Article publié le vendredi 8 mars 2019.
Le travail acharné des nos élus paritaires nationaux PLP a permis d’améliorer concrètement la situation de mutation de certains collègues.
En effet, en proposant des chaînes d’amélioration, ce sont 150 collègues qui ont pu profiter d’une mutation améliorée par rapport au projet initial : par exemple en P0226, 10 collègues ont pu obtenir un meilleur vœu qu’au projet ! L’administration, plutôt bienveillante par rapport aux situations diverses et parfois compliquées, a accepté la plupart des propositions d’amélioration des élus.
Alors que les commission administratives paritaires (CAP) sont menacées dans leur existence par le projet gouvernemental Fonction publique intitulé CAP 2022, le mouvement inter PLP a été à nouveau l’occasion de prouver leur efficacité pour une gestion des ressources humaines au plus près des personnels garantissant équité et transparence.
Supprimer l'examen des mutations en CAP reviendrait Ă laisseÂr seul chaque agent face Ă son employeur : comment notre administration pourrait sĂ©rieusement gĂ©rer seule environ 30 000 demandes dans le second degrĂ© chaque annĂ©e ?
Ce n’est pas la concepÂtion de l’UNSA qui prĂ´ne une vĂ©riÂtaÂble moderÂniÂsaÂtion du diaÂloÂgue social pour un meilleur foncÂtionÂneÂment des colÂlecÂtifs de traÂvail.