

Mme l'Inspectrice d'Académie précise que la carte présentée en CDEN ce jour pourra encore évoluer compte-tenu des évolutions démographiques d’ici la fin de l’année scolaire (grande vigilance accordée).

 

FERMETURES SUSPENDUES :

 

-  sur la maternelle de Châtillon sur Marne

-  sur la primaire de Frignicourt (vigilance sur la Maternelle pour une ouverture)

- sur Saint-Ouen Domprot,

- sur l’école maternelle de Saintonge

- sur l’école de Magenta

 

VOTE : l’UNSA vote en abstention

 

En conséquence, il n'y a pas de création de postes de remplaçants.

 

II- Taux annuel de l’indemnité représentative de logement

 

Il s'agit d'une indemnité versée aux instituteurs (il en reste une dizaine dans la Marne) qui ont l'obligation de logement. L'indemnité n'est toujours pas revalorisée depuis 20 ans.

 

Intervention de l’UNSA Education : de qui se moque-t-on. C’est une indemnitĂ© qui plafonne depuis des annĂ©es pour 11 personnes dans le dĂ©partement et ce sont les communes qui paient. Augmenter cette indemnitĂ© n’aurait pas mis en pĂ©ril les finances des communes ! C’est ubuesque !


VOTE : L’UNSA a votĂ© CONTRE.

 

III- Questions diverses

 

- Le CSA SD second degré se tiendra après le CSA du 18 mars.

 

 
 
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