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mesures en fin de document
CTSD 51 du 12 février 2021
Déclaration liminaire de l’Unsa Education
Monsieur l’Inspecteur d’académie,
Les personnels sont en attente de décisions de leur ministère sur l’amélioration de leurs conditions de travail, et la revalorisation substantielle de leur rémunération. Les choses avancent mais à trop petits pas. Ce n’est pas le lieu en CTSD pour ces revendications, néanmoins, nous nous devons d’y faire allusion, tout comme à nouveau vous alerter sur l’état d’épuisement qu’ils subissent alors que la crise sanitaire s’éternise. A l’Education Nationale, on apprend la patience, cette année encore avec le retard de mise en paiement des avancements automatiques d’échelons. Que dire !
La crise sanitaire montre bien que les postes de remplaçants manquent crûment. Résoudre la quadrature du cercle pour assurer autant que possible le non brassage des élèves, d’autant que les collègues absents ont bien du mal à être remplacés, est un exercice d’équilibriste qui pèse sur les équipes. L’annulation des formations pour récupérer des enseignants remplaçants est compréhensible dans ce contexte, néanmoins la formation initiale et continue est essentielle. Exercice de style encore puisque la FAQ du ministère sur le protocole sanitaire a été mise à jour 16 fois. On se questionne sur le décryptage de son contenu qui oblige les collègues à enfiler leur costume « d’experts sanitaires » ayant pour mission de décrypter tout un jargon médical qui n'est pas censé les concerner. Tout ceci pèse sur les directrices et directeurs, chefs d’établissements, cadres de l’EN. Nous interviendrons encore en CTA pour alerter Monsieur le Recteur sur les difficultés à exercer actuellement.
Pour travailler dans de bonnes conditions, les écoles ont des besoins importants, même s’ils sont moins visibles immédiatement que les besoins en classes : présence d’enseignants spécialisés pour répondre aux besoins éducatifs particuliers toujours plus prégnants. Les dédoublements des classes opérés en GS, CP et CE1 dans l'enseignement prioritaire ne doivent pas faire passer sous silence les tensions qui existent au sein des écoles ordinaires, pour des classes qui ne bénéficient pas du dédoublement et dans les secteurs ne relevant pas de cette éducation prioritaire. Elles accueillent pourtant toutes des élèves qui ont des besoins particuliers, ou des troubles du comportement. Il est temps que la tendance s’inverse concernant les RASED qui ont été fragilisés ces dernières années alors qu’ils jouent un rôle très important dans le traitement de la grande difficulté, qui plus est dans cette période, où la rupture scolaire a précisément touché, avant tout, les plus précaires et les plus en difficulté dans les apprentissages. Les équipes éducatives ont besoin de maître G, de maîtres E, de psychologues scolaires L’ambition que nous défendons, c’est bien une inclusion de qualité qui favorise la réussite de tous les élèves en respectant les conditions de travail des personnels. Elle ne pourra être atteinte que si l’État se donne les moyens de ses intentions et si les acteurs sont en capacité de les faire vivre sereinement.
D’autre part, l’Unsa Education demande la prolongation des contrats des contractuels recrutés pour faire face à la crise sanitaire. … et un recrutement supplémentaire, si nécessaire.
J’en viens donc à la carte scolaire 1er degré.
Dans un contexte de baisse importante d’élèves, 21 postes en plus sont attribués à la Marne par le rectorat, ponctionnant ces mêmes postes sur les 3 autres départements de l’académie. Malgré la dotation positive pour notre département, ce n’est pas un luxe. Les ambitions affichées par le ministère pourront-elles être atteintes ? Limitation des classes à 24 en GS, CP et CE1, nouvelles décharges de direction, dédoublement des GS en éducation prioritaire, école inclusive.
Nous vous avons au Gt carte scolaire, fait part de nos demandes pour l'UNsa Education:
• Abonder des postes de remplaçants, y compris en BD Rep+
• Augmenter les postes de Rased, maîtres E et G
• Aller au-delà des décharges de direction statutaires, pour prendre en compte des écoles dont la spécificité nécessite un surcroit de travail des directrices et directeurs
• Créer des postes de conseillers pédagogiques et formateurs : les postes « hors classe » sont nécessaires à la qualité de l’enseignement, la formation est essentielle
• Une vigilance sur les fusions, qui doivent être bien préparées, avoir du sens et ne pas aboutir à des école « monstres »
• Attention toute particulière avec les IPS aux écoles dites orphelines
• Veiller aux effectifs y compris proches des seuils, pour alléger chaque classe
Nous vous remercions pour la communication du document général sur les effectifs, au format facilement utilisable pour nous. Mais nous regrettons de ne pas avoir eu, malgré notre demande, un document préparatoire avec des mesures précises nous permettant une analyse de votre projet.
Nous allons donc le découvrir en séance et ce n’est pas confortable pour nous.
En corrélation avec la carte scolaire, sont liées les opérations de mouvement. L’Unsa Education, lors des discussions sur les Lignes directrices de Gestion des mobilités, a prôné la qualité d’un dialogue social de proximité et demandé à ce que les dispositions du mouvement des personnels, et les LDG soient présentées en CTSD et discutées avec les représentants des personnels. Il faut garantir la transparence et l’équité. Nous faisons cette demande dans cette instance, en complément du courrier que je vous ai fait parvenir.
Pour terminer, nous avons demandé en question diverse un point d’information sur le recrutement des AESH et sur les heures d’accompagnement manquantes. Nous avons mené une enquête auprès des écoles, et constatons qu’il y a de gros manques dans certaines d’entre elles, ce qui nous interpelle.
Merci pour votre Ă©coute.
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Déroulé de la séance pléniere
Monsieur Claval, IA-Dasen, répond aux déclarations des 2 syndicats.
Il est conscient que la préparation de rentrée se déroule dans une période singulière et la difficulté , sur les conditions de travail, les adaptations au fil de l’eau parfois très importantes. La FAQ du 1er février a obligé à prendre des mesures protectrices notamment sur la ville de Reims. L’apparition des variants oblige à adapter et prendre de nouvelles mesures. Maintenir les écoles ouvertes dans l’intérêt des élèves mais en toute sécurité.
L’IA Dasen remercie les enseignants, les directeurs, pour leur engagement et l’exercice du métier dans ces conditions difficiles.
Remercie les collègues rémois pour s’être adaptés aux nouveaux horaires. A ce prix, on peut maintenir les écoles ouvertes, et rassurer la population sur la sécurisation sanitaire
2/ La carte scolaire et la préparation de rentrée 2021
L’IA Dasen explique avoir été à l’écoute de ce qui s’est dit au GT de la semaine passée. Traduction de la politique nationale et académique dans notre département. Très attentif au quantitatif et qualitatif.
Eviter les effets de yoyo, d’une année sur l’autre. IPS important dans la prise de décision.
L’IA-DASEN explique la construction de la préparation de rentrée.
Par le contexte académique : Répartition des moyens présentée par le recteur. Un P/E très favorable 5,74 en national … et 6,37 sur académie de Reims. Cette dotation académique est inscrite dans un contexte de perte de près de 3000 élèves dans l’académie cette année et 2670 élèves en prévision à la rentrée prochaine.
Département de la Marne : baisse envisagée à 1190 élèves.
Dotation à zéro pour notre académie. Le recteur a souhaité rééquilibrer les P/E des 4 départements. La Marne a un P/E le moins favorable de l’académie. 6,09 et les autres départements 6,68 pour le 08, 6,29 pour la 10, et 6,98 pour le 52. Donc réduction des écarts. 21 emplois sont donc donnés à la Marne. Malgré tout les P/E sont améliorés dans les 4 départements.
Le différentiel entre les prévisions pour cette année et la réalité est de 1257 élèves en moins. Pas forcément facile de trouver où ? (représente environ 3 élèves par école)
Plusieurs points décisionnaires :
1.Les P/E (prof par élève): amélioration du taux d’encadrement par classe E/C (élèves par classe). diminution départementale des effectifs par classe. Il faudra regarder la réalité des constats à la rentrée prochaine. Le secteur privé perd des élèves tout autant que le secteur public Les flux de population se font donc vers d’autres territoires que notre académie.
2.L’IPS est un indicateur important à regarder pour prendre les décisions. Les autres indicateurs ne bougent pas : 25 en EP et 27 hors EP. IPS permet de privilégier des mesures au des plus fragiles. Il n’y a pas de retrait d’emploi dans les secteurs fragilisés.
3. Baisse des effectifs
4. Ecole inclusive : les ULIS et les Unités « Autisme » UEMA et UEEA. Dans notre département, nous avons déjà 3 structures (2 maternelles et une élémentaire). L’objectif est atteint à la base. Pour les ULIS, travail sur les besoins et les notifications données par la MDPH au regard des secteurs : 2 ULIS supplémentaires en plus des 46 existantes. Implantation sur l’école CLOVIS JACQUIER de CHALONS + Elémentaire JEAN MOULIN à TINQUEUX. La proposition a été présentée aux équipes. C’est une volonté de ne pas implanter en Rep + .
Depuis 2019, un moyen a été donné par le MEN pour un référent autisme sans pouvoir l’utiliser. Aider les équipes à pouvoir avancer, et avoir une logique partenariale. Le travail de recherche de la personne adéquate se poursuit. Un travail également hors de ces structures, pour aider les équipes des classes ordinaires.
a) Dédoublements en Rep + . 100% des classes en CP et CE1 sont dédoublées. Il s’agit de dédoubler les GS. Créer 33 classes dédoublées. 2 modalités : implantation de moyens (valeur 8 emplois). Regarder les taux d’encadrement et à moyens constants , il est possible de dédoubler sur les autres écoles (pas de retraits d’emplois sur 15 classes). Un PDM sur Mat Gallieni (fermeture du poste et ouverture sur Charles Peguy pour 2 classes dédoublées).
b) Réalité des cohortes sur les CP et CE1 dans les écoles . Regard sur les montées et baisses d’effectifs en EP+ . création de 6 ETP. Nécessité de réguler à la baisse pour 2 écoles (total +4 ETP)
c) Des écoles rémoises n’ont pas de local pour les dédoublements des GS
d) 4 écoles hors EP bénéficiaient d’un dédoublement : Ferdinand Buisson Chalons, elem Crayere Epernay, Elem Genéral Carré Reims, Prim paul fort Vitry. Il n’y a plus de dédoublement hors EP. Mais pour qu’il n’y ait plus d’incidence sur les emplois. Le choix est laissé aux équipes qui conservent le moyen en poste. Choisir les classes selon les besoins pour opérer l’allègement d’effectif.
Limitation des élèves à 24 sur les GS-CP-CE1 hors éducation prioritaire. 80% des classes sont déjà avec des effectifs inférieurs à 24. Poursuivre la démarche et 5 nouvelles écoles auront un emploi supplémentaire.
Les décharges de directeur : Même en l’absence de texte réglementaire. Amélioration pour les 1, 2 et 3 classes et les 9 et 13 classes. Hypothèse pour le moment. Garder 6 ETP pour les décharges (remplaçants spécifiques). Selon les décisions finales arrêtées par le ministère, ce sera réajusté.
Lecture des priorités départementales :
Question de la formation : plan d’action départementale, nécessité de renforcer les moyens dédiés à la formation. Travail autours des composantes liées à la formation
BD Rep+ > d’autant qu’il y a des GS dédoublées. 4 ETP supplémentaires.
Les remplaçants : autant pour la formation que pour le remplacement des absences pour 8 ETP
Les formateurs : après un travail d’identification fine des besoins et des supports vacants PEMF, et des PEMF nommés hors support fléché. Clarifier la carte des PEMF. Fermeture de certains postes vacants et ouverture là où sont les PEMF. Augmenter le nombre de PEFM. … objectif, avoir au moins 3 PEMF par circonscription, et maillage territorial (pas facile partout). Balance des suppressions et créations des supports pour 3 ETP. En corrélation, il faut voir le rôle des modulateurs, qui ne sont pas professionnalisés (nommés sur éclatement de supports en fin de mouvement). Il faut créer des supports permettant de pérenniser le travail des modulateurs. Proposer des trinômes acceptables.
184 MAT actuellement dans le département. Des PE prêts à accueillir et s’engager. Si la professionnalité des MAT est augmentée, ce sera aussi un vivier pour de nouveaux PEMF. Création d’un vademecum des MAT.
Les formateurs en équipe de circonscription : actuellement un IEN + 2 CPC. 3 circos bénéficie de 3 CPC (ASH et Reims sud, Sézanne). Il faut aller plus loin : diversification des missions, plans maths et Français. Objectif de 3 CPC par circo , donc création de 9ETP.
Pour les Rased : préserver les équilibres. Il y aura une étude sur le quantitatif et le qualitatif. L’inspection générale est venue auditer des enseignants de Rased. Il faudra s’interroger sur les moyens des réseaux en lien avec l’enquête de l’inspection générale. Il n’est pas question de supprimer des moyens des réseaux.
UNSA : Rased, importance des maitres G , ne pas fermer les postes vacants. La création de postes de CPC est une bonne chose mais attention à la stabilisation et au turn-over ce qui déclence beaucoup de faisant-fonction. La prise en charge de la grande difficulté scolaire et comportementale est une priorité . Nous espérons voir aboutir très rapidement ce travail sur les Rased. Ne pas le différer dans le temps. L’IA Dasen souhaite exercer aussi des actions de formations auprès des membres de Rased. Il faut travailler sur une réflexion globale, à la fois sur les missions et sur le vivier des personnels (Capash dormants)
Pour l’UNSA , la nouvelle possibilité d’obtenir le Cappéi par VAE va donner du souffle sur la certification de nouveaux nouveaux enseignants. La VAE devant être complémentaire à la formation en alternance.
IA-DASEN : se repencher sur la formation initiale à l’INSPE sur la prise en charge des élèves en difficulté scolaire. La question des maquettes de l’INSPE : il est nécessaire qu’il y ait des professionnels de terrain qui viennent expliquer ce qu’est la prise en charge de la difficulté scolaire. Prendre plus appui sur le quotidien du terrain à l’Inspé. Répondre à tous ces enjeux.
Sur le statut des CPC : nombre de postes vacants mais certains sont maintenant admissibles au Cafipemf. La politique des FF est à courte vue. IA Dasen porte un message politique devant nous avec la création de ces postes : celui d’affirmer l’importance des CPC et alléger un peu leurs missions en circo . Créer une dynamique avec 3 CPC par circonscription. Penser tout cela à moyen terme. Reconnaissance institutionnelle.
LES POSTES
IMPLANTATIONS (ouvertures) au titre de la démographie :
RETRAITS (fermetures) AU TITRE DE LA DEMOGRAPHIE
AUTRES IMPLANTATIONS :
MAT VERBEAU : projet 0/6 ans / « s’apparente à un dispositif moins de 3 ans » Passerelles entre la crèche et l’école
2 ULIS : Jean Moulin Tinqueux et Clovis Jacquier Chalons
CP/CE1 : ELEM BLANCHE CAVARROT REIMS, RAVEL FRANCHET REIMS, ELEM BARTHOU, ELEM DAUPHINOT, ELEM PAUL BERT REIMS, ELEM 3 FONTAINES
RETRAIT : ELEM CHARPENTIER ET HIPPODROME REIMS
DĂ©doublements GS en REP+ : implantation Ă MAT GALLILEE REIMS, 2 emplois Ă MAT BARTHOU, MAT GALLIENI REIMS, 2 emplois Ă MAT COOK VASCO REIMS , MAT SNCF, PRIM MAISON BLANCHE REIMS
Dédoublements à moyens constants : MAT CHARPENTIER REIMS, MAT HIPPODROME REIMS, MAT PROVENCAUX REIMS, MAT Raoul DUFFY CAVARROT REIMS. Un poste aurait pu être enlevé mais il est laissé pour faire le dédoublement.
2 classes dédoublées à MAT PEGUY REIMS (dont un transfert)
3 dédoublements impossibles Fautes de locaux : MOUGNE TIXIER REIMS, PRIM JOLIOT CURIE , MAT DR ROUX
= + 33 ETP
IMPLANTATION limitation à 24 GS-CP-CE1 : choix au travers de l’IPS faible.
DECHARGES DE DIRECTEURS D’ECOLE
Suivant les nouvelles implantations, cela bouge les décharges et il faudra sans doute les reconsidérer suivant le texte national quand il paraitra. - 2,75 ETP en impact des retraits et 0.41 ETP en implantation
Décharges hors statutaires : compte tenu de l’incertitude : 2 écoles où il y avait 1.25 , ce ne sera plus que 1 règlementaire. Blanche Cavarrot Reims + Warmeriville
Dé-fusion de l’école de Warmerille : plus facilement gérable (417 élèves). Garde 1ETP complet au total pour les 2 directions pour un an. Nous sommes intervenus pour demander que le temps soit pris pour regarder la situation des personnels au titre du mouvement, et qu'une règle concernant la "scission" soit prise, pour plus de transparence et clarté.
RESTRUCTURATIONS (fusions):
Des décharges exceptionnelles pour le congrès Ageem d’Epernay disparaissent. (-0,59)
3 autres mesures :
Nous avons fait remarquer qu'il y a beaucoup de mesures en territoire rural, quid des conventions ruralité ? L'IA-Dasen a expliqué qu'il a justement tenu compte des situations et qu'il aurait pu fermer 2 fois plus. Le dialogue avec les maires a été important. Certains maires doivent aussi avoir une réflexion sur les territoires à moyen terme et définir les besoins en structures.
L'Unsa Education a voté en abstention sur ce projet de carte scolaire.
Les mesures vont dans le bon sens : il y a longtemps que nous n'avions pas eu de création de postes de remplaçants par exemple, ou de postes de formateurs.
Question diverse posée par l'UNSA Education :
Quid du recrutement des AESH référents. ? Combien d'AESH , d'heures manquantes en accompagnement des élèves ?
Réponse sur le recrutement : depuis mi novembre l'information avait été donnée aux pilotes des Pials pour lancer le recrutement. Les coordonnateurs étaient chargés de lancer l'info aux AESH. Des commissions de recrutement ont eu lieu en décembre et 19 AESH ont été recrutés pour les 24 pials. Les 2 Pials Paulette Billa Tinqueux er Gisèle Prost n'ont pas donné suite aux candidature (mais 2 postes pourvus après relance et 3 Pials n'ont pas eu de candidature (Sézanne, Perrot d'Ablancourt et Thibaut de Champagne Fismes).
Tous les candidats ont eu réponse. Les nouveaux référents ont reçu une lettre de mission et une adresse de messagerie fonctionnelle. Une formation est prévue.
Elèves notifiés non accompagnés : 1838 élèves sont notifiés. 111 élèves sont actuellement sans accompagnement dont 37 jugés prioritaires. Une dotation de 20 emplois Temps Plein d'Aesh a été donnée par le ministère pour la Marne et les personnels recrutés seront prioritairement affectés auprès des 37 élèves jugés prioritaires.
L'Unsa Education a fait une enquête auprès des écoles et note que par endroit beaucoup d'heures ne sont pas couvertes. Les AESH ne sont pas remplacés et il est difficile de couvrir tous les besoins.