Conseil départemental de l’UNSS Marne / 22 01 2024

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Sylvie Ganthier a siégé pour le SE-Unsa.

- Mme Prestaux, DASEN de la Marne, indique que la longévité de la classe d’âge (années 2010/2022) actuelle est moins importante (travaux du professeur François CARRE) et que cela signifie une entame du capital santé. Mme Prestaux est attachée à la pratique sportive car souvent les publics défavorisés la pratiquent moins. Objectif de réduire ces disparités.

• Grande sédentarité,
• forte pratique des écrans.
• Impact de la pratique physique sur la santé psychique (travaux de Fabien LEGRAND).
• Santé mentale fragilisée depuis la sortie du covid. Une pratique sportive qui permette aux jeunes un bien-être physique et psychique + valeurs de l’olympisme. L’activité physique fait partie des fondamentaux.
• Des dispositions nouvelles, notamment dans les territoires ruraux. (TER dans le territoire de l’Argonne).
• Plusieurs focus sont présentés : 30 min d’activité physique par jour dans le primaire, travail sur des pédibus (avoir un accompagnant sur le trajet maison, école), place de l’UNSS et des AS dans les établissements scolaires.
• Salue l’engagement des professeurs d’EPS, 2 heures de plus de sport au collège (offre éducative complémentaire pour faire d’autres activités que celles de l’EPS ou de l’UNSS et pour aller chercher les élèves qui ne font pas de sport), et toutes les activités proposées aussi par Jeunesse et Sport.

- M Vincent Verstraete, vice-président du conseil départemental en charge de l’éducation et la jeunesse : nécessité de faire du sport, des compétitions pour se dépasser. Une matière majeure. Une des missions de l’aménagement du territoire pour effacer les disparités, notamment dans la pratique sportive. Elargir l’offre sportive (autre que le foot et le tennis).

Madame Garrido présente l’UNSS, 87 associations sportives AS dans le 51 sur 250 dans l’académie, un public ciblé 11498 licenciés dans la Marne (61 % de garçons). 11 coordonnateurs de districts, 315 animateurs d’AS et 6 districts. 27/ 28 % de licenciés avant le covid, remontée lente à 25 % aujourd’hui. Le nombre de filles licenciées diminue. La mixité est favorisée dans la majorité des activités. 69 % de licenciés en collège et 31 % dans les lycées. Des disparités au niveau des districts entre les ruraux et les urbains. % de licenciés plus important dans le rural. Problème aussi des déplacements pour les compétitions.

 

Les actions :

- Participation aux championnats de France 2022 2023 : 70 équipes dans la Marne (32 collèges, 2 LP, 36 lycées), 2 titres de champion de France en golf et en sports partagés.

- AG de rentrée (315 professeurs d’EPS) 1^er mercredi de septembre

- JNSS

- Journée de relance dans les districts (suite notamment au covid) : souvent des activités ludiques

-624 rencontres de districts / 757 rencontres départementales

- Journées promotionnelles surtout aux lycées

- Formations des jeunes officielles

- Championnat de France de laser run

- JOP/SOP

- Semaine du handicap -décembre

- Les centres UNSS existent depuis longtemps dans la Marne : surtout en escalade au début, centre natation à Châlons,…

- Passage de la flamme du 29 /11 au 31/01

A venir : Semaine olympique du 2 au 6 avril et journée olympique le 23 juin au niveau des districts.

En mai juin, 1^er championnat de France à Chalons en Laser run

Du 3 au 6 avril championnat de France 2024 Futsal LX excel à Reims, 6 et 7 juin championnat de France de relais collèges à Châlons.

Objectifs : redynamiser les AS vers 26-27 % de licenciés, prioriser la rencontre sportive, poursuivre la formation des Jeunes officiels, maintenir les efforts sur la pratique féminine (trouver des actions pour faire revenir les filles à l’AS), sport partagé vers l’inclusion des élèves en situation de handicap.

 

- Grosse dépense au niveau des transports avec une forte augmentation des coûts : indispensable pour emmener les élèves sur les compétitions. (Mutualisation des transports)

- Subventions : 81 541 euros (subvention département), 36 700 euros (subvention ville de Reims) sont versés à l’UNSS puis reversés aux AS.

- Un déficit à cause du championnat (hébergement et restauration, les hôtels à Châlons sont plus chers qu’à Reims). Voir si place dans les internats et à l’EREA.

- Fond d’aide aux AS en difficultés : pas utilisé dans le département

3 cités éducatives au départ avec le dispositif 8h/18h, puis élargissement aux REP et REP+ mais attention sur le collège de Sermaize avec les ramassages scolaires.

 

Vote : la liste présentée a été élue.

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