Appel des organisations syndicales départementales :

 CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

 La crise, c’est eux !

Leurs revendications pour l’emploi, les salaires et les Services Publics n’ont pas été entendues : les élus parlementaires continuent de soutenir la politique gouvernementale ; le patronat et le MEDEF, qui s’attaquent à l’emploi, favorisent la précarité et cautionnent la baisse du pouvoir d’achat, dans le public comme dans le privé.

† hausse du chômage dans le département (+ 20 % en 1 an, + 28% chez les moins de 25 ans),

† augmentation du travail précaire et de l’utilisation abusive des travailleurs les plus fragiles,

† chantage à l’emploi,

† dégradation des conditions de travail des salariés (salaires, horaires, respect des droits et des personnes, non paiement des heures supplémentaires, etc …),

† baisse de l’activité des artisans et commerçants.

C’est vrai dans les secteurs de l’agroalimentaire, du bâtiment, de la filière bois, des structures d’insertion, de la santé… mais tous les secteurs d’activités souffrent.

La Lozère est particulièrement concernée par les restructurations et la privatisation, partielle ou totale, des Services Publics : Education, Justice, Equipement, La Poste, EDF, Santé, Sécurité Sociale, ONF, etc. … tous les services sont touchés. Nous disons : maintenant, ça suffit ! La crise, nous l’avons déjà payée !

† redistribuer les richesses pour créer de l’emploi et du pouvoir d’achat pour tous les salariés et retraités,

† éliminer le travail précaire,

† réinstaller les Services Publics comme une priorité,

† garantir une réelle protection sociale.

 

10H00 : Rassemblement. Manifestation - La Chicanette

12H00 : Prise de paroles des syndicats - Place Urbain V

12H30 : Grillades géantes - Place Urbain V

9H00 : Assemblée Générale interprofessionnelle - Foirail - Théâtre

JEUDI 19 MARS à MENDE, Grève et Manifestation

Tous ensemble dans la rue

pour imposer les négociations avec le Gouvernement

On entend dire ici ou là que cette période de crise ne serait pas le moment de revendiquer. Au contraire, face à une minorité qui utilise la période de crise pour « activer les basses besognes », la majorité va imposer,  par la grève et dans la rue, les changements pour :

Les effets croissants de la crise conjugués aux attaques menées contre l’emploi conduisent aux tristes résultats suivants, mesurés chaque jour par les indicateurs officiels et les témoignages individuels ou collectifs auprès des organisations syndicales :

Le 29 janvier, des milliers de personnes ont exprimé leur colère dans les rues de Mende, dans les entreprises et les établissements, de façon unitaire et interprofessionnelle.