Lors de la CAPD du 14 février 2019, le bilan du mouvement intra départemental 2018 a été présenté aux organisations syndicales.

171 participants (174 en 2017, 163 en 2016,188 en 2015) dont 86 à titre obligatoire et 84 à titre non obligatoire. L'âge moyen des participants est de 36 ans et l'AGS moyenne est de 10 ans.

29% obtiennent un poste à l'issue de la première phase, un taux historiquement bas (contre respectivement 38% en 2017 et 2016 et 42% en 2015), 35% restent sur leur poste et 36% sont sans poste 

A l’issue de la première phase pour laquelle 35 postes avaient été offerts (dont 3 à profil), 50 personnes ont été mutées (43 à titre définitif et 7 à titre provisoire) et  62 personnes étaient sans poste (soit 36%, idem en 2017 et 32% en 2016 ) avec une AGS moyenne de 6 ans.

47 postes ont été offerts lors de la 2ème phase dont 7 restés vacants à l'issue de la 1ère phase, 27 postes recomposés et 13 postes libérés (AFA, TP annualisés ou couplés). Sur ces 47 postes, 3 postes nécessitaient des pré-requis (1 direction et 2 occitan) et 1 à profil (PDMQC). A l’issue de cette 2ème phase, 17 étaient encore sans poste et 1 poste restait vacant.

Concernant les vœux, 21 personnes sur les 50 ayant obtenu satisfaction à l’issue de la 1ère phase ont obtenu leur vœu 1 (soit 42%, AGS moyenne de 15 ans), 9 leur vœu 2 (soit 18%, AGS moyenne de 11 ans), 2 leur vœu 3 (4%, AGS moyenne de 14 ans), 4 leur vœu 4 (8%), 2 leur vœu 5 (4%), 7 un voeu compris entre le rang 6 et le rang 10 (soit 14%).

2 postes ont été obtenus par un voeu zone.

Sur les 26 directeurs et directrices d’école qui ont participé au mouvement (soit 32% des directeurs en poste), seulement 2 ont émis des vœux sur un poste de direction exclusivement. Ces chiffres démontrent une fois de plus le mal-être des collègues titulaires d'un poste de direction. 18 sont restés sur leur poste (soit 70%), 4 ont obtenus à nouveau un poste de direction et 4 un autre poste.

Variables Ã©voquées pour augmenter le nombre de postes proposés à la première phase du mouvement : proposer des postes recomposés dès la première phase  ou encore revoir le blocage des postes PES. A noter qu'avec 7 départs à la retraite à la rentrée 2019, ce sont autant de postes qui se libèrent.